Extrait du site https://www.france-jeunes.net

Les émeutes de banlieues de novembre 2005


En Novembre 2005, des émeutes se sont déroulés dans les banlieues de France. Ces jeunes appellés "racailles" par Nicolas Sarkozy brulent, tuent... Pour certains et s'expriment et revendiquent leurs droits pour d'autres. Eclaircissons ces évenements, en observant ses conséquences sur la société française.



En Novembre 2005, les banlieues ont pris feu : de nombreuses voitures ont été brûlés, des bus carbonisés et d'autres dérives ont eux lieu.
Nous verrons dans cet article premièrement les causes de ces évènements en évoquant le contexte des émeutes puis deuxièmement nous observerons les conséquences que ces émeutes ont eues pour la société française, notamment dans le milieu politique.


Les causes et le commencement

Tout d'abord, intéressons-nous à la base de ces violences (on a trop tendance a oublier le réel commencement de ces violences). Dans une citée de Aulnay sous bois, deux adolescents (Bouna et Zied) sont poursuivis par la police (je ne développerais pas plus pour ne pas entrer dans un débat qui n'a pas lieu d'être), une fois poursuivis ils se cachent dans une centrale EDF et sont tragiquement électrocutés à l'âge de 15 et 17 ans. Peu de temps après, l'ancien ministre de l'intérieur (Mr Nicolas Sarkozy) arrive dans une banlieue sensible de la Courneuve et a un comportement douteux en répondant à une femme et s'exclame : "On va nettoyer ces racailles au Karsher ! ". Peu après, les violences dans beaucoup de banlieues mais aussi dans certaines villes rurales ou pavillonaires débutent. Les médias ne ratent aucun moment pour faire de l'audience en sur-médiatisant ces scènes qui passent de l'absurde à l'horrible. Durant ces révoltes on peut voir des "jeunes" qui brûlent la voiture de leurs oncles, tantes sous prétexte qu'ils ont la "haine !!! ". Rappelez vous aussi, cette femme handicapée brûlée dans un bus par des jeunes : le paroxysme de l'horreur est ateind.
Paradoxal, ce comportement : comment lorsqu'on réclame plus d'écoute pour la banlieue, comment peut-on attaquer la banlieue elle-même : quel est ce comportement masochiste qui consiste à se planter un couteau dans le bras en réclamant d'être soigné. Bien sur, les banlieues méritent plus de reconnaissance et plus d'écoute : mais ce n'est pas un comportement qui stigmatise encore plus les banlieues et ces habitants. Le vote est un comportement bien plus citoyen et ce comportement jusqu'à preuve du contraire ne tue personne. Plus de social, les manifestations et les grèves existent et elles aussi ne tuent pas et ne privent de voitures des personnes qui ont en besoin pour travailler tous les jours.
Heureusement que les émeutes de banlieues qui sont fondés et revendiquent de bonnes idées n'ont été suivies que seulement par un très faible pourcentage des jeunes de banlieues.


Les conséquences

Les violences dans les banlieues ont eu de nombreuses répercutions sur la société française. A l'étranger, on considère ces révoltes comme le mai 68 des "pauvres". Dans la société française, la politique du ministre de l'intérieur Nicolas Sarkozy (qui a été la cause de la révolte) a durcit sa politique au lieu d'essayer de comprendre les revendications et de résoudre les disparités entre les communes : Nicolas décide d'avoir une politique encore plus à droite que les anciens ministres de l'intérieur de droite en faisant une répression massive et demandant à la police de faire du chiffre pour gagner plus. Cette politique honteuse pour la France plaît à l'opinion publique et Nicolas Sarkozy est en ce moment en tête des sondages. Il risque de devenir président de la république : comment peut-on nommer président de la république un homme qui depuis qu'il est élu à fait augmenter la violence sur les personnes et a déclenché une révolte comparable à certaines guerres civiles. Sarkozy, une politique que je refuse : beaucoup de jeunes refusent aussi cette politique, ainsi : ils, nous éspérons qu'il ne deviendra pas président.
Extrait du site https://www.france-jeunes.net
Tous droits réservés