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A la recherche d'Aziyadé

Cet article est un extrait remixé de Fantôme d'Orient de Pierre LOTI. En fait, c'est le sujet d'invention qui est tombé au bac de français cette année.


Je rappelle que ceci est censé être l'extrait du journal de voyage qu'il a pu écrire sur le bateau du retour, en confrontant ses rêves (ceux de Pierre LOTI) à la réalité.

Alors que je partais à la recherche d'Aziyadé, une tempète fait rage, mais le navire tient bon. Je veux la revoir, je dois la revoir. Ma tête, mon coeur, mes muscles, mon corps tout entier me supplie d'affronter ces vents violents, cette pluie glaciale, les vagues de la mer sont si hautes que j'ai peine à voir la ville. Les bras de l'océan veulent attraper mon navire, mais la lutte continue. Les heures filent, nous ne bougeons pas. La Terre ne veut pas de moi et l'Océan tente de m'avaler, moi, mes hommes et mon navire, mais nous tenons bon, nous affrontons cette maudite tempête, je hurle afin de me donner du courage et l'Océan prend peur, les bras de la mer se replient et repartent aux plus profonds des abysses. Ma joie est immense, mais de courte durée...
La place est libre, le chemin est ouvert et nous pouvons naviguer en direction de cette sinistre ville. Mais quelle ville !
Une ville au sourire macabre, aux yeux de flammes, les deux grands dômes de part et d'autre de la ville ressemblent aux cornes de Satan et la fleuve qui s'écoule pour se jeter dans la mer semble être la queue du Malin.
Mais je n'ai pas le choix, je dois entrer, pénétrer dans la ville dans le but de retrouver ma Aziyadé. Mon amour, m muse, mon être aimée, mon ange, elle est la beauté parmis toute cette laideur, elle est la pureté parmis toutes les imperfections de la nature. Comment une si belle créature peut elle faire partie d'un monde si cruel, si mauvais ? Elle est si fragile, si belle, si parfaite.
J'arrête là mes doux songes et repars à l'assaut de la ville. L'odeur fétide se dégageant des marécages m'empêchent de respirer, je suis en apnée, je continue à traverser, mais, forcé de respirer, j'inspire une grande réserve d'air infecte. Enfin, la délivrance arrive... je vois la route... il ne me reste que quelques mètres à franchir... encore un pas... çà y est ! Je suis vivant, mais la dure quète n'est pas fini, il me reste à traverser la ville, à fouiller, à retrouvé Aziyadé.
Je suis aux portes de la ville, j'avance, je cours, hésitant, ici et là, je questionne le peu de gens que je rencontre, mais ceux-ci ne veulent pas me répondre. Je me sens complètement persécuter par le mal, ces gens ne me comprennent simplement pas. Ils ne peuvent pas m'aider.
Je cours, je fuis dans le dédal de rue. Ne suis-je pas passer devant cette auberge ? Je ne sais plus, le mal de tête m'envahit, je n'ai plus de force. J'ai l'impression d'être seul, mais deux de mes hommes sont avec moi. Je tombe, je me relève et glisse à nouveau. Je reste sur le sol, sale et dégageant une mauvaise odeur comme les personnes autour de moi. La misère est tellement présente en cex lieux. Mais je ne suis pas misérable ! J'ai seuleument besoin de reprendre des forces. Nous avons besoin de reprendre des forces.
Je réussis malgré tout à me lever, j'entre dans cette auberge afin de déjeuner, mais l'aubergiste croît que je suis mendiant. Moi ? Pierre LOTI ? Un mendiant ? La vue d'une pièce d'or le fit changer d'avis et il me serva. J'envoya un de mes hommes à la recherche d'Aziyadé. J'envois le second, mais ils ne reviennent pas.
Je paya mon déjeuner et parti moi-même à la recherche de mon aimée. Je pris une route qui m'était inconnue. Ce fut une grosse erreur car je m'y suis perdue.
L'inquiétude envahit mon esprit car je devais retourné au navire. Je ne voulais pas, je ne pouvais pas rester prisonniers de ces rues, de cette ville si sombre et si vide. Je criais son prénom : Aziyadé ! Aziyadé ! mais l'écho fut ma seule réponse. Le soir naissait et la pénombre apparaissait. Le retour était inévitable.

Voilà, c'est fini. Bon je sais que c'est peut-être un peu long et bravo à ceux qui ont eu le courage de lire jusqu'au bout. En réécrivant tout, je me suis rendu compte que j'avais fait des petites erreurs (pas des erreurs d'ortographes ou de grammaire, mais des erreurs dans l'exercice de réécriture), mais maintenant, c'est fait et je ne peux plus rien changer. Je souhaite bonne chance à tous ceux qui ont passer le même examen que moi.
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Re: A la recherche d'Aziyadé
Posté par nahela le 20/08/2004 07:53:02
rahhh.... tu me rappelles un mauvais souvenir !!! lol nan sans blague ça va pas de remettre ce sujet ??? qu'est-ce que j'ai pu stresser à cause ça... avant, pendant et après...!!

cela dit j'espère que cette fin d'année se passera aussi bien que celle de 1ère ! j'ai bien aimé ta vision de l'hsitoire, c'est sympa de voir ce que d'autres ont pu écrire sur un même sujet !
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Publié le 23 octobre 2003
Modifié le 23 octobre 2003
Lu 1 148 fois

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