Extrait du site https://www.france-jeunes.net

Quand la vie ne rime à rien...


J'ignore comment décrire ce texte et même comment vous donner envie de le lire alors en voilà deux passages : "Impressionnée par ta force, j'ai goûté à ton torse, j'ai goûté à ta force : Et demande le divorce. " "Il faisait de grands gestes pour qu'elle lui vienne en aide. Elle le fixait. " ... Petites histoires humaines.



Mariée promise et non éprise, sous cette chemise... Une femme soumise.
Impressionnée par ta force, j'ai goûté à ton torse, j'ai goûté à ta force : Et demande le divorce.
Ton ivresse, me blesse ; tes caresses : Souvenirs de jeunesse.
Bleu, jolie couleur de l'eau, bleu, comme le ciel est beau. Un bleu sur la peau : Espoir d'un monde nouveau.
Vie rêvée, journées ensoleillées, avec lui, le temps a tout emporté : Mon amour, pour toi, mon amitié.
Saveur d'été, humeur changée ; peur envolée : Cœur apaisé.

Des câlins Le matin ;Le soir, des poings : Début de la fin.
Baignade à la rivière, rencontre inattendue ; Portée disparue : Retrouvée hier.
Amour véritable, Amour détestable, Amour regrettable : Souvenirs mémorables.
Avec sa muse, il s'amuse, use... Et abuse.
Femme perdue, Femme émue, pour son élu : Cœur mis à nu.
Amant voyeur, mari trompeur, beau parleur : Homme sans valeurs.


Diantre ! Ma petite histoire est trop courte...

Pour la peine (j'espère toutefois que ce ne sera pas une punition que de lire la suite) vous avez droit à un extrait d'une de mes compostions inachevées.

_ Les enfants, si vous avez terminé mettez vous assiettes dans l'évier et allez vous brosser les dents ; et sans courir dans les escaliers... Chéri t'as oublié de prendre tes médicaments ce midi. Je te mets ceux du soir ici dans la petite cuillère.
_ Que ferais-je sans ma petite infirmière ... Dit l'homme en souriant. Viens que je t'embrasse. Tu veux bien être gentille et me les donner toi-même. La femme esquiva le baiser et alla chercher la petite cuillère de médicament et un verre d'eau. Fixant les lèvres de son mari, elle pensait aux soir où quand il rentrait, il avait du rouge à lèvres, alors qu'elle ne l'avait pas sur de la journée ... Rouge à lèvre qui ne pouvait donc pas être le sien.
_ Ouvre la bouche, lui dit t-elle avec un sourire comme si elle s'adressait à un de ses petits.

Elle donna ses médicaments et le verre d'eau. Il commença à toussoter, elle alluma la radio. La porte grinça, elle éteignit la radio. Plus un bruit. On entendit alors des gémissements, elle augmenta le volume. Elle essuyait les assiettes. Lui se tordait de douleur. Elle le regardait immobile. Il faisait de grands gestes pour qu'elle lui vienne en aide. Elle le fixait.

Une fois la vaisselle en ordre elle quitta la cuisine et ferma la porte à double tours laissant la radio allumée. En sortant elle se heurta à quelque chose.
_ Oh ! Bah ma puce, que fais –tu là ? Tu devrais être au lit...
Sophie aurait du être au lit. Seulement elle se trouvait là, dans le couloir.


Si ce n'est pas l'homme, c'est la femme...
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