Extrait du site https://www.france-jeunes.net

L'homme, l'humanisme et la réalité


L’homme, l’humanisme et la réalité Le croyant (en toute subjectivité !) susceptible d’ouvrir des pistes de réflexion, je ne voulais pas oublier les plus jeunes et les plus curieux/ses. ...



1) L’enfance
En grandissant, ne découvre-t-on pas que la vie est injuste ?
« Pourquoi lui ? » (Le masculin neutre sera employé) « Pourquoi pas moi ? » (Dans les deux perspectives : négative et positive)
Pourquoi des accidents ? Des catastrophes imprévisibles ? Des maladies ? Des handicaps corporels ou/et mentaux ? Pourquoi suis-je riche et lui pauvre ? Pourquoi j’assimile sans peine les maths et lui, non ? Etc. La phase dite adulte et non pas « adulescente »
En vieillissant, ne se rend-on pas compte que la sensation « positive » implique la « négative » (si jamais on ne nie pas la dialectique du principe de symétrie, ce qui est très rare puisque la devise conseillée …est d’« essayer de garder les bons côtés de la vie et de s’efforcer d’oublier les mauvais » !), comme le sens d’un mot exige l’altérité ou l’existence de sa négation ? (Lumière et obscurité, froid et chaud, etc., ne vont-ils pas de pair ?)
L’examen du processus de la vie
L’observation de sa multiplication et complexification au fil des ères conduit à la perception que le phénomène de la naissance ne peut aller sans celui de la mort.
Pourtant, cette conclusion n’a jamais été (sauf exception) acceptée, intégrée.
* Au lieu d’honorer la totalité du cycle, le début a toujours été fêté et la fin (le plus souvent) incomprise et rejetée !
Le « BUG » qui a empêché les homo sapiens de se transformer en « hommes vrais » ne se situerait-il pas précisément au niveau de la méconnaissance du mode de fonctionnement du cerveau ? !
Nos dominants avaient-ils intérêt jadis à favoriser cette démystification ? !
Et le comble, actuellement, qu’apprend-on à l’école primaire ? ! Et ensuite ? !
-Les cellules suivent le principe d’homéostasie : essaient de se maintenir en état.
-les animaux se préservent de la mort par le mécanisme de la « peur » qui a le mérite d’activer « l’instinct de survie » géré par le cerveau dit reptilien (la partie la plus ancienne).
Ils possèdent un cortex les aidant à agir, anticiper et calculer un peu, à court terme. Mais ils ne sont pas dotés d’un néocortex permettant l’abstraction, l’imagination, la conceptualisation à long terme !
Nous n’avons pas su en général désamorcer cette crainte, c. à d. l’analyser, comprendre son caractère indispensable, substituer une réponse réfléchie au réflexe de conservation, introduire la « dignité humaine ».
Même les gens qui croient en un Dieu assument fréquemment très mal la programmation de l’envolée vers l’après- vie !

Concrètement, les dégâts ne sont pas minces mais parfois monstrueux !
-En France, n’est- il pas recommandé d’être un chien ou un chat ayant des maîtres « civilisés » pour bien terminer son séjour terrestre ? !
-L’euthanasie est illégale. Voir l’affaire Humbert !
-Les Français qui se gargarisent avec les expressions « liberté » et « libre arbitre », les athées ou/et les rationalistes, pensent sans doute que la vie ne leur appartient pas puisque, dans la Constitution, le droit ou l’autorisation de la quitter volontairement est strictement interdit par la loi ! Son propriétaire (par défaut) est donc un mystérieux « dieu » ! Celui dont on ne doit pas en République laïque évoquer officiellement ou supputer la manifestation !
Le terme « dignité » est bafoué !
Bien sûr, cela ne choque pas lesdits intellectuels qui sont bien trop accaparés par la navigation au plus près en fonction des vents pour tenter de faire la course en tête, celle du succès et de la réussite dans l’Establishment !
Le cerveau des émotions est chargé de la mémoire, du « pilotage automatique », de la chasse au bien être (en court-circuitant le néocortex).
Selon le tempérament, le vécu, nous nous contenterons du plaisir ou nous montrerons plus sélectifs, poursuivrons la quête du bonheur, de l’harmonie, de l’effet de résonance, de la communion avec un groupe, un ensemble, et plus largement avec la nature ou le cosmos.
Le principe fondamental de la société de consommation n’est-il pas l’exploitation « positive », tous azimuts, des manques, frustrations, mal-être, fantasmes ; la proposition de sources de plaisirs compensatoires s’estompant dès que consommés ; l’encouragement à renouveler l’accès à ces impressions gratifiantes en achetant t. p. de produits t. p. sophistiqués ? ! La mainmise ou la canalisation de nos pulsions ... ? !

Une affirmation contestable ou non ?
Ne nous complaisons-nous pas dans nos contradictions comme des aveugles et sourds et obtus décrits dans le recueil de contes et légendes confectionné par des paysans bergers avant d’être récupéré par une secte devenue religion. <V. ch. 13.13 év. s. st.-Matt.> ?

Une aberration peut-elle se perpétuer indéfiniment ?
Cette absurdité a-t-elle pu subsister sans infecter, telles les métastases cancéreuses … ? !
Cette incompréhension de la mort, le refoulement de la notion de cycle, nous ont poussé à nous fixer sur des a priori rudimentaires tirés de la géométrie euclidienne (Euclide : -325,-265 av. J.-C.) et de l’arithmétique où les droites symboliques aussi idéales que fictives croissent « toujours plus » (t. p.) jusqu’à l’infini et où tout peut progresser selon la règle des proportionnalités ? ! Et sur la verticalité et l’horizontalité !
En 2003, M. Raffarin, premier Ministre, ne s’offrit-il pas luxueusement l’originale phrase ~ « La route est droite mais la pente est raide » ? !
-Est-il concevable qu’on puisse foncer t. p. vite, loin, etc., dans un milieu fermé ? !
-N’est- ce pas déclarer la guerre à la nature et violer le rythme de son développement ? ! La biodiversité n’est-elle pas t. p. menacée par l’impérialisme scientifique ? ! L’intrusion d’espèces étrangères, en relation avec les échanges intercontinentaux, est-elle sans risques pour la flore et la faune indigènes agressées et n’ayant aucun répit pour assurer une quelconque défense ? !
(V. par ex. les retombées de l’importation de la perche du Nil dans le lac Victoria, thème d’un film « Le cauchemar de Darwin »)
-Puisque la « croissance » (le nerf de la guerre économique capitaliste ou dite libérale) se heurte plus ou moins au « principe de précaution » (Si on avait attendu x années, pour mesurer à chaque fois la nocivité éventuelle d’une découverte avant de se lancer vers un projet « neuf », où en serions-nous ? !) ;
-puisque la période de latence propre à la durée de l’élaboration des lois de sauvegarde ou garde-fous (ne pouvant pas adopter la cadence des avancées technologiques, devant d’abord identifier les anomalies n’émergeant qu’au bout d’un certain laps de temps) entraînera un vide juridique t. p. grave ouvrant la voie à t. p. de prédateurs ;
-le destin de ce désir d’avancer t. p. rapidement et haut, n’est-il pas déjà scellé ? !

* N’ont pas été approfondis les comportements des masses qui se sentiront grugées, trahies à mort par des gouvernants …, donc de toutes les façons « no futur » !
* Quant à s’adresser à notre ego surdimensionné, quelle serait la différence entre vivre x ou y décennies si tout devait s’achever par l’échec absolu : le néant ? !
Si tout était en réalité désordre et incohérence ? !
Si le jeu consistait à se mobiliser pour exploiter ses semblables, les dépouiller, mener grand train, profiter de tous les plaisirs matériels possibles sous la coupe du cerveau mammalien (ou des émotions !) égoïstement ou à l’intérieur d’un club restreint de truands ; cela en vaudrait-il la chandelle ? !
Et qu’est-ce que le bonheur familial ? Est-il l’objectif ? ! Et le « Prochain » ? !
(Il est vrai qu’on ne peut censurer la parole des personnes qui expliquent qu’elles ne croient en rien mais qui désirent respecter une morale …Une psychanalyse déterrerait des racines cachées)
* Que peuvent signifier les dites catastrophes naturelles si dévastatrices ? Les éruptions volcaniques, tremblements de terre, tornades, cyclones, foudre, tempêtes, tsunamis, inondations, sécheresse, etc. ? Et la loi de la jungle où le plus fort mange le plus faible ?
Chez les animaux, elles génèrent la panique …
Chez les homo sapiens, aussi !
Mais chez l’ « homme vrai » ? !
* Au contraire, si ces événements n’étaient pas stupides (comme parfois nos actes !) mais avaient une raison, ne constitueraient-ils pas des indices signalant que la « mort » est seulement le point de passage obligé avant l’accession à une seconde phase (inimaginable pour nos frêles têtes aussi prétentieuses, présomptueuses, qu’inconscientes et limitées) ? !

* N’est-il pas amusant ou navrant de constater :
-que beaucoup de « faux humains » sont capables d’user de tous les moyens (les plus horribles ou barbares) pour demeurer dans l’ « enfer terrestre » ? !
-Qu’ils préfèrent souffrir que s’échapper ? !
-Qu’ils voudraient bien y mariner éternellement, donc travailler dans le stress, la précarité, la compétitivité (qui ne pourraient être que t. p. intenses) ? !
(Une Terre où 20 % des habitants profitent de plus de 80 % des ressources est-elle idyllique ? ! Voir aussi les images des actualités télévisées ! Si tous les Terriens vivaient comme les Européens, il faudrait 3 planètes pour satisfaire leurs appétits ! ! !)

* Finalement, l’évaluation comparative de notre génome et de celui du chimpanzé (révélant une dissimilitude inférieure à 2 %) ne remet-elle pas les horloges à l’heure ? !
Si l’omniprésence de la sexualité (v. Freud) est validée, elle n’a guère provoqué de répliques puisque prenant à contre-pied tous les idéologues (Bizarre, la parabole «L’homme créé à l’image de Dieu » qui soudain fait apparaître Dieu comme un bonobo boosté ! Etrange, le décret des rationalistes : « L’homme est un dieu en devenir » ! Dans ce paysage inédit, l’option du silence assourdissant a fait recette !)

* Nous qui nous prenons pour des merveilles …, quel est notre emploi du temps ? Chaque matin et soir, si nous ne sommes pas au chômage, comme des fourmis, nous nous élançons à la queue leu leu dans les rues ou sur les routes ou encore vers le métro !
Et nous louons notre corps (et plus grave, notre matière grise) à un employeur !
Nous fabriquons ou manipulons ou vendons des matériels ou des denrées dits modernes (avec toutes leurs déficiences : ils ou elles sont souvent superficiel/les, nocifs/ves puisque contenant des polluants, etc.) uniquement contre rétribution, POUR DE L’ARGENT ! Peu importe la destination, les usagers, la « morale » sous-jacente ! (Cela n’évoquerait-il pas un métier tabou quoique potentiellement nettement moins conséquent ? !)
Et ce parcours, plus que balisé, perdure pendant environ quarante ans ! Sans révolte ! Et nous certifions être « heureux » ! (A plus de 70 % d’après les sondages annuels !)


2) le microcosme et le macrocosme ...

Cette analyse, apparemment rigoureuse, pèche comme beaucoup d’autres parce que le raisonnement « logique » repose sur une axiomatique inadaptée, axée sur la prééminence de l’ego dans un horizon individualiste microcosmique qui n’a pas sa place dans l’approche macrocosmique d’une société ! (Ne pas oublier que la Révolution marxiste a échoué parce qu’elle se basait sur « l’homme rationnel » !)
Même s’il est impossible de se mettre à la place de l’organisateur du « Jeu de la vie », il n’en reste pas moins que, par une série de déductions par l’absurde, on peut encadrer un peu plus objectivement notre condition.


3) l'hypothèse de l'hyper "jeu de la vie"

Des questions sur le « comment » et le « pourquoi »
-L’alimentation du moteur de la vie ne proviendrait-elle pas des « motivations » ?
-Dans leurs compositions, ne décèlerait-on pas (en grattant suffisamment) des « manques » et des « déséquilibres », sur fond de principe d’homéostasie ?
-Dans un vrai paradis sans le moindre besoin, des réactions, actions, mouvements, se produiraient-ils en générant de l’animation ? !
-L’être vivant ne se retrouve-t-il pas plus ou moins livré à lui -même, dépourvu d’indications fiables, dans le flou, le brouillard ou plus, obligé de réagir parfois ou souvent à l’aveuglette ou à tâtons pour parvenir à se dépêtrer de situations dangereuses ?
-Dans ce contexte, n’est-il pas amené à parier, miser, échafauder des tactiques ou stratégies dans le but de « gagner », « réussir », « contourner », etc., « dépasser », le ou les obstacles qui surgissent sans cesse ? !
-N’aura-t-il pas tendance, pour prévenir l’insécurité, la mort, en titillant son néocortex imaginatif, à accentuer t. p. son avantage passager en consolidant son acquis, en le protégeant (conservatisme), en accumulant t. p., sans s’apercevoir qu’il se met à courir après sa queue, qu’il tombe sous la dépendance de l’addiction « TOUJOURS PLUS », qu’il s’emprisonne dans un engrenage machiavélique dont-il est très difficile ou impossible de sortir sans déclencher une explosion et implosion : voir l’engrenage du système capitaliste ? !
-Le vocabulaire venant d’être utilisé ne figure-t-il pas dans le domaine des jeux ?
-Pourquoi la théorie mathématique des jeux ne pourrait-elle pas s’appliquer relativement efficacement?
Sa structure
1) Les règles ne peuvent pas être binaires mais incertaines et laissant la place au dit « hasard » (c. à d. au mystère non susceptible d’être levé)
Sinon, il perdrait toute sa saveur. Il se dénaturerait puisque le gain deviendrait déterminé. (En supposant la cruauté « normale », le cri « Malheur aux vaincus » serait aussi légitime !)
2) Les participants doivent avoir envie de jouer ! Sinon tout ne s’arrêterait-il pas ?
La formule « Du pain et des jeux » est-elle obsolète ? ! (Voir les organigrammes TV !)
3) Quels sont les ingrédients d’un jeu qui fonctionne bien ?
-Les quelques gagnants ne cohabitent-ils pas pacifiquement avec la masse des perdants parce que liés par « l’espoir » de s’en sortir ?
-Si cet espoir vient à trop s’amenuiser, le jeu ne s’effondre-t-il pas et n’est-il pas remplacé ?
Succinctement, ne distingue-t-on pas plusieurs profils ?
-Ont hâte de s’élancer les concurrents croyant en leur avenir.
-Les résignés et soumis ou les « pas de chance » n’aspirent qu’à prolonger leur respiration.
-Les désabusés sont parfois amers.
Dans tous les cas, quels que soient la situation, le talent ou la force des acteurs en compétition, le grand manège ne peut que tourner correctement et perdurer que selon des modalités établies, qu’en respectant des quotas ! Peu importe la qualité ou l’intelligence globale des éléments ! (Cf. le principe de Pareto ou la règle des 20 % / 80 % ; les politiques du résultat entreprises dans des pays revendiquant la compétitivité, celle promue par M. Sarkozy)


4) par analogie, un spectacle théâtral ...

Ne se qualifie-t-il pas en tant que chef-d'oeuvre par la richesse, la diversité, la multiplicité de tous les « bons » et « mauvais » rôles ? Et ce qui se trame dans les coulisses a-t-il un rapport avec le jeu de scène ? Attribue-t-on la prestation la plus facile à l’actrice ou l'acteur le/la plus doué(e) ?


5) un détail de type mathématique

« les arbres de l’évolution »
Une enquête on ne peut plus mathématique, statistique, sur l’évolution de nombreux animaux et végétaux à travers l’Histoire de la Terre, entreprise par des chercheurs de renom (Laurent Nottale, Jean Chaline, Pierre Grou) a relevé l’existence de schémas communs à de nombreuses espèces.
Ils ont émis une hypothèse : si jamais nous empruntions les mêmes chemins que les organismes étudiés, nous devrions rencontrer un crise majeure, une remise en cause générale de nos modes de vie avant 2080. Cette théorie originale a été consignée avec succès en l’an 2000 dans l’ouvrage « Les arbres de l’évolution » édité chez Hachette Sciences-Littératures.


6) l’avenir, non pas de l’homme mais de notre globe

Ne se ressourcera-t-il pas dans la communauté féminine ? !
La nouvelle ère qui est en train de s’esquisser, vu la dégradation inévitable de la civilisation « T. p. », à quoi ressemblera-t-elle ?
Si un bouleversement engendrant des mutations (v. la disparition des dinosaures, les travaux de Darwin) ne balayait pas tout, alors, par exemple, une régulation dite naturelle (telle celle de l’épidémie de la myxomatose) pourrait, après un élagage très important, laisser
~ 10 % de survivants prêts à repartir d’un bon pied … !
-L’état d’esprit des femmes a-t-il déjà été loué, apprécié loyalement ?
-En Occident, n’ont-elles pas dû composer en permanence pour trouver un petit coin parmi le monde des hommes, voire des mâles ? Est-ce mieux dans les autres continents ? ! Par ex. dans l’espace musulman ? !
-N’étant plus infériorisées mais elles-mêmes, puisque configurées via des cycles, le côté réducteur de la linéarité de la croissance continue et illimitée ne devrait pas les attacher mais les inciter à tout réaménager ; à enfanter la vraie dimension de la vie dite « humaine » ou « digne » ?


Des dernières remarques ...

* Pourquoi une personne « V » aurait-elle plus de valeur ou de mérite qu’une personne « W » ? Un jugement ne s’articule pas sur un postulat ? ! (Ceux-ci ne sont-ils pas plus que variables selon le milieu culturel, la période historique, etc. ? !)
Et chacun de donner son opinion en partant de « midi à sa porte », de toute bonne foi !

* Les rationalistes (souvent des matheux) savent (ils l’ont démontré !) que la conscience de l’existence d’un espace V de dimension « n+1 » est inaccessible, inconcevable, pour un esprit fonctionnant en dimension « n ». Ils commettent donc ouvertement et volontairement une escroquerie intellectuelle en décrétant qu’ils sont des représentants de l’espèce suprême de l’Univers (v. la néo parabole : « L’homme est un dieu en devenir »).
[[Cet exercice s’adressant à toutes et tous explicite simplement les propos précédents. Il propose de disposer 6 allumettes (figurant 6 segments de même longueur) sur une table plate illustrant un plan de manière à configurer 4 triangles équilatéraux ayant pour côtés ces 6 segments.
Si on est obligé d'abandonner la recherche de ce problème sans solution dans le plan (de dimension 2) ; l'idée consistant à décoller, à se mouvoir dans l'espace traditionnel
(de dimension 3), aboutit de suite à la construction d'une pyramide triangulaire de type équilatérale formée des 4 triangles souhaités. N'est-il pas clair que l'organisme sans épaisseur se déplaçant sur un plan ne peut pas avoir conscience de la notion de relief ? !]]

* Ne sont- ils pas aussi à l’origine de l’addiction « T. p. » ?

* Eux et les religieux, ne seraient- ils pas plus frères qu’ennemis ? !)

*** Les gouvernements, après une modélisation et réduction abusives du monde vivant (sa mathématisation cartésienne et marchandisation), décidaient en fonction des « + » et des «- ». De plus en plus, ils n’auront plus d’autres possibilités que de choisir entre des « - » et des « - ». Le début de la fin n’est-il pas déjà commencé, visible, depuis quelques années ? !

Cordialement.

N. B. M. Henri Laborit, biologiste célèbre, philosophe, m’a apporté des repères principaux ...
En particulier :
« Le seul amour qui est vraiment humain, c’est un amour imaginaire … » (V. l’ouvrage « L’éloge de la fuite »)
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