La taxidermie

Tout d'abord je voudrais signaler que ce métier est en voie de disparition, en effet il existe en France seulement 150 taxidermistes, dont 5 en Gironde et 1 seul à Bordeaux.
La taxidermiste bordelais chez lequel j'ai effectué mon stage travail pour son compte sans aucuns employés. Il travail 50 à 60 heures par semaines pour des SDF (Sans Difficultés Financières) parti en safari, il a ainsi empaillé un lion avec une biche dans la gueule. Mais il possède aussi des poissons et une très grande collection de volatiles.








La naturalisation

Lors de la réception de l'animal à naturaliser, il faut le congeler pour le conserver. Il faut alors dépecer l'animal décongelé en gardant la plupart du temps les pattes avant et arrières, la peau et le crâne pour les petits mammifères comme les chats et les écureuils. On enlève donc tous les organes.


Après avoir tanné la peau c'est-à-dire lavé de toute impureté, il faut :

Pour les petits animaux (écureuil, chats) les bourrer de copeaux de bois puis les recoudre avec une aiguille et du fil de la couleur de la peau de l'animal.
Pour les trophées de chasse (têtes de biches, cerfs, oryx, impala) coudre la peau tanner autour d'un moule en mousse de polyuréthane.
Pour tous ceux pour qui ce métiers intéresse il faut être méticuleux, et il faut beaucoup de connaissances animalière de préférence que le peut apprendre en étant chasseur et pécheur.
Il faut être allé jusqu'en 2nd après il existe un CAP taxidermie à Meaux ou alors être apprenti, le diplôme étant discerné par le maître.
. Il y a beaucoup d'avantage à faire ce métier le plus grand étant d'être indépendant.

Les premiers taxidermistes étaient autodidactes.
Pendant ce stage d'une semaine j'ai beaucoup appris et j'espère que vous aurez aimé cet article. Merci à tous et a à bientôt.


Une espèce rare

Cet oiseau empaillé est une espèce en voie de disparition.