La rencontre

Je n'avais que seize ans, et beaucoup de problèmes. Je vivais un enfer chez moi, mes parents ne s'occupaient même plus de moi et pour eux je n'existais plus, car ils passaient leur temps à se disputer. Des amis, je n'en avait plus, je m'était renfermer sur moi-même etétait devenu solitaire. Ma vie n'avait plus de sens, j'avait tout perdu. Je passais mes journées dans une petite rue sombre et triste assit sur les escaliers. J'aimais cet endroit car peu de monde y passait. Cette rue m'appartenait.

Je voulais passer mes derniers jours complètement seul et pour cela ne rentrais plus chez moi. J'avais pri la decision de quitter ce monde dans quelques jours, plus précisement, le jour de ma naissance.

Mais voilà qu'une personne ou plutôt une jeune fille apparut et s'assit sur ce vieux escalier. Elle y resta sans bouger et pleurant deux jours entier. Et là, d'un coup elle se leva et avança vers moi, et là je vu son visage, il était pâle et pleurant toujours. Aucun mot ne sortit de nos bouches. Il n'y avait que nos regards qui se croisaient et se fixa l'un dans l'autre. Après dix minutes sans réaction, je lui demanda pourquoi était-elle venu ici pleurer. Elle me raconta tout. Nos vies se ressemblaient. Et là, je décidait de me confier à elle, car pour moi elle serait la seule à pouvoir me comprendre.

Nous passâmes trois jours à discuter. Quel que chose s'était passer. Elle ne pleurait plus mais riait, et moi je n'avait plus ses pensées sombres. Je me sentait bien et heureux. Grâce à elle je voyais la vie différement. Je ne m'était jamais sentit aussi bien qu'à cette instant, et je commençais à apprécier les simples choses de la vie comme le rire et la joie.

Mais le lendemain en me réveillant elle n'était plus là dans mes bras, car on s'était endormis enlacer pour ne pas avoir froid durant la nuit. Et le soir venu, je réalisais que je ne me sentais plus aussi bien ici seul comme auparavant.

Je n'était pas rentrer chez moi ses derniers jours. Même si je n'en avais pas une grande envie, je rentrais. J'ai été surpris de la réaction de mes parents. Ils étaient en larmes et me prirent dans leurs bras. Ils avaient été inquiet. A ce moment j'emtendis les seules mots que je voulais entendre d'eux, ils me dirent "je t'aime". Ils réalisaient qu'ils avaient fait une erreur. Je ne réussis pas à leur en vouloir, car ils m'avais offert le plus beau des cadeau qu'ils m'aillent jamais offert, leur "amour".

J'appris dans le journal, qu'une jeune fille avait été battue à mort par son père. En regardant la photo, je la reconnue s'était elle et en dessous, le jour de son décès, était aussi le jour de notre rencontre.

Je ne crois pas que notre rencontre était le hasard. On était fait pour se rencontrer. On avait besoin d'aide tout les deux, mais surtout d'apprendre à pouvoir pardonner. Et je sais que si je ne l'avait pas connu, je ne serais plus là et n'aurais pas connu le bonheur que je connais maintenant.

Depuis, j'y retourne dans cette rue qui n'était plus sombre et triste mais envahie par des cris je joie, que je partage avec mes amis.