Extrait du site https://www.france-jeunes.net

Enfin, l'apologie de la cigarette...


Combien sont-ils ces crétins qui disent et répètent que fumer c'est mal sans avoir une seule fois respire le parfum bleu de l'éternité ? Voici pourquoi parfois, fumer, c'est bien.



Mare de Ces commentaires médiatiques et dans l'air du temps, de Ces inepties "politiquement correct", de Ces profs payés une misère de tous les mois et de Ces pédagogue à la con payés pour vous répéter à longueur de temps que fumer c'est pas bon pour la santé ? Voilà ce qu'ils oublient de vous dire.

Economiquement parlant, la cigarette étant le premier produit qui rapporte à l'état en terme de TVA, logiquement, acheter des cigarettes, c'est ramener de l'argent à l'Etat, donc lui donner les moyens de le réinvestir dans la machine-économie. Surtout que ces derniers temps, ça va pas fort (dette à 4, 8% du PIB), le plus on fume, le plus l'Etat va mieux.

Mais en dépassant le côté économique du problème, si l'on se place sur un plan plus psychologique, on s'aperçoit qu'avec tout le tapage qui est fait autour de la clope, dans beaucoup d'esprit, la cigarette est devenue le symbole de tous les "interdicteurs" : les parents, les profs, même la télé. En plus, il y a tellement de gens qui fument déjà que la cigarette est un interdit qui peut être brisé. Fumer, en tous cas allumer la première cigarette, ce n'est pas que se bousiller la santé dans un geste d'une stupidité inouïe, au contraire, ce geste aurait plus une vertu thérapeutique. En fumant, je commets une part du grand crime que je ne commettrai jamais. A travers la cigarette, j'accompli ce qui m'a toujours été désigné comme le mal et j'en tire la satisfaction personnelle de pouvoir me considérer comme un criminel, un méchant, un "briseur de table", comme dirait Nietzsche, en tous cas, quelqu'un de libre. Beaucoup rétorquenT que cela n'est qu'une illusion, que ce n'est que pour se conformer à une image. Eh ! Je n'ai jamais dit que C'était un quelconque remède allopathique au sens strict, mais cela permet de briser avec ce qui est imposé. Au sens Sartrien (Sartre était fumeur et alcoolique), la liberté est à l'image du hors bord au démarrage : il commence par rompre avec la résistance des flots, puis se lance dans une direction que rien ne lui impose directement. La cigarette, c'est la même chose. L'essentiel est de commencer par dire NON à tout ce qui est dans l'air du temps, pour dire OUI à son propre choix, fumer ou non, mais ne pas emmerder les fumeurs. Toujours pour Sartre, "Méfiez-vous des enfants sages, ce sont ceux qui font le plus cher payer à la société". Ce sont ceux qui ont toujours obéis qui seront les plus prompts à rompre avec les lois les plus importantes, alors que ceux qui ont fait les "400 coups", logiquement, ce sont ceux qui n'ont plus rien à prouver. Au bout du compte, ce sont Ceux qui accuseNT les fumeurs de vouloir frimer qui veulent pouvoir frimer et dire qu'ils sont restés purs aussi longtemps que possible.

En plus de cela, la cigarette, c'est gentil, ça fait à peine un peu de mal (surtout s'il s'agit de clope roulée, sans filtre), et ça fait au plus faire d'intéressantes rencontres, et ç'aurait pu être pire. L'alcool ne fait pas que tuer soi-même, il tue aussi ses proches (ne croyez pas ce qui est écrit sur les paquets, si vous ne fumez pas dans la gueule de vos proches et qu'en fumant dans la voiture, vous gardez les fenêtres ouvertes, vous ne leur ferEZ pas le moindre mal), alors qu'avec l'alcool, j'ai moi-même un bon ami qui a menacé sa femme avec un couteau de boucher parce qu'il s'était enfilé deux bouteilles de Jack Daniel's et qu'elle le lui avait reproché. L'idéal, ce serait de fumer avec modération, et de préférence en ami, avant de dire ou non stop une fois considéré le moment venu, et de ne pas mépriser comme c'est souvent le cas ceux qui ont le courage de fumer, car il faut du courage pour dire "Tout ce que l'on m'a dit à présent est faux tant que je ne me le suis pas moi-même démontré. Il n'est de vrai que ce qui est immédiatement évident à mes yeux et mes sensations immédiates". Le doute, cela fait peur, c'est le vide. Le fumeur, c'est celui qui s'est lancé dans le vide, et qui aime fumer. Le non-fumeur, c'est celui qui s'est lancé dans le vide, qui a fumé et n'a pas aimé. L'idiot, c'est celui qui n'a pas fumé, et qui condamne sans savoir, ou en croyant savoir, ceux qui fument.
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