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Inde : le décollage retardé par les castes
Posté par richie ronsard le 02/10/2012 00:00:02
Un jour, les citoyens de cette nation viendront ensemble, les mains sur le coeur, ils banniront le système de Caste et cette nation géante deviendra la première puissance au monde. Cette nation est une bombe en retardement, cette nation est une locomotive dormante.

Interprétation
Le système de caste est l'un de plus ancien système à exister encore de nos jours, ce système a était découvert pour la première fois en Inde, où il a vu le jour. La République de l'Inde est l'un des rares pays au monde à faire stricte usage de ce système médiéval.

Le système de Caste est avant tout un mode de vie et non pas un système politique, pour rectification aux conclusions des nombreuses auteurs... Nombreux auteurs au cours des derniers siècles ont présentés le système de Caste comme un système politique, cela est une fausse interprétation, le caste est un mode de vie.
Le système de caste peut aussi être interpréter comme étant une tradition, l'Indien admet la caste comme une culture et parmi ses valeurs à sauvegarder, c'est ce qu'avance nombreux parmi eux.


Naissance du systeme des castes

Dans l'ancien Inde, le travail rémunéré n'existait pas, l'économie était essentiellement agricole et les paysans pratiqué un élevage vivrier pour l'autosuffisance alimentaire, ainsi, ils vivaient en groupes, et ne petites communautés. Pendant cette époque, la monnaie n'existait pas, la population indienne vivait essentiellement des trocs et des échanges des biens en natures. Mais, signalons aussi que, pendant cette période, vivant dans un Etat de nature, les oppositions étaient nombreuses et les accrochages entre les communautés dans la distribution des ressources rares.

C'est dans le souci d'assurer le bienêtre général, de poursuivre l'intérêt commun, et de formé une société ordonnée, que les chefs des villages et des communautés en particuliers, d'harmoniser la vie de la société en attribuant à chacune des familles dans la société une occupation unique. Les chefs des villages et des communautés introduisirent la division du travail comme mode de vie. Ce nouveau système établit répondait justement à la complémentarité dans la société.

Ainsi, dans leurs calculs, les chefs des communautés, avaient jugés quatre travail mangeurs comme complément dans la société, qui devraient être remplit pour une meilleurs vie dans les communautés.

Pour ce, ils trouvèrent comme première nécessités le Savoir. Certaines personnes était nés avec une intelligence supérieure et ceux-là avaient la mobilité de le partager avec les autres, c'étaient ceux qui possédait naturellement la connaissance et pouvais le partager.

Le savoir était un des éléments clés pour assurer la conduite civique, dans le souci de garantir les droits et les devoirs des paysans. Ainsi les ancêtres indiens établir le savoir au sommet de la pyramide. Devant a tout prit être réaliser. Dans cette catégorie tombaient ceux qui étaient à la charge des dieux, les prédicateurs religieux appelés ici "Gurus", et les enseignants qui sont considérer comme maitres du savoir.

Au deuxième niveau de la pyramide, nous avions ceux qui étaient à la charge de la protection de la communauté, de ses citoyens et de ses biens naturels. C'était la classe de ceux à charge de la défense du territoire, comme nous le savons, à l'époque médiévale, les conquêtes des terres existaient encore, et pour s'y protéger, les ancêtres avait jugé important de privilégier la défense nationale.

La défense nationale avait aussi comme rôle d'assurer la continuité d'activités dans la communauté, et de garantir l'existence du territoire. Considérant tous ces éléments : "les guerre, les conquêtes, les guerres inter-ethniques, les conflits tribaux, le sectarismes, le régionalisme" qui pouvaient affecter un peuple immense de caractère, et en prévenant des conflits qui pouvaient résulter de l'allocation des ressources rares (répartition des ressources naturelles), d'une communauté à une autres, afin de garantir le respect des droits naturelles sans le moindre bafouèrent, les chefs des villages trouveront qu'il était nécessaire d'avoir des personnes à charge du maintien de l'ordre, des gens qui pouvaient assurer la sécurité interne et externes du territoire.

Au troisième niveau de la pyramide, les chefs des communautés trouveront que les échanges entre les communautés devraient être assurés par une catégorie des personnes.

Mais aussi, ceux qui disposer de plus des ressources (excès de ressources) devaient mettre cela a la disposition des autres. Cela occasionnera le développement du marché intercommunautaires et du marché intérieur. Nombreux auteurs insistent sur le sujet que le marché se pourrait d'être d'origine indienne, mais cette affirmation reste encore à vérifier. Ces gens étaient responsables des vastes plantations et des grands business.

Les chefs des communautés trouvèrent qu'il était bon de réguler les marchés par certaines lois, ces gens dans notre actuelle société peuvent être comparés aux hommes d'affaires, aux experts d'étude du marché et, aux commerçants. Bref c'était la catégorie de ceux qui devaient s'occuper de la vie économique du pays et le commerce.

Au bas de la pyramide se classait les démunies et les pauvres. On défendait l'idée selon laquelle, un déséquilibre naturelle existe. C'était de dire que, nous ne possédons pas les mêmes qualités, nous ne disposons pas des ressources selon les mêmes quantités, par ressources je veux parler des biens matériels et immatériels (La fortune, Le savoir, La force, L'Intelligence, ...).

Les chefs des villages ont vu que, naturellement Certaines personnes dans la société était doués, d'autres surdoués, et d'autres dépourvu d'intelligence. Certain disposaient des grandes richesses, d'autres possédaient une force physique invincible et un état d'esprit serein.

Dans la société, les uns étaient complètement dépourvus d'atouts physiques et immatériels. Ceux-là à fortiori devaient s'occuper de l'élevage, devaient faire la corvée, devaient servir de main d'oeuvres, du nettoyage de la communauté, ils
devraient servir les autres comme esclaves, ils devaient s'occuper des petits travaux journaliers, ils étaient des mendiants, ils devraient nettoyer les temples, bref c'était la dernière souche de la société. "Les bons à rien", "Les vaut rien" voilà comment on leurs qualifies en Inde.

Cette organisation de la société, nous fait apprécier le génie Indien et le souci de ses initiateurs d'intégrer la société toute entière. La civilisation indienne était l'une des rares civilisations à avoir pareille division du travail, c'est justement ce qui a fait son grand succès au cours de l'Histoire.

De toutes les civilisations passées, les indiens étaient les plus stables, contrairement aux autres, la population indienne n'étaient pas nomade, elle était fixe et vivait en petites groupuscule organisés afin d'assurer le bien-être commun.
Cette organisation indienne peut être perçue comme la mère de tous les systèmes politiques. Cet aspect malheureusement sera abandonné par les grands penseurs qui ont octroyés la couronne à la Grèce antique.

Les chefs des communautés établirent une pyramide sociale dans la communauté, selon les capacités des individus et ce qu'ils pouvaient donnés afin de compléter le cycle de vie de la société. Coup de chapeau !

Cette pyramide sociale unique de son genre à l'époque portera le nom du système des castes.


Classification des castes

-Ceux qui étaient à charge de l'expansion du savoir et des cultes religieux (gurus) étaient connus sous le nom de Brahmins (Brahmines). Les Brahmines étaient considérés comme étant les représentants directs des dieux dans la communauté. Les Brahmines communiquaient avec les dieux, alors ils avaient accès à la connaissance brute qu'ils partageaient. Ils étaient considérés comme étant les maitres du savoir.

-Ceux qui devaient s'occuper des affaires et du commerces, de la maintiens de la vie économiques de la communauté et d'assurer les échanges intra et
intercommunautaires pour la libre circulation des marchandises étaient connus sous le nom des Vaishyas (Vaisya).

-Ceux qui étaient à charge de la défense nationale, de la protection du territoire et du maintien de l'ordre dans la communauté afin d'assurer le respect des droits naturelles et l'application des devoirs des citoyens, les maitres de la guerre, les grands guerriers étaient connus sous le nom Kshatriyas (Ksatriyas).

-Ceux qui devaient s'occuper des petits activités journaliers, de la salubrité, du gardiennage, ceux qui étaient dépourvu d'atouts physiques et mentales, les démunies, étaient connus sous le nom de Shudras (Sûdras).


Allocation des castes

Comment reconnaitre ma caste ?
L'appartenance à tel ou tel caste n'était pas un droit naturel, car comme vous le savais, le système était avant tout basé sur le jeu de mérite. Il était ainsi difficile de dire qu'un enfant nouvellement né pouvait appartenir dans tel ou tel caste. Personne au cours de l'Histoire n'a pu donner une réponse à cette question, même pas les sages indiens.

Dans l'idée de palier a cet obstacle majeur dans l'application de la caste, on concluait que le groupe de caste d'un enfant devrait lui être alloué que dans son âge adulte. Même dans l'ancien inde, les sages reconnaissaient que l'âge de la raison était dix-huit ans, ainsi à dix-huit ans, on devait finalement découvrir dans quel ordre de caste venait un enfant.

Pour éviter les injustices, une commission était voté dans chaque communauté, à charge de l'évaluation des potentialités que disposé les uns des autres, les jeunes âgés de dix-huit ans.

Une série d'examens et d'activités était organisé dans la communauté, dans lequel participés out les jeunes selon leurs tranches d'âge. Ces activités étaient basés sur la connaissance de l'Hindouisme, l'éducation, le commerce, la défense.
L'objectif poursuivi était de découvrir les talents des uns et des autres afin de les attribuer un ordre de caste. Disons que, cette épreuve était l'une de plus
importante, et qui visiblement a tait remplacé de nos jours par les épreuves de baccalauréat.

Les jeunes s'exprimaient et cela pouvait s'étendre sur une durée maximale de trois mois. A la fin des évaluations, les résultats étaient rendu public, et sur base desquels les castes étaient attribuées aux individus.

Voilà ce qui dans le temps donnait déjà l'air d'un system moderne. La caste n'était pas un droit naturel, c'est-à-dire qu'on acquérait dès sa naissance. Au contraire, devait vous être octroyés après que vous ayez satisfait à un certain nombre d'épreuves et cela sans distinction des couleurs ni des sexes.
Ainsi, après les évaluations, certains étaient bons en savoir et avaient l'amabilité de le partager, ils avaient la connaissance parfaite des prescrits religieux. Ceux-là étaient des Brahmins.

Les uns étaient bons dans le commerce et dans les affaires alors on les attribués l'ordre des Vaishyas. Les autres avaient le génie militaire, ils étaient doués en défense, et à la protection du territoire. Ils avaient de la résistance physique, ceux-là étaient les Kshatriyas la classe des guerriers.

Par contre, d'autres personnes étaient dépourvues de tout, ils avaient l'absence d'intelligence et à fortiori ne pouvaient être classés ni parmi les Brahmins, ni pari les Vaishyas et moins encore parmi les Kshatriyas, ceux-là étaient simplement les Shudras.

Une fois les castes alloués, les jeunes voient ajouter à leurs noms des familles un troisième nom qui d'écrit sa caste d'appartenance. Ainsi, nul ne peut se tromper de sa caste ou encore mentir d'appartenir à un autre rang.

Ainsi dans une même famille, on pouvait retrouver l'existence de tout le quatre castes, un père pouvait être Brahmins et son fils Shudras. Cela ne causait aucun inconvénient dans la société car une classe particulière était méritoire.

Le mariage entre deux personnes des différentes castes ne posait aucun problème car la caste n'était pas une barrière sociale, mais un simple arrangement des choses afin de permettre à la société avance comme un seul homme.
L'ancien Inde avait une société égalitaire, et la méritocratie était l'unique règle pour être appelé Brahmins, Kshatriyas, Vaishyas ou Shudras.


Le declin du systeme des castes

Nous l'avions dit au départ, l'instauration du système de caste était un acte de génie car cela tendait à une société équilibré en ce qui concerne le rendement. Comme nous pouvons le constaté, quand ce système fut instauré, l'objectif poursuivi par ses auteurs était d'aboutir à une société travailleur, à une société où tout le monde sert à quelque chose. Il s'agissait avant tout de mettre en valeur les talents que les uns et les autres auront gagnés de manière naturelle.

Le Système de caste était relatif à la succession du travail ou encore à la transmission d'un même travail au sein d'une même famille au cours des générations pour compléter la vie de la communauté.

Mais malheureusement, la population ne l'avait pas perçu comme prévu par ses indicateurs car ces gens avaient avant tout abandonnés l'aspect sociale de la chose et n'avaient pas mesuraient les conséquences dans le long terme.

Chacun a reçu le system de caste de sa propre manière, avec ses propres convictions, et cela à nombreux au cours de l'histoire à une fausse interprétation qui donnera naissance à un système de caste extrémiste.

Avec l'évolution du temps, Les Brahmins et les Kshatriyas eurent l'impression qu'ils servaient plus la nation que les deux autres classes, ils faisaient les épaules en disant que leurs travails étaient plus rémunérateur et noble.

Pour les Brahmins et les Kshatriyas, leur rendement dans la société étaient d'autant plus élevés que le rendement de deux derniers (Les Vaishyas et les Shudras) et qu'à fortiori ils méritaient un grand respect et considération dans la
société, qui visiblement était de dire que les deux autres devaient se pliés à leurs commandements, plus mieux à leurs ordres.

C'est ainsi que nous somme sortit d'une caste modeste à une caste extrémiste et qui continu à faire des dégâts dans la société indienne et retarde le décollage de la locomotive géante de l'Inde.

La discrimination est nait, les Brahmins et les Kshatriyas ont concluent que, comme les Shudras étaient appelés à exercer un métier sale, la collecte des ordures, le gardiennage où ils sont contraint de passé nuit à l'extérieur afin de garantir leurs sommeils, le nettoyage, le débarrassage, la mendicité, bref, pour les Brahmins et les Kshatriyas, les Shudras étaient intouchable, que leur peau était maudites, équerrant et ahurissantes.

La vraie idée du système de caste par ses initiateurs dans toutes ses beautés et ses couronnes a était dérivée, et les conséquences continu à se répercuter au cours des générations. Les Indiens en souffrent sous leurs silences. Une mère dira à son fils : "si jamais tu rencontres un Shudras, ne lui sert pas la main, il est sale et maudit". Et quand cet enfant retrouve le Shudras sur son chemin de l'école, il lui balance les pierres dessus la tête.


L'inde anarchique

L'ordre des choses tel que conçu par ses initiateurs a était bouleversé, et chacun désormais est maitre de soi. La situation n'est plus la même, l'Inde à émerger avec ses différences et ses fausses interprétations du système de Caste. Aujourd'hui il n'existe plus d'épreuves particulières à satisfaire pour découvrir sa caste d'appartenance, la caste est devenue un droit naturel.

Désormais, on a sa caste attribuée à la naissance, lorsqu'un père est Kshatriyas, d'office son fils l'est par paternité. Lorsque un père est Shudras, sans discussion ses enfants le sont par naissance. Ainsi, la caste n'existe plus mais simplement une société indienne tendancieuse.

Cela a aussi laissé place à une certaine anarchie au sein des familles. Se vit désormais la transmission d'un même travail au fil des générations. Si votre père
était maçon, vous n'avez pas à vous poser la question deux fois, car vous l'êtes par nature. Si votre père est politicien, par nature vous êtes politiciens.

Mais, cette façon de voir les choses ignore l'aspect selon lequel, un père peut être surdoué et son fils idiot. Un père peut être intelligent et son fils ne pas l'être. Un père peut être bon dans le commerce et son fils bon dans l'armé. Car, nous naissons tous avec des talents différents et qui sont parfois opposés à ceux de nos parents.

On exclut l'hypothèse selon lequel un Shudras peut donner naissance à un Brahmins, et un Brahmins a un Shudras. Chose que j'ai acquise par expérience, car, mon entretient avec nombreuse personnes des castes inferieures m'a tellement surpris, et je me posais toutes les fois la question de savoir pourquoi ces gens trainaient dans une telle catégorie sociale et pourquoi le gouvernement ne savais pas leurs mètres en valeurs.

J'ai souvent l'habitude de blaguer avec mes amis Indiens, je leur dit : "Voyez-vous je suis un enseignant et un bon locuteur, j'échange facilement ce que je conçois, alors je suis un Brahmins ! Un guru africain ! Mes amis me font un sourire aux grandes oreilles et répondent : "Bien sûr que tu es un maitre de la pensée". Mais quand je renverse l'hypothèse en disant : "Et si je ne savais rien faire, si j'étais dans la poubelle, est-ce-que vous me saluerais ? Mon appellation serait Shudras ?". Là mes amis font un faible sourire et disent : "Non, pourquoi tu le serais". Puis ils choisissent de se taire.

Similairement, la question de la caste ennuie même les politiciens, et elle est rarement soulevée dans le parlement indien. Quatre-vingt pourcent d'indiens sont favorable à l'abolition de ce système devenu criminel. Malheureusement, ils préfèrent dire tout bas ce que les uns pensent tout haut.

Chaque matin, un jeune homme frappe sur ma porte et habituellement à sept heures du matin, il vient collecter les poubelles qu'il amasse sur un petit vélo rouillé. L'homme à l'air bien malheureux et a l'habitude de me supplier pour quelques cinquante rupe tous les jours.

Je m'inquiétais beaucoup, car je ne sais vraiment pas ce que peut apporter un cinquante rupe dans la vie d'une personne et surtout dans celle d'un père de famille. Je lui ai un jour invitait à entrer dans ma maison, et à prendre place. Mais l'homme présente quelques hésitations, mais il finit par y entrer quand même en laissant à la porte ses babouches. J'ai directement que l'homme se sentait inferieur, je lui ai du tout posait la question de savoir dans quel groupe de caste il appartenait, l'homme m'a dit sans hésiter qu'il était Shudras, et du coup une grande tristesse envahi mon coeur. L'homme me paraissait bien intellectuel.

Je lui fis une proposition : "Dit moi Manoj, si je te donne beaucoup d'argent que choisirais-tu d'en faire ?". Manoj sourit et me répond : "Cela ne sert à rien monsieur". J'étais très touchés et curieux de savoir pourquoi, je lui dis : "Pourquoi, tu n'as pas besoin d'argent ?". L'homme m'avance une raison qui me trouble, il dit : "Ceci est mon travail monsieur, je suis nait pour ce travail, je comprends ton souci, mais tu ne peux malheureusement rien faire pour moi, je suis nait ainsi et je dois l'accepter. Si j'aurais la chance de te rencontrer dans ma vie prochaine, je serais dans une autre situation et j'accepterais ton offre". Je ne sais pas vous dire combien j'étais déçu ce jour-là. J'ai vite réalisé que l'homme répondait plutôt à une contrainte sociale, sa réponse était plutôt de dire, personne ne comprendra qu'un Shudras soit propriétaire d'un immeuble.

Le syndrome de caste est ancré dans le cerveau et cela est devenu plus difficile que jamais à en guérir, et aussi longtemps qu'ils accepteront leur situation comme inferieur ils ne s'en sortiront jamais.
Le changement ne peut naitre que lorsque qu'on admet que sa situation initiale n'est pas favorable.

La règle est simple : "on ne choisit pas sa caste on l'est par naissance, on ne change pas sa caste on l'est pour la vie".


Les castes dans le mariage

Le mariage est un des points sensibles quand on veut aborder la question des Castes. C'est ici que le système des castes étale son impact direct. En Inde, le mariage entre personne des castes différentes n'existent pas.
Le mariage entre deux personne des castes différentes est impensables et voir même infaisables, car on n'admet pas la formation des castes intermédiaire, soit on est riche soit on est pauvre, soit on est intelligent soit on l'est pas du tout.
Le mariage est l'une de plus triste réalité des Castes et une retombée dans la société indienne.

Caste oblige, en Inde vous ne vous marier pas en dehors de votre caste. D'ailleurs pour limiter les intentions des jeunes, qui sont aujourd'hui victime de plusieurs externalités comme la mondialisation et l'occidentalisation des cultures, les mariages de libre choix n'existe pas.

Les mariages résultent d'un contrat entre deux familles, et non entre les individus. Les coups des foudres sont aussi interdits. Quand une fille atteint l'âge de dix-huit ans ou plus et généralement après son diplôme de licence, la famille s'arrange a lui trouver un mari, cela laisse alors place à toute une vague des consultations familiales, on trouve les amants, on les évalues, on changes jusqu'à ce que la famille déniche le candidat potentiel, cela peut être comparé à un test d'embauche.

En Inde, pour privilégier les castes, les mariages d'amour n'existe pas, les relations amoureuses avant le mariage sont strictement interdites et même présenter comme une offense aux dieux par l'indouisme. C'est seulement quand un enfant devient mature que la famille commence à réfléchir sur son partenaire pour la vie.
Dans le souci de préserver la culture et les traditions, nous, les étrangers qui n'ont pas des castes du tout avons aussi moins des chances d'entretenir une relation amoureuse avec les indiennes, ou alors tout se résume par un simple non de la part des parents.

Si certain parviennent à dire oui, aux relations amoureuses entre leurs filles et les étrangers, ils le font par envie ou encore par complexe d'infériorité. Un jeune homme américain par exemple a plus de chance de se voir embaucher dans l'amour, similairement avec un français, un russe ou un anglais plutôt qu'un africain.
Le jeu du prince et de la princesse n'existe pas, mais les dérives sont parfois possible.

Pousser par la mondialisation, l'internationalisation de la culture, la mode, le cinéma, la musique occidentale, certains jeunes choisissent le libre amour, mais cela en coulisse, on accepte de s'aimer mais on le sait bien qu'on ne se tiendra jamais sur le grand boulevard. Les quelques petits ponts dans l'amour existent, mais les deux partenaires le savent tout aussi que nous, que cet amour finira un jour.

Quand par hasard une famille arrive à découvrir une relation occulte engageant son enfant à une quelconque personne, cela peut facilement devenir un problème entre les deux familles, un clash peut naitre à l'air libre dans la société.

Il arrive aux jeune d'insisté sur leur relation, et dans ce cas, la loi de la force ne marche plus. Les familles font intervenir la religion, on utilise les Pandits pour lire les droits divins. Le Pandit doit lire le destin de deux jeunes en observant les étoiles, et dire si les deux sont faits pour vivre ensemble. Mais dans la plupart des cas, le résultat est un échec et il est donc clair que la relation ne peut pas continuer.
La vérité est que ces Pandits sont souvent financés par des familles riches, et à fortiori les conclusions ne roulent qu'en leurs faveurs.

La société indienne a créé tous les moyens nécessaires pour contrés les intentions des jeunes qui peuvent se révélées très rebelles.
La conséquence directe dans la société est le divorce. Depuis que le droit au divorce des femmes a était libéralisé, nous assistons désormais à un scandale et à une société indienne de plus en plus moderne.

Les femmes sont de plus en plus nombreuses à réclamer divorce après une ou deux ans de mariage. Le mariage programmé ne marche pas toujours, car, il est vraiment difficile d'assumer un conjoint qu'on n'aura connu auparavant, la petite expérience d'amour est toujours nécessaire pour réussir une vie de couple. Avant le mariage, les deux conjoint doivent apprendre à se connaitre et se supporter les caractères, mais cela ne peut pas marcher dans une société ou on découvre son partenaire que le jour du mariage.


Pourquoi les indiens sont amis dans les villes et ennemis aux villages ?

New Delhi la capitale aux milles yeux, est une vraie métropole de mélanges culturels et linguistiques. Avec ses dieux aux multiples mains, vous aurais l'impression d'assister à un monde diversifier et moderne.
Mais cela n'est que l'image que vous laisse trainé la société. Vous avez à la rue des gens qui discutent, qui commentent, des gens qui bavardent, on dirait des vraie amies, des vrais frères.

Les visages des gens imbibés de leur sourire vous tromperais. Mais, ces gens qui vous donne la fausse image d'évolués, quand ils retournent dans leurs villages respectifs, ils n'ont plus qu'à se plier aux règles extrémistes des castes.
Ces intellectuels ne peuvent, ni se parler, ni se toucher les uns des autres. La mutualité prend fin à New Delhi.

Imaginez ce scénario : "Vous avez deux français, l'un originaire de Toulouse et l'autre originaire de la Marseille. Quand ils se retrouvent à Paris, vous savez Paris est un monde diversifié, un horizon des races et cultures. Suivant le jeu de la nature, si ils croisent leurs chemins, ces deux peuvent se faire ami, peuvent avoir de l'amusement ensemble, ils peuvent boire, dansé, écrire des projets ensemble, mais, une fois qu'ils retournent à leurs places initiales, le contacte prend fin, ils sont forcé de se détester, un toulousain ne peut pas toucher la peau d'un marseillais".


Les pauvres tirent les riches vers le bas

L'Inde actuel qui se veut moderne, n'a pas besoin des castes. C'est une vérité, car dans un monde où la doctrine est devenue plus vites et plus loin, nous avons besoins de mettre en valeur toutes les intelligences.

Vous serais étonné de voir que parmi ces gens classifier dans les castes inférieures, se cache des vrais génies. Malheureusement, la société leur impose un mode de vie et limite leurs chance de pensée et d'innover, ils ne peuvent pas mettre leur imagination en exercice.

Un indien est appelé à vivre la vie de ses parents sans y apporter la moindre modification. Tout au long de sa vie, il doit exercer le métier de ses parents. Le fils d'un charpentier ne peut pas rêver devenir un jour avocat ou médecin, et vice-versa.

La locomotive géante de l'Inde est une bombe économique. Comment expliquer qu'une Inde qui échange par jour des tonnes des marchandises, plus de cinquante pourcent de son peuple vit dans l'insuffisance alimentaire et souffres des maladies liées à la fin. C'est un contraste quand on pense à toutes ces productions au monde om ce pays détient la première place au classement générale.

Les uns sont appelés à gagner facilement la vie, alors que les autres à en souffrir. Le plus grand obstacle de l'essor de l'Inde reste le système de caste. L'abolition de ce système développera l'Inde, et quatre-vingt pourcent de la population est favorable à cette abolition contre vingt pourcent d'individus qui contrôles le pouvoir.
L'Inde ne peut pas doter ses citoyens d'un niveau de vie égalitaire, et moins encore des mêmes droits à la vie par respect aux règles des castes qui sont plus qu'une constitution.

Les Brahmins et les Kshatriyas ont évolués et toute l'économie demeure sous leur contrôle. Ils ont profité des castes pour bâtir une société qui répond à leurs règles. La vérité est bien visible, vingt pourcent d'individus consomment les ressources de quatre-vingt pourcent d'individus. Quatre-vingt pourcent d'individus celles de vingt pourcent d'individus. C'est le retour à l'Etat de la jungle.

Une société équilibré, de droits et justices communes est impensable tant que la caste n'est pas bannit. Alors que les uns ont l'accès à l'éducation, aux soins et à la
bonne vie et meurs, une grande partie de son peuple sont peuple est à la rue. La pauvreté en Inde est une fièvre et la mendicité un métier.

Quand on doit admettre que certains sont appeler à s'arrêter à un certain niveau de la vie, alors on ne peut pas développer toute la nation.

Le décollage de l'inde n'est qu'un slogan, ou mieux un rêve tant que ce system balance encore sa société, dresse son peuple contre lui-même. Alors que ce peuple dispose de plus des ressources à mettre en valeur que la chine, les Etats-Unis, la Russie, l'Allemagne et la France, entre autre son peuple brillant.

L'Inde devra stopper cette vague des cerveaux qui chôment et trainent partout dans les rues à la recherche des petits pains.

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