Extrait du site https://www.france-jeunes.net

N'ont-ils pas l'air heureux ?


Au coeur de l'empire états-uniens, un autre pays y résiste : le Venezuela. En effet, le gouvernement d'Hugo Chavez expulse littéralement le système capitaliste de son pays en y favorisant l'expansion de la propre richesse du peuple en lui redistribuant par des programmes sociaux justes et gratuits, ainsi qu'en favorisant une économie nationale.



Au détriment du nationalisme vénézuelien, M. Bush et ses compatriotes ont entamé une politique dévastatrice envers cette république bolivarienne en militarisant massivement la Colombie, et ce, afin de détruire le gouvernement libérateur d'Hugo Chavez.


Le système capitaliste

En fait, cette guerre pour qui l'a mènent-t'ils ? Pour un peuple détruit par un empire capitaliste ? Chavez désire plutôt nationaliser toute les mines de pétroles ainsi que les ressources naturelles de son pays, et soit dit en passant, le Venezuela est le 3e grand pays exportateurs d'or noir. Pour ma part, les pays du G8, puisqu'il ne faut pas qu'accuser les États-Uniens, désirent augmenter leurs coffres de richesses, malgré leur débordement. S'enrichir au profit de la mort d'un peuple. Ou est véritablement le mal ?

Dans un article de Patrick Martin*, on y décrit que la population n'a aucunement besoin de cadres au sein d'une compagnie. En fait, une grève entamée par ces patrons a démontré que les ouvriers étaient aussi capable faire fonctionner à une pleine rentabilité une usine ayant plusieurs administrateurs auparavant. Alors pourquoi avoir peur de les expulser ?


La menace

D'ici quelques années, le reste de l'Amérique latine souffrira d'un traité établit par des puissances commerciales américaines ayant pour but un libre-échange entre les Amériques (ZLÉA). Dans le but d'agrandir leurs marchés sans franchir les barrières tarifiaires des différents pays concernés. Cet accord provoquera l'amplification d'un rapport antagoniste entre deux classes sociales. Afin de permettre éventuellement, le développement de Zones Franches tel qu'elles existent au Mexique suite à l'ALENA

Et maintenant, alors qu'un homme porte sur ses épaules le sort, à la fois de son pays, mais également de toute la population du sud, devrait être exclu de ce monde ? Tout ce que cet homme désire, c'est de rapatrier ce qui est dû à son pays : la république bolivar du venezuela. Est-ce que c'est instaurant un régime éducationnel et de santé gratuit, qu'il va pour ainsi dire faire tomber la planète ? Est-ce que c'est par ses accords avec Cuba, afin d'établir des échanges bénéficiant à ces deux pays qu'une guerre mondiale va éclater ? Soyons sérieux... Est-ce que le bien est mal ?


L'heure de la prière

Chers dirigeants transnationaux, avez-vous réellement besoin de toutes ses richesses ? Pourquoi vouloir bénéficier de ressources qui ne sont pas vôtre ? Allez donc puisez au sein de votre nation et trouvez leur de quoi à faire, au lieu de les laisser périr sous une terre ou la malbouffe est reine et ou la corruption, et la pauvreté dominent elles aussi. Ayez pitié des vôtres et trouvez leurs un travail honnête. Et d'ailleurs, faites dont de même.


Non loin de chez nous

Ce phénomène de pillements de ressources naturelles n'est pas réel qu'au venezuela, mais en des terres capitalistes aussi. On n'a qu'a penser à l'Or Bleu canadienne. Des compagnies asiatiques, telles que Naya viennent voler une ressources fondamentales à la survie d'un peuple, pour ensuite la leur distribuer moyennant un coût ? Pourtant, cette ressources leur demeure gratuite derrière eux.


Réveillons-nous !

En conclusion, il faut cesser de louangers les actions économiques des capitalistes, mais plutôt défendre et lutter pour que le peuple soit mondialement libre et souverain par ses choix et ses actions. Alors, que justice soit faite.
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