Extrait du site https://www.france-jeunes.net

"Jamais d'amour, l'amour ça vous tue. "


Petite histoire perso sur ce fabuleux, merveilleux amour.



Cette phrase que j'ai entendue dernièrement venant d'un ami me parait malheureusement bien adaptée à ce sentiment destructeur qu'est l'amour. A 22 ans, un sentiment mitigé, l'impression d'avoir souvent frôlé cet amour tant recherché. Des regrets ? Si je le savais...
A vrai dire, je me demande si j'ai le droit de parler d'amour, n'étant pas entièrement sure d'avoir connu celui-ci. Etant un homme très passionné, j'ai toujours donné beaucoup de passion à chacune de mes relations. Considérant chaque femme connue comme une reine éphémère de mon royaume des plaisirs. J'ai toujours investi une grande partie de mon temps et ma tendresse dans ces maitresses, qu'elles soient érotiques, timides, endiablées, frigides. Ainsi, je peux dire que chacune de mes relations fut un amour fou, explosif, mais parfois trop court pour considéré cela comme le vrai amour, l'intemporel, dont la température ne baisse jamais. Il est vrai que de ces amourettes, j'ai gardé un souvenir plus grand de certaines. Ces femmes qui nous laissent une empreinte indélébile sont aux nombres de trois chez moi. La première dont je vais parler est Alice, cette belle belgo-polonaise.


Alice est sans doute mon premier amour, avec tout ce que cela m'a apporté de joies, de tendresses, de passions mais aussi de peines, colères et chagrins. Car même si ce fut ma première expérimentation des joies de l'amour réciproque c'est galement à cause de cette première désillusion que je n'ai que rarement réussi à trouver un équilibre dans les relations amoureuses qui allaient suivre. Cette jeune fleur est indéniablement l'un des meilleurs "coups" de ma vie. Fille déjà très expérimentée malgré son jeune âge. Nous avions respectivement 15 ans et nous avions déjà une même passion, le sexe. C'est avec elle que j'ai découvert une forme de sexualité bien plus libertine que ma précédente expérience. Ce mélange de jeunesse, liberté et amour commun nous apportait à chacun une joie de vivre et un épanouissement sexuel rassurant qu'il fut bien difficile d'abandonner, et qu'il est bien difficile de retrouver aujourd'hui. Bien que j'eu de nombreuses autres relations sexuelles par après, comment oublier ce moment si agréable ou pour la première fois elle m'a offert cette gâterie incomparable que j'ai surnommé très vulgairement "la pipe royale". Allongé dans un énorme champ de blé, la chaleur de l'été, le silence et la folie de cette reine qui
avait une manière si extraordinaire de me faire atteindre un état de jouissance suprême à l'aide de ces chaudes et douces lèvres ont fait de ce moment une scène toujours gravé dans ma mémoire, 7 ans après, tout comme une grande partie de nos ébats. S'il est bien difficile d'oublier ce tendre moment, comment faire abstraction de cette après-midi d'automne où nous ressortîmes en sueur de cet agréable petit café désert. Bar, ou nous avions passé la majorité du temps enfermés dans les toilettes, à faire chanter nos corps sur le rythme de notre histoire. Le serveur, en fit une bien drôle de tète quand il vit, après deux heure, ses uniques clients ressortir en sueur de cet endroit où peu de personne s'attardent plus d'une dizaine de minutes. Sans oublier cette soirée d'été où, cachés par les branches d'un arbre nous nous fîmes tout de même surprendre par une vieille passante qui promenait son chien. Et comment oublier cette "pipe royale" à laquelle j'ai eu le droit. Assis dans le fond sombre de la salle de cinéma où était projeté si je me rappelle bien, le premier volet des aventures de Jack Sparrow, "Pirates des Caraïbes".
Est-ce le coté pornographique de notre relation ou les heures passées à discuter de tout et de rien qui m'ont fait adorer ce premier amour ? Je pense que c'est un mélange des deux qui a fait que je n'oublierai jamais cette partie de ma vie. La rupture difficile qui résultat de notre désunion fut aussi un très mauvais moment, très très mauvais moment. J'ai eu du mal à comprendre que cette amour si fort, se soit si vite estompé et que cette fille pour qui j'aurai encore pu soulever des montagnes m'annonce qu'elle veut mettre un terme a cette idylle. Je pense d'ailleurs que cette journée fut aussi celle de la plus grosse cuite de mes 15 ans. Je me rappelle avoir croisé mon voisin en rentrant et qui voyant que je n'étais pas dans mon assiette, m'interrogeât et me proposât ensuite de noyer mon chagrin en sa compagnie car lui aussi avait perdu sa reine il y'a peu de temps. A cause de cette rupture, je perdis une partie de cette insouciance qui fait qu'on attend toujours beaucoup de l'amour sans être sure d rien et je vécus chacune des relations suivantes comme une passion éphémère. L'amour venait de tuer une partie de
moi, la naïveté. Oui, décidément, l'amour vous tue à petit feu...


Est-ce le coté pornographique de notre relation ou les heures passées à discuter de tout et de rien qui m'ont fait adorer ce premier amour ? Je pense que c'est un mélange des deux qui a fait que je n'oublierai jamais cette partie de ma vie. La rupture difficile qui résultat de notre désunion fut aussi un très mauvais moment, très très mauvais moment. J'ai eu du mal à comprendre que cette amour si fort, se soit si vite estompé et que cette fille pour qui j'aurai encore pu soulever des montagnes m'annonce qu'elle veut mettre un terme a cette idylle. Je pense d'ailleurs que cette journée fut aussi celle de la plus grosse cuite de mes 15 ans. Je me rappelle avoir croisé mon voisin en rentrant et qui, voyant que je n'étais pas dans mon assiette, m'interrogea et me proposa ensuite de noyer mon chagrin en sa compagnie car lui aussi avait perdu sa reine il y'a peu de temps. A cause de cette rupture, je perdis une partie de cette insouciance qui fait qu'on attend toujours beaucoup de
l'amour sans être sure de rien et je vécus chacune des relations suivantes comme une passion éphémère. L'amour venait de tuer une partie de moi, la naïveté. Oui, décidément, l'amour vous tue à petit feu...
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