Extrait du site https://www.france-jeunes.net

Une relation bien improbable !


Le rêve de tout homo : faire plonger un hétéro !



J'ai connu Marc lorsque j'étais au lycée. Il était en seconde, moi en terminale. Il avait 16 ans, environ de ma taille, très mignon avec un visage d'adolescent angélique, le corps imberbe et assez sportif. A l'époque, j'en avais 18. Le courrant est tout de suite bien passé entre nous. J'allais le voir chez lui, le soir, après les cours sous prétexte de jouer a la Playstation et de fil en aiguille on est devenu très proches. Ayant des problèmes familiaux, le fait de rester avec moi comblait les absences répétées de ses parents. Au final, nous passions même les week-ends ensembles : on était inséparables !

Un dimanche sa mère m'a demandé si je pouvais déménager chez eux pour la semaine vu qu'avec son père ils partaient en Bretagne se reposer. Aucun problème pour moi et dès le lundi soir j'aménageais chez Marc pour passer la semaine avec lui. J'avais eu de très rares occasions de le voir se dévêtir car il était très pudique mais j'étais obsédé par le fait de le voir nu et je prétextais n'importe quoi pour pouvoir avoir cette occasion d'apercevoir une partie de sa vie privée. Le premier soir on se retrouvait tous les deux dans cette grande maison. On dormait donc ensemble, dans sa chambre. La nuit on discutait des heures jusqu'à ce que l'un des deux s'endorme. On parlait de choses et d autres mais vu sa timidité sur le sexe, la conversation n'avait jamais déviée sur ce sujet.

Un soir où nous avions regardé la télévision jusqu'à minuit nous montâmes nous coucher. Je ne pouvais m'empêcher de le regarder se changer devant moi en guettant le moindre de ses mouvements. Il décida d'aller prendre une douche avant de se coucher. Il entrai donc dans la salle de bain et moi, restant le seul dans la chambre j'entendais bientôt l'eau couler. Je ne pouvais m'empêcher de m'approcher de la porte. Quelle fut ma surprise en voyant la porte entrouverte ! En silence, je m'approchais de celle-ci et mes yeux commencèrent à s'égarer dans cette pièce. Je regardais à travers la légère fissure. J'apercevais la glace de la salle de bain qui reflétait la cabine de douche, translucide. Je le voyais de dos ! Il se frottait avec du savon tout le long du corps. Je sentais l'excitation monter en moi. Quel plaisir de le voir se frotter son corps imberbe et ses jolies fesses bien rondes que je voyais pour la première fois ! Je me plaisais à mater le corps de mon copain de lycée qui ne se doutait absolument pas de ma présence. Il se mit d'un coup de coté ! Le rêve ! Je pus regarder avec grand soin ce sexe tant désiré qui était à moitié bandé. Une petite touffe de poils entourait le bel organe. J'étais aux anges ! Mon sexe commençait à se raidir. Je le voyais de plus en plus se frotter autour de son sexe. J'étais de plus en plus excité : je rêvais ! Sous mes yeux il commençait à se masturber légèrement pendant que je le regardais. J'avais tout d un seul coup : ce que je voulais voir et en plus il allait s'adonner à un petit plaisir solitaire sous mes yeux ! Je le matais de plus en plus et lui commençait à vraiment augmenter la cadence de sa "branlette d'ado". Je mourrais d'envie d'en faire autant mais l'envie était plus forte que moi ! De mon côté, derrière la porte je commençais à mettre la main dans mon caleçon. J'étais en symbiose avec mon ami ! On se donnait à notre plaisir solitaire en même temps même s'il ne savait pas que je prenais un plaisir immense à regarder son sexe bandé qui devait faire un bon 16 cm. Rien que l'idée de le voir propulser sa semence me donnait envie de jouir avant lui. Je devais me calmer et me contenter de regarder mon ami finir. Quel fut mon bonheur lorsque je le vis jouir en donnant deux ou trois petits coups de rein, la tête en arrière. J'aperçus 5 ou 6 petits jets de sperme qui venaient se déposer sur le plastique de la cabine de douche. Je profitais de quelques instants de plus, puis il coupa l'eau pour sortir de la douche. Je décidais de repartir dans la chambre.
Quelques minutes plus tard, il me rejoignit dans la chambre, tout heureux. Je décidais moi aussi d'aller à la douche. Une fois entré dans la salle de bain, je me déshabillais en laissant la porte entrouverte à mon tour. J'espérais qu'il fasse de même ! Je me mis sous la douche avec le souvenir des dernières images vues. Une surprise m'y attendais ! Il n'avait même pas rincé les parois de la cabine ! Quel bonheur de retrouver les quelques giclés de sperme qui avaient commencer à couler le long du panneaux. Mon excitation était encore plus grande. C'étais le plaisir total ! Je pense que jamais je ne m'étais masturbé avec autant de plaisir et de satisfaction. Je terminais mon activité secrète par de longs jets de sperme qui venaient se fixer contre le bas de cette cabine où résidaient encore les preuves du plaisir du précédent. En sortant de la douche, j'eus le réflexe de regarder dans la glace au cas ou mon acolyte aurait eu la même idée que moi. Mais on ne pouvait rien voir dans ce sens à cause du noir du couloir. Je m'essuyais et retournais dans la chambre.

Marc était la déjà dans les draps. Je me mis dans le lit d'à côté. On commençait à parler comme chaque soir de choses et d autres. D'un coup, je me suis mis à sauter sur son lit pour aller le chahuter, comme nous le faisions souvent. On faisait une bataille de coussins.
Au bout d un moment, on était tout les deux fatigués. Je restais là, allongé, à moitié sur lui sans bouger. Lui non plus ne bougeait plus. J'avais ma cuisse sur son ventre et je commençais à sentir son pénis en érection qui me touchait le dessous de la cuisse. Quelle surprise ! Je lui dit : "Allez je vais te faire un massage ! Mets toi sur le ventre !". Vu son excitation, il se retourna vite pour ne pas être gêné. Je m'assis donc sur le haut de ses cuisses, moi à genoux, mon sexe orienté vers le haut. Je commençais par masser les épaules, puis le dos et lorsque je montais jusqu'au haut de ses épaules, j'étais obligé de m'allonger à moitié sur lui, et la j'avais mon pénis en érection qui se déposait au creux de ses deux fesses. Je prenais plaisir à faire des allers retours, juste pour déposer mon sexe à cet endroit tant désiré. A chaque fois que je passais là, je le sentais serrer ses fesses, soit par réflexe, soit par envie de le garder. Je ne le savais pas. Je descendais le long de son dos en massant très délicatement cette peau juvénile et douce. J'arrivais de plus en plus à la limite de son caleçon que je repoussais vers le bas. Il ne disait rien : il faisait semblant de dormir et poussait des petits gémissements. Je me décidais donc à oser descende encore plus bas et je continuais mon massage jusqu'à avoir entièrement ses deux fesses dans mes mains. Quelle beauté d'avoir ces deux fesses là. J'avais envie de les embrasser. M'apercevant qu'il ne disait toujours rien, je continuais, le caleçon baissé jusqu'au haut de ses cuisses. Je me mis à lui embrasser délicatement le dos. Il ne disait toujours rien alors je descendais plus bas. J'embrassais tout le long de sa colonne et j'arrivais au début de la raie de ses fesses, si belles. Mes mouvements étaient hésitants, je tremblais beaucoup. Je me mis à embrasser chaque fesse. Je bandais de plus en plus et mon excitation grandissait ! Vu qu'il ne bougeait toujours pas je continuais, pensant qu'il aimait ce que je lui faisais. (Vu qu'il aimait jusqu'ici pourquoi n'aimerait-il pas plus ?). Soudain…

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