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La pierre de Crystal


Je vais raconter quelques-unes de mes histoires dont la pierre de cystal. Je l'ai inventé moi-même et je suis très fière de mon histoire. C'est pourquoi je la publie.



Bonjour ! Ici je vais vous écrire l'histoire que j'ai inventé il y a de cela pas si longtemps. C'est à cause que j, avais un travail à faire en francais que j'ai écrit cette histoire. J'espere vraiment que vous allez l'aimer vous aussi. Elle n'est pas très longue l;ors de la remise de mon travail, mais je vais rajouter des détails ici. Ensuite, je vais aussi écrire une autre histoire. Je crois que je vais écrire la suite de mon livre eragon qui est soit-disant très bon. J'espere que vous aller apprécier la suite du premier livre car le deuxieme je suis en train de le lire... Alors jespere bien que vous aller aimer la suite de l'histoire que j'ai inventé... Ou bien que je vais inventé ! En tout cas, bonne lecture !!! En tout cas, moi je m'appelle catherine boisvert et jaimerais bien devenir écrivaine.


La pierre de crystal

Mike lit le journal de Montréal et mange son déjeuner. Une belle journée s'annonce pour aujourd'hui. Tout-à-coup, Mike entend à la télé : Depuis une heure ce matin, des extraterrestres sont sur terre. Si Mr Mike trouve la pierre de Cristal dans la rivière Sans Fond, la terre est sauvé... Notre vie dépend de lui. Avec violence, il prend la télécommande et ferme la télé.
- Tout le monde est informé avant moi...
Il met alors son manteau jaune et ouvre la porte de la maison. À grand pas, il marche jusqu'à la rivière Sans Fond situé à coté de chez lui. Il met une main devant l'autre et saute à pied joint dans la rivière glacée. En excellent plongeur, Mike nage le plus rapidement possible vers le fond. En forçant avec ses bras et ses jambes pour aller vite pour trouver cette pierre dans le fond de la rivière, il s'aperçoit qu'il manque de souffle. Or, il voit la pierre de Cristal à quelques mètres plus loin dans l'eau. En rassemblant son courage, il va la chercher. L'ayant dans sa main, il remonte vite vers la surface... Au moment ou Mike va enfin prendre sa bouffée d'air, quelques choses lui tire le pied vers le fond. N'ayant plus d'air, il avale de l'eau et s'étouffe. Sur ce, il meurt.
Nous ne l'avons jamais revue... Mais quelques minutes après que quelque chose lui tire le pied, nous avons juste vu quelques bulles d'air sortant de l'eau noir... L'eau noir de la rivière Sans Fond...


La partie des poèmes

Un petit poème pour toi... Dans la vie
Tout peut s'user Mes bas... Mes souliers...
Mon crayon et ma gomme à effacer...
Mais moi, je connais une chose
Qui ne peut jamais s'user...
c'est la joue d'une maman
Qui reçoit des baisers de son enfant

Ton regard était si intense que j'ai cru voir du feu dans tesyeux. Jai cru qui sortirait de tes yeux pour venir me brûler a tout jamais.

C'est l'antique forêt !... Noyés dans la pénombre,
Vieux et moussus, drapés dans leur feuillage sombre,
Les pins au long murmure et les cyprès altiers,
Qui bercent aujourd'hui, sur des fauves sentiers,
Les nids harmonieux, sont semblables aux bardes
Qui venaient, chevelus, chanter dans les mansardes,
Aux druides sacrés dont la lugubre voix
S'élevait, prophétique, au fond des vastes bois.
Sauvage et tourmenté, l'océan vert, tout proche,
Se lamente sans cesse en ses antres de roche,
Et la forêt répond, par de profonds sanglots,
Au long gémissement qui monte de ses flots.

C'est l'antique forêt, et c'est l'efflorescence !...
Mais tous ces coeurs naïfs, et charmants d'innocence,
Que l'on voyait bondir comme bondit le daim,
Quand le cri du chasseur a retenti soudain,
Que sont-ils devenus ? Et les modestes chaumes ?
Et les vergers en fleurs d'où montaient tant de baumes ?
Et les jours qui coulaient, comme au bois les ruisseaux
Dans la clairière bleue ou sous les noirs arceaux,
Ensoleillés souvent par une paix profonde,
Assombris quelquefois par la crainte du monde,
Que sont-ils devenus ?... Quel calme dans les champs !
Plus de gais laboureurs. La haine des méchants
Jadis les a chassés, comme, au bord d'une grève,
Quand octobre est venu, l'ouragan qui s'élève
Chasse et disperse au loin, sur l'onde ou les sillons,
Des feuilles et des fleurs les légers tourbillons.
Grand-Pré n'existe plus; nul n'en a souvenance;
Mais il vit dans l'histoire, il vit dans la romance.

Ô vous tous qui croyez à cette affection
Qui s'enflamme et grandit avec l'affliction;
Ô vous tous qui croyez au bon coeur de la femme,
À la force, au courage, à la foi de son âme,
Écoutez un récit que disent, tour à tour,
Et l'océan plaintif et les bois d'alentour.
C'est un poème doux que le coeur psalmodie,
C'est l'idylle d'amour de la belle Acadie !
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