Extrait du site https://www.france-jeunes.net

Cette fatalité que l'on apelle la mort


Comment faire lorsque l'on arrive pas à oublier des passages douloureux de sa vie ?



Toi mon grand-père que j'aimais tant pourquoi est-tu partis sans un au-revoir, sans rien ?
Tu étais tout pour moi, mon grand-père, mon héros, mon modèle...
J'étais toujours avec toi, je ne voyais que par toi.
Lorsque nous n'étions pas ensemble, on nous demandait souvent pourquoi. Car la logique était "Toi et moi".
Si ma mère avait le malheur de dire quelque chose qui ne me plaisait pas, je t'appelait et tu venais aussitôt me chercher.
Je pouvais passer mes journée entières chez toi, tu fesais tou ce que je voulais.
Tu fesais même du vélo avec moi, on fesait des courses ensembles, on allait à la chasse, à la pêche, sur ton terrain voir tes moutons...
Tous ces moments me comblaient de bonheur.
Un jour tu as même préféré venir me chercher plûtot que d'emmener mamie au magasin.
Je retenais presque 100% de ton attention.
J'étais, en quelque sorte ton clône en féminin. Jamais on ne s'ennuyait, on trouvait toujours quelque chose à faire même si le temps n'était pas toujours avec nous.


La tristesse, le desespoir...

Un jour, j'ai eu une compétition de natation, mon objtectif numéro 1 était de remporter une médaille pour que tu sois fier de moi.
Au moment ou j'ai plongée dans l'eau je ne pensait qu'a ça, te faire plaisir. Je voulais juste remporter une médaille.
Je me suis concentré et me suis surpassée et j'ai gagnée une médaille.
Mes premières paroles en sortant de l'eau furent : " Vite maman, on va chez Pépère pour lui montrer la médaille que je viens de gagner !! "
Ma mère a juste fais un signe oui de la tête.
Dans la voiture, il y avait ma mère, ma tante, ma soeur et moi.
Ma mère s'arreta dans une rue qui m'était inconnue, descendit de la voiture, m'ouvrit la porte et me demanda de venir avec elle, en me disant qu'il fallait qu'elle me dise quelque chose.
Alor je la suivi et la je me senti toute bisard car mère se mit à pleurer. J'était très surprise de la voir pleurer car je n'avais que 7 ans.
Je lui est demandé avec un air innocent si tout allait bien ?


La mort

Elle me répondit que je ne pourrai pas allez voir mon grand-père maintenant.
Moi voyant ma mère dans un tel état, je lui est dit que ce n'étais pa grâve qu'on irai le voir plus tard.
Et c'est à ce moment là qu'elle ma dit que je ne pourrai plus jamais revoir mon, grand-père car il était mort.
Arrivée chez mes grand-parents, il y avait tous mes oncles et tantes ainsi que ma grand-mère.
La première chose que j'ai faite en arrivant fut d'aller dans le fauteuil à mon grand-père et de me blottir dedans.


Un passé très douloureux

A l'ordre d'aujourd'hui je n'arrive pas à parler de la mort de mon grand-père tellement elle a été douloureuse pour moi.
A chaque fois que je parle de lui, je me met à pleurer, c'est comme si j'avais une cicatrice dans le coeur qui ne s'est jamais refermée, et qui fait toujours très mal.
Je voudrai pouvoir parler de lui car je l'adorait, je fesait énormément de choses avec lui mais cette blessure m'en empèche donc j'en parle que rarement et ma conversation est toujours très courte.
Comment pourrai-je faire pour que cette cicatrice se referme et ne me laisse que les bons moments ?
Extrait du site https://www.france-jeunes.net
Tous droits réservés