Extrait du site https://www.france-jeunes.net

Le meurtre...


Ceci est un petit article sur le cas des meurtres et viols. Comprendre que ceci devient de moins en moins rare et que c'est grave. Il y à des choses qui sont devant nous mais que nous oublions, nous qui ne sommes pas directement concernés.



12 juin 2000, à Chatam, prés de Lachute, Aylin Otano-Garcia décède des suites de coups de bätons de Baseball. Le meurtrier l'à frappée jusqu'a ce que mort s'en suive... La jeune Otano-Garcia n'était agée que de 15 ans...
Ceci ne devrais pas arriver...
Ce meurtre avait été prémédité. Racisme ou vengeance, la raison ne vaut pas l'action. La jeune fille se serrai moquée de lui à t-il avoué.
Une moquerie vaut-elle un meurtre ? Un meurtre vaut-il seulement 6 ans de garde fermée et 4 ans de libertée surveillée ? Cöté justice... C'est les soldes...
Il faut tenir en compte, lors d'un meurtre, de certains facteurs. Le fait social est souvent concerné, la vie passée, le millieu de vie... Parfois il y à la politique, l'ambiance de groupe... Plusieurs facteur donc plusieurs excuses ?
Je ne crois pas que ça fonctionne seulement comme ça. Bien sur, tout le monde à déjà pensé une fois à faire du mal à quelqu'un voir le tuer. Mais l'a t-on fait pour autant ? Non. Et la question qu'il faut alors se poser c'est "qu'est ce qui ma retenu ?"
La intervient tout les facteurs de notre vie, notre passé, toutes nos expériences. C'est grace à ça que l'on connais en partie le caractère d'un meurtrier. Souvent vous tombez dans un lieu d'enfance pauvre, avec une famille soit trop sévère, soit pas assez. Le cadre psychologique est atteint par un manque d'intimité, parfois mëme par un abus sexuel. L'enfant à un niveau mediocre à l'école, voir trés en difficulté. Il est alors soit, un enfant renfermé sur lui mëme, qui se cache, soit, un enfant trés ouvert mais, d'une manière ou d'une autres, cache sa psychologie, son monde interieur.
Et la vous vous posez la question... Ces facteurs sont-ils corects ? Non, en tout cas pas toujours et pas tous...
Un seul de ces facteurs, sans compter ceux que je n'ai pas énumérés, peuvent donner à une personne l'envie de meurtre.
Pour ce cas si, l'envie sexuel :
Jennifer, 15 ans et demi, a été découverte sans vie, hier en début d'après-midi, au niveau du n° 113 de l'allée des Lierres, dans les jardins ouvriers de la Bergeonnerie, à Tours.
Elle habitait ce quartier et était scolarisée en troisième au collège Jean-Philippe-Rameau, à Tours.
C'est un riverain qui a trouvé son corps nu et sa tête fracassée, ce qui ne laisse aucun doute sur la nature criminelle de son décès.
L'autopsie a révélé que Jennifer avait été violée avant d'être tuée...
Voila ce qui est pour moi le pire des crimes... Si un homme est capable de ça, rien ne l'excuse. L'abus sexuel passé, la médiocrité, la maladie, la pauvreté, la colère... Tout le monde à des malheurs mais pas tout le monde tue.


Autre cas :
Julien, le lycéen de 17 ans inspiré par le film "Scream" qui a été mis en examen et écroué à Nantes après l'assassinat d'une de ses camarades âgée de 15 ans, est un "garçon très intelligent" qui avait "conçu un scénario" de meurtre il y a un an, selon son avocate.
Le lycéen assassin se voyait "comme un fantôme". "Il s'agissait au début pour lui de tuer le maximum de gens possible et d'être tué à son tour", selon Me Elisabeth Daussy-Rioufol, qui assiste l'adolescent depuis le début de sa garde à vue.
Le scénario a ensuite évolué, subissant l'influence de "Scream" que Julien a vu plusieurs fois, et notamment l'après-midi précédant les faits. Il aabouti récemment à la "décision de tuer quelqu'un". "Il voulait voir ce que ça fait que de donner des coups de couteau à quelqu'un", rapporte son avocate. Le lycéen a fait preuve lundi d'une détermination totale, appelant sans succès un copain, puis une première fille de sa connaissance avant de trouver Alice. Il manifeste aujourd'hui beaucoup de remords, affirme ne pas avoir voulu la mort de cette camarade et trouve "normale" son incarcération.
Celui-ci, de toute sorte de folie qu'il a pu avoir, rien ne peut l'excuser. Il l'a fait, il pourra donc le refaire. La caractère psychologique de son acte montre une faiblesse d'esprit, un "court-circuit ".
Mais... Parfois l'humanité comme l'hinumanité ne s'explique pas.
Ou si on voudrais l'expliquer facilement ce serais peut-etre comme ça :
Le fait de tuer nuit à la société vu que si une personne tue gratuitement, d'autres le ferons. Ce qui au résultat donne l'extermination de la race humaine. Tout le reste des sentiments que nous ressentons sont psychologiqes. Le fait de voir un mort, même inconnu, peut nous choquer. Alors de tuer quelqu'un... C'est ancré dans notre cerveau. C'est un peu ce qui fait notre humanité. Certaines personnes, par métier ou pour autres raisons, on "l'habitude" de tuer. Ce qui les différencie entre eux est le fait que certains en garderons un souvenir imperissable et n'y prendrons jamais goüt tandis que les autres ne ferons même plus la diference entre un meurtre et un vol.
La justice est donc exemplaire. Est-elle assez sévère ? Ceci est une autre affaire...
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