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Korg Electribe Koss Pad k2000

Ce texte explique l'histoire de l'entrprise korg. Korg créer des synthétisuer des sampleurs et autre machine pour composer et editer. Les quatre chapitres explliquent les qualité des machines...


C'est peut etre crue mais c'est comme sa je pense que'l'on peut mieux le percevoir.

Korg est à l'origine d'un certain nombre d'innovations, dont la première boîte à rythmes, le premier synthétiseur polyphonique abordable, et le premier accordeur électronique.

L'histoire démarre en 1956 à Tokyo, suite à la rencontre d'un musicien et d'un patron de boîte de nuit. Tadashi Osanai, accordéoniste japonais, par ailleurs ingénieur de formation, se produit régulièrement sur la scène du night club de Tsutomu Katoh. Ce dernier, pour les besoins du spectacle, a investi dans une boîte à rythmes américaine, la Sideman Wurlitzer. Tadashi Osanai, séduit par le concept, n'est pourtant pas entièrement satisfait du produit. Persuadé de pouvoir mieux faire, il décide de développer lui-même un appareil de ce type et convainc Tsutomu Katoh d'en financer la réalisation.

La voie ferrée de Keio, à proximité de laquelle sont loués les premiers locaux, donne son nom à la société, Keio Electronic Laboratory Corporation, créée en 1962. Elle emploie alors quatre personnes. C'est ainsi qu'un an plus tard apparaît la première boîte à rythmes japonaise, la Disc Rotary Electronic Auto Rythm Machine DA-20, suivie de deux autres modèles, les DC-11 et DE-11. Plus tard, en 66 avec la DE-20, la Keio abandonne les technologies électromécaniques au profit des transistors. En 1967 arrive la boîte à rythmes MP-2.

Le marché musical nippon, détenu à 90 % par Yamaha et Kawai, semble difficile à pénétrer, mais grâce à un accord passé avec Yamaha, Keio, chargé d'équiper en boîte à rythmes les claviers Electrone, acquiert une réputation internationale.

Parallèlement à l'amélioration de la série MP, Keio diversifie ses activités. Tsutomu Katoh engage un nouvel ingénieur, Fumio Mieda, qui travaille à la conception d'un orgue électronique programmable. Un produit commercialisé en 71, et vendu à cinquante exemplaires. C'est à cette occasion que la société est rebaptisée KORG, contraction de Keio Organ.

En pleine expansion, le marché de l'orgue est entre les mains de Baldwin, Hammond, Kawai, Lowrey, Wurlitzer et Yamaha. Difficile de lutter face à de telles compagnies. Conseillé par un musicien japonais, ancien étudiant à Beklee, qui lui affirme que la conception d'un orgue est très proche de celle d'un synthétiseur, Tsutomu Katoh décidé de se lancer dans un domaine où la concurrence est moins sévère, puisqu'encore aux mains de quelques pionniers seulement. Finalement, largement inspiré des concepts de l'orgue de Fumio Mieda, le MiniKorg 700 sort en juin 73, pour 995 dollars, à comparer avec l'ARP 2600 (1995 dollars). La première année de production, environ 8000 exemplaires sont vendus à travers le monde.

Fort de ce succès, le rythme s'accélère avec le 5800 DV (1974), un synthétiseur duophonique, dans un autre domaine, les accordeurs WT-10 er WT-12, révolutionnaires à l'époque. Puis en 1975, le 900 PS, premier polyphonique à présets.

En 1976, sont présentés les " Polyphonic Ensemble " PE-1000 et PE-2000, le monophonique 770, successeur du MiniKorg, et l'orgue CX-3, reconnu comme l'une des meilleures imitations portables du son Hammond. L'année suivante, c'est au tour du M-500 SP, une version simplifiée du 900PS.

1977 voit le lancement de la série PS 3000, des machines de recherche. Elles sont également totalement polyphoniques gr‚ce à l'application de la technologie du diviseur d'octaves, issue encore une fois de l'orgue électronique. Keith Emerson, le plus connu des utilisateurs de synthétiseurs de l'époque, adopte le PS-3300.

1978, année charnière pour KORG. Bénéficiant d'un tout nouveau design, les MS10, MS20, SQ10, VC10 et MS50 débarquent. Les monophoniques MS10, 20 et 50 (sans clavier) sont de puissantes machines de recherche, à l'image des PS mais leur prix est inférieur à celui du MiniKorg des débuts. quand au vocoder VC 10, c'est le modèle le moins cher du marché.

1978 est l'année des synthétiseurs à mémoire, comme le Prophet 5 Sequential. Korg n'est pas en reste, et le dernier modèle de la série PS, le 3200 est programmable.

1979 démarre une nouvelle gamme, le Sigma et le Lambda destinés à remplacer les peut être et le 900PS.

1980 lancement du Delta et du Trident.

En 1982, arrive le Polysix, un polyphonique six voies à 32 mémoires, qui tente de rattraper le Prohet 5 sorti quatre ans plus tôt. Un argument de taille, son prix 1995 dollars contre 4500 pour le modèle Sequential Circuits. Le Polysix est un énorme succès. La même année est introduit le Mono/Poly et la version MKII du Trident.

Le Poly 61 succède au Polysix en 1983, et sa mise à jour MIDI le Poly 61 est présenté, 1984, tout comme le Poly 800 premier polyphonique programmable à moins de 1000 dollars.

Mais 1984 est l'année Yamaha, qui a lancé en 1983 la modulation de fréquence, etdétrône tous les concurrents. Passé le choc DX7, Korg renouvelle totalement sa technologie en 1985 avec la série DW 6000 et DW 8000 pour " Digital Waveform ", qui offre en lieu de multiples formes d'ondes générées numériquement par addition d'harmoniques, dans le but de concurrencer la précision des sonorités FM.

En 1985, lancement du Poly 800 et du EX 800. Arrivent également les premiers pianos Korg DP 80, DP 2000 et DP 3000 avec une technologie FM.

Korg n'a jamais oublié des boîtes à rythmes, et après les séries MP et KR, sort en 1986 la DDD1. Quelques innovations dans la gamme de prix : pads sensitifs, mais surtout cartes ROM enfichables format carte de crédit et une carte de sampling optionnelle.

En décembre 1985, Korg rachète Unicord, son distributeur américain. Rebaptisé Korg US, ce dernier inclut également un centre de recherche et de développement sur la côte ouest pour mieux coller au marché américain.

En 1986, le premier piano numérique à échantillonnage chez Korg le SG1 et SG1D.

En 1987, arrivent le dans 8 et le 707 synthétiseurs qui utilisent la modulation de fréquence (FM). La même année, introduction du piano grand public c'est 600 et c'est 800.

En 1988, sortie du M 1, unique représentant de la prometteuse série M 1/S 1/Q 1 et best seller qui permet à Korg de doubler Roland. Cette année-là succès mondial pour la gamme de pianos Korg, utilisant pour la première fois un échantillonnage stéréo : les C-2500, C-3500, C-5000, C-6000, C-7000 et C-9000.

En 1989, sortie de l'expandeur M3R.

En 1990, lancement de la gamme T1, T2 et T3.

En 1990, lancement du Wavestation, gr‚ce aux efforts conjugués des ingénieurs de Korg et du team Korg US.

En 1991 arrive la gamme 01W/FD, pro et proX, synthétiseurs Workstation avec 32 voies de polyphonie et multi-timbrale sur 16 canaux. Lancement aussi du premier module chez KORG à la norme " GM " (General Midi) le 03 R/W.

En 1992 le premier module demi-rack de Korg le 05R/W.

En 1993, Korg présente un nouveau type de clavier. Le synthé arrangeur I3 et I2, claviers arrangeurs interactifs avec séquenceur, édition des timbres, lecteur de disquette, etc... Lancement également des KorgX3 et X2, synthétiseurs Workstation.

En 1994 arrive le X5, petit synthétiseur polyphonique. Lancement du premier arrangeur amplifié Korg, le I4S.

En 1995, Korg présente le Prophecy, un petit synthétiseur monodique. Il utilise une nouvelle synthèse MOSS (technologie à multiples cellules DSP). Arrive aussi la même année la nouvelle gamme de synthé " Trinity ". Une nouvelle génération d'instruments intégrant un concept de workstation avec une qualité sonore optimale et un magnétophone numérique multipistes direct to disk sur quatre pistes. Arrive aussi dans la même année le Pad Electronique WD-1, percussion électronique virtuelle.

En 1996, lancement du X5D avec une polyphonie de 64 voies et de son expandeur X5DR, puis des Workstations n'364 et n'264 avec un arpégiateur et des RPPR (real pattern play record). Arrivent aussi dans la même année l'arrangeur I5S et le synthé arrangeur IX 300.

En novembre 1996, lancement du nous 5R, expandeur demi-rack au standard GM, GS et XG avec une interface interne pour connecter une carte fille.

En 1996, Korg ouvre un centre de recherche et de développement en Italie, baptisé Korg Italy, pour mieux coller au marché européen. Une volonté concrétisée par la sortie en 1997 des premiers pianos européens Korg EC 300 et EC 500 et des arrangeurs IS 40 et IS 50.

En 1997 arrive aussi le N5 Korg, la verison clavier du NS5R avec arpégiateur et des contrôles en temps réel, le Korg Z1, le premier synthé polyphonique Korg qui utilise la synthèse à modélisation physique, du piano professionnel SG proX et d'un multipiste numérique 8 pistes le D8.

En 1998, lancement du I30, le clavier arrangeur professionnel avec un écran tactile, du synthé N1 (un N5 avec 88 notes et 6 Mo de PCM supplémentaires), et...
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Re: Korg Electribe Koss Pad k2000
Posté par titlapin le 20/08/2004 07:51:06
Bon article :o)
Re: Korg Electribe Koss Pad k2000
Posté par nosal le 20/08/2004 07:51:06
mhhhhhh :) Tres bel article et belle chronique, mais il faudrait peut-etre expliquer ce qu'est un expandeur ou la polyphonie et tout les mots techniques. Parce que les hens qui vont lire et qui ne s'y connaissent pas tres bien en matiere de matos synthé, risque de faire les grands yeux !
J'aime bien korg ! C'est un marque que j'admire beaucoup ! Mais personnellement, je préfère tater un Kurzweil, meme si ce n'est pas non plus une révolution !
Voila !

- NoSal 1.61
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Publié le 10 juillet 2003
Modifié le 10 juillet 2003
Lu 2 339 fois

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