Tout commença lors d'un somptueux soir d'été, dans la merveilleuse et mystérieuse ville de Marseille. Eh oui, c'était les vacances scolaires et Karah compter bien en profiter. Dans son programme, il y avait : sorties avec ses amis, plage et bronzette. Karah est une jeune fille qui mort la vie à pleine dent à chaque moment. Elle a les cheveux châtains et les yeux bleu turquoise... Elle aime écrire des poèmes, adore chanter, mais sa vrai passion est la danse. A chaque chanson, elle entame une nouvelle danse, elle passe de l'orientale, au classique, tout comme du hip-hop. C'est un vrai don.
Mais elle ne pouvait pas se doutait de ce qu'il lui allait lui arriver pendant ses vacances, mais elle ne l'oubliera jamais.
Une semaine plus tard, Karah pris la décision de lui parler. Mais dès qu'elle l'approchait, son cœur et sa gorge se serrèrent. Elle pensa qu'il devait la prendre pour une fille bizarre, car en effet, à chaque fois qu'elle l'approchait, elle s'arrêtait soudainement, le regard apeuré, et s'en allait précipitamment.
Bien qu'elle ni arrivait pas, Karah sentait bien que quelque chose attirait son corps, son cœur et son âme vers ce jeune homme.
De son côté, Benjamin pensait à Karah, il trouvait cette fille étrange, mais il l'aimait bien, c'est pourquoi il se dit qu'il allait lui parler dès qu'il pourrait. En effet, le lendemain, quand il la croisa, il lui adressa pour la première fois la paroles. Ils se présentèrent respectivement, et commencèrent à parler sans gêne, le mur était franchi, ils étaient devenus des amis, de très bons amis.
Les semaines passèrent, et la rentrée s'annonçait. Benjamin devait aller dans le même collège que Karah, mais sûrement pas dans la même classe, bien qu'ils furent bien déçu, ils se verraient à la récré.
Première semaine de septembre, les préparatifs pour la rentrée scolaire s'accéléraient, et ils se virent plus tous les jours, comme avant.
Karah repensa à toutes ces journée en la merveilleuse compagnie de son ami. Mais ce n'était plus un simple ami, en effet une semaine auparavant, alors qu'ils se promenaient dans le parc du quartier du Mistral, ils s'étaient assis sur un des bancs, et parlèrent pendant environ une demi-heure, de tout et de rien. Mais le sujet qui marqua Karah, c'était cette question : "Pourquoi voulais-tu me, parler quand je suis arrivé à Marseille ?". Elle trouvait cette question si étrange, qu'elle n'a pas pu y répondre. Et elle tout voulait lui avouer : son attirance, son amitié, mais surtout son amour. Elle n'osait pas, elle ne pouvait lui dire tout cela. Elle tourna la tête vers lui, il s'était rapproché, et il était très proche d'elle, elle voyait dans ses yeux une lueur qui ne lui était étrangère. Mais elle ne savait ce qu'elle représentait. Il rapprocha son visage du sien, il était très près à présent, elle ne pouvait plus rien faire. Ils étaient plus qu'à quelques centimètres, quand le téléphone de Karah sonna, et elle détourna la tête. Elle avait les larmes aux yeux, car ce moment, elle l'attendait depuis si longtemps, et voilà, à cause de ce téléphone, tout avait été gâché, et il ne voudrait sûrement plus ... Plus jamais peut-être. C'est pour cela qu'elle avait les larmes aux yeux. Ce n'était que sa mère qui l'appelait, pour lui dire de ne pas rentrer trop tard. Quand elle se tourna de nouveau vers lui, il s'était reculé, et semblait gêné. Il la regarda avec un air assez apeuré. En faite, il avait peur de sa réaction. Mais après quelques minutes de silence, Karah lui fit ses excuses, et de nouveau, un silence s'installa entre eux. Elle commençait à pleurer, mais pris tout le courage qui lui restait, se rapprocha de lui, et puis, elle vit que lui aussi pleurait, mais elle ne pouvait plus reculer, c'était trop tard, elle était trop près. Elle voyait chaque larme accrochée à ses cil à présent ...
Sa mère la secoua légèrement, pour la sortir de ses rêveries. Mais son cœur était toujours tourné vers ce moment qu'elle trouvait par la suite magique.
De son côté, Benjamin se disputait avec ses parents, sur le fait qu'il ne voulait pas déjà repartir dans une autre ville. Car à cause du travail de son père, Benjamin et sa famille étaient obligés de déménager souvent, trop souvent au goût de celui-ci. Mais la décision fut prise, dans 3 mois, Benjamin repartirait, loin, très loin, dans le Nord.
A partir de ce moment, il essaya de profiter des moments passés en compagnie de Karah, sans lui dire qu'il allait bientôt partir. Trois mois plus tard, les parents de Benjamin lui demandèrent de commencé à faire ses valise, car une semaine après, ils seraient obligés de partir. Il se décida enfin à tout dire à sa petite amie, celle qu'il aimait tant, il ne voulait pas se séparer delle, mais il n'avait pas le choix. Il savait déjà quelle serait ça réaction, et en effet, quand il lui annonça, elle s'énerva, et lui en voulait de ne pas en avoir parlé bien avant. Elle le mis à la porte, s'enferma dans sa chambre, et pleura toute les larmes de son corps. Son premier amour devait déjà s'en allé, c'était beaucoup trop dur pour elle.
Elle regretta de l'avoir envoyé balader, et alla donc chez lui pour s'excuser. Il était seul, ses parents étant partis pour la journée et la nuit, à une conférence.
Ils se réconcilièrent très vite, et sans s'en rendre compte, ils commençaient à aller dans sa chambre. Ils passèrent la nuit ensemble, la seule et la dernière.
Ce fut le moment de la séparation, et les deux amoureux ne purent s'empêcher de verser encore quelques larmes. Ils se promirent de s'appeler et de s'écrire, mais Karah avait un pressentiment : ils ne se reverront jamais.
Les années passèrent, et les deux compères de perdirent de vue. Chacun avait réussi sa vie. Elle, devint kiné, lui, journaliste. En souvenir et en hommage à Karah, qu'il n'oublia pas, il s'était mis à la danse, et découvrit en elle une sorte de liberté, et compris pourquoi elle aimait tant danser. Un jour, il décida de la retrouver, et ferait tout pour cela. Maintenant adulte et mûr, il se sentait près à retomber dans le passé, un si bon moment de son passé. Après un an de recherches, il trouva où elle habitait. Rouen, une ville pas si loin de chez lui, à Paris. Il se présenta à son cabinet, et fut heureux de la revoir. Sans lui dire qui il était, il pris un rendez-vous. Il la regarda attentivement, elle n'avait pas beaucoup changée, mais elle était encore plus belle qu'avant, ses cheveux bouclés tombants sur ses épaules, et sérieuse derrière ses fine lunettes. Elle lui demanda son nom, et lui dit. Elle ne réagit pas tout de suite, puis soudain, elle lève la tête brusquement, se souvenant de ce Benjamin Loubra. Elle lui demanda timidement si il était la personne à qui elle pensait, et quand la réponse fut affirmative, elle lui sauta dessus, et le serra dans ses bras. Il fut si troublé qu'il ne savait plus quoi dire.
Elle ferma son cabinet pour la journée, et ils recommencèrent à parler, comme avant, il y a tellement longtemps pour eux. Elle lui expliqua qu'elle avait plusieurs fois essayé de le joindre, de lappeler, sans succès. Elle n'avait cesser de penser à lui. Quand à lui, il raconta comment il l'avait retrouvée, et pour quelle raison. Il lui avoua qu'il l'aimait toujours, il n'avait jamais cesser de l'aimer depuis tout ce temps. Elle ne s'attendait pas à cela, mais fut très ravie, puisque elle ressentait la même chose. Une nouvelle relation s'installa entre eux, à la fois différente et pareil qu'autrefois.
Les mois ont passés, et ils s'étaient installés dans un appartement commun. Ils étaient très heureux ensemble, et se disputaient que très rarement.
Mais un jour, alors que Karah attendait Benjamin, elle reçut un coup de fil. C'était lui, et il disait qu'il arriverait un peu en retard, car il y avait des embouteillages. Mais une heure passa, et il n'était toujours pas revenu. Elle l'appela plusieurs fois sur son portable, il ne répondait pas. Une nuit passa, elle ne pu fermer l'œil. Au petit matin, elle appela la mère de Benjamin, lui demandant si elle ne l'avait pas vu depuis hier soir. Ce fût malheureusement une réponse négative. Elle appela ensuite ses amis, rien non plus. Elle commença alors à vraiment paniquée, et elle appela la police. Ils feraient ce qu'ils pourraient, mais elle fit sa propre enquête, et alla chercher un peu partout dans la ville son cher et tendre. Elle ne le trouva pas. En fin d'après-midi, la police lui donna un coup de fil. Ils avaient retrouvés Benjamin. Les cris et les larmes ont remplacés la joie de Karah, car ils avaient retrouvés son compagnon, mort dans un accident de voiture, sur le pont de la ville voisine.
Elle ne cessa de pleurer pendant plusieurs heures, puis enfin, prenant son courage à deux mains, elle alla le voir, lui, son corps froid à la morgue. Le médecin lui donna un carton, avec tout cee qu'il avait sur lui à ce moment. Avec surprise et stupeur, elle découvris que dans la poche de manteau, il y avait un coffret à bijoux, avec une bague à l'intérieur, enveloppé d'un papier avec un poèmes écris :
Ma chérie,
Je t'aime de tout mon cœur,
Et nous n'auront plus aucunes pleurs,
Car en ce merveilleux jour,
Pour preuve de mon amour,
Je t'offre cet anneaux,
Qui est pour moi le plus fabuleux cadeau
Il représente tout pour moi
Et avec toi,
Je voudrais continué
A vivre avec amour et amitié
Mais assez parlé,
J'ai juste une question à te poser :
Ma chérie, veux –tu m épouser ?
Elle referma la lettre avec douceur, et compris pourquoi il était dans la ville d'à côté, c'était là qu'était sa bijouterie préférée. Ses larmes ne purent se contenir encore longtemps.
Depuis ce jour, Karah n'a jamais pu aimer un autre homme. Elle se contenta de travailler, et la seule chose qui lui redonnait encore un peu le sourire, c'était bien sur la danse. Mais elle attendait simplement la mort, pour qu'elle aille revoir enfin, son ami, son amant, son mari. |