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L'Algérie plongée dans le noir

Une panne de régulateur, et c'est le black-out total, l'Algérie tout entière dans le noir, sans électricité, imaginez la scène...


La soirée du lundi était comme toutes les autres soirées, quand soudain il y'a eu une coupure de courant, on croyait que c'était une panne au niveau du quartier et que se sera vite rétabli, mais au bout de 1h30 on commence à s'impatienter et se demander la cause de la coupure.

Il était environ 20h30 quand une défaillance survient à un régulateur de gaz à Alger, qui a entraîné sa fermeture ainsi, toutes les autres centrales se sont retrouvées isolées, et c'était l'arrêt, un black-out total dans tout le pays. Imaginez. 2.381. 741 km² le deuxième plus grand pays africain ou encore le dixième au monde dans le noir !!

Ce soir là, le ciel était dégagé et la météo bonne, il y avait un ciel illuminé par les étoiles, un plaisir pour les passionnés d'astronomie !!

Le réseau à pu être rétabli à partir de 22h et tout est redevenu normal à partir de minuit.


Mais pourquoi une panne pareille ?

Le PDG de Sonelgaz à répondu que le système d'interconnexion entre les centrales coûte moins cher, ainsi si une centrale se met en marche les autres la suivent (surtout en heure de pointe, ce qui fut le cas le 03 février), quand une baisse de tension survient il n'est plus possible à la centrale d'alimenter, ce qui entraîne sa fermeture par mesure de sécurité ainsi, les autres l'ont suivi.
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Re: L'Algérie plongée dans le noir
Posté par dany dool le 20/08/2004 07:50:06
www.leparisien.com

ET A PARTIR DE LUNDI
Une semaine Spéciale Algérie
A l'occasion de la visite que Jacques Chirac y effectuera du 2 au 4 mars, Le Parisien publiera toute la semaine prochaine une série d'enquêtes et de reportages réalisée par ses envoyés spéciaux en Algérie.
- Tout ce qui a changé en Algérie
- Les relations avec la France
- Le sondage: L'Algérie
Re: L'Algérie plongée dans le noir
Posté par zaki le 20/08/2004 07:50:06
Excusez moi, je rectifie !!!
je ne voulais pas dire ne plus écrire d'articles sur l'algérie, je voulais dire écrire encore plus et beaucoup plus d'articles sur l'algérie parceque vous m'avez encouragé !!!
J'aime et j'aimerai pour toujours l'algérie !
Re: L'Algérie plongée dans le noir
Posté par dany dool le 20/08/2004 07:50:06
http://www.africa-onweb.com/liens/algerie/008.htm

lu dans 'le monde"


L'Algérie sort de son isolement, les Algériens ploient sous la misère

Le président Bouteflika a été confronté à une protestation sociale inédite durant trois mois
Quand des pluies diluviennes s'abattent sur le nord-ouest du pays, le 10 novembre, provoquant à Alger un torrent de boue qui va déferler des hauteurs et tout emporter sur son passage, les Algériens se croient maudits. Leurs malheurs n'en finiront-ils jamais ? En quelques heures, un millier de personnes vont perdre la vie, presque toutes à Bab-el-Oued, et 23 000 habitations être détruites ou endommagées, alors que la pénurie de logements est déjà en elle-même un fléau.

Sept mois plus tôt, la Kabylie était à feu et à sang, menaçant d'enflammer l'ensemble de l'Algérie. C'est le 18 avril que le coup d'envoi des émeutes est donné. Ce jour-là, un lycéen est tué dans une gendarmerie à Beni-Douala, près de Tizi-Ouzou. Portée par un mouvement citoyen inédit, une fronde va surgir et continuer trois mois durant, se caractérisant par un mélange détonant de protestation sociale et de délinquance juvénile.

L'onde de choc secoue Alger et se propage à l'est et au sud du pays, notamment à Annaba, Constantine et Biskra, faisant au total une soixantaine de morts et plus de 2 000 blessés. Sur fond de revendications identitaires en Kabylie, les émeutiers dénoncent pêle-mêle la hogra (l'abus de pouvoir), le chômage, la misère, l'absence de perspectives, le sentiment de n'avoir prise sur rien... Bref : la "malvie".

HAINE DE L'ÉTAT
Après des mois de pourrissement et de paralysie politique, le président Bouteflika annonce, début octobre, une concession de taille - la reconnaissance du tamazight comme langue nationale - et charge son premier ministre, Ali Benflis, berbère originaire des Aurès, de régler le dossier kabyle. Des pourparlers sont engagés en décembre avec une délégation de Kabyles "dialoguistes" (par opposition aux "radicaux", opposés à toute négociation avec le pouvoir), mais leur manque de représentativité risque de retarder la sortie de crise.

En Kabylie, la haine de l'Etat reste vive, comme presque partout en Algérie. Car le président Bouteflika n'a pas réussi pour l'instant à réconcilier les citoyens avec un pouvoir qu'ils rendent systématiquement responsable de tous leurs maux. Maintenant que le terrorisme a reculé - le ramadan qui vient de se terminer a été le moins sanglant qu'a connu l'Algérie depuis 1992 -, les Algériens exigent non plus de survivre, mais de vivre. Or, sur ce plan, leur situation ne s'est pas améliorée.

En dépit des efforts du gouvernement et d'un ambitieux plan de relance économique lancé au printemps, la paupérisation continue de s'étendre, l'eau est toujours aussi rare et l'accès aux soins de santé de plus en plus difficile. Le chômage et la pénurie de logements empêchent les jeunes de se marier et de fonder une famille, exacerbant leur ressentiment et leur volonté obsessionnelle de fuir le pays. Du côté des réformes, les retards s'accumulent. De multiples chantiers ont été lancés, mais peu ont abouti. C'est le cas, notamment, de la réforme de l'Etat, de l'éducation et surtout du système bancaire, condition pourtant indispensable à la venue d'investisseurs étrangers.

Reste que l'Algérie aura réussi, en cette année 2001, à sortir de son isolement. Elle a été aidée en cela par le contexte international issu des attentats antiaméricains du 11 septembre. Reçu à deux reprises dans l'année à Washington par le président George W. Bush, le président Bouteflika a paraphé en décembre à Bruxelles un accord d'association avec l'Union européenne et inauguré un partenariat de l'Algérie avec l'OTAN.

"Ce retour sur la scène mondiale est indéniablement un succès. L'Algérie est de nouveau perçue comme un partenaire avec lequel il faut compter, souligne Luis Martinez, chercheur au CERI (Centre d'études et de recherches internationales). Les Etats-Unis et l'Europe contribuent à la reconstruction de cette image extérieure, mais il s'agit pour l'instant d'une coquille vide. Le gouvernement Benflis arrivera-t-il à la remplir en remettant l'appareil d'Etat en marche, en attirant les investisseurs hors hydrocarbures et en réintégrant les Algériens dans la vie politique ? En aura-t-il le temps ?"



respect profond pour l'algérie Zaki! vive l'algérie!.
Re: L'Algérie plongée dans le noir
Posté par dany dool le 20/08/2004 07:50:06
slim tu es raciste pour dire celà que conais tu de l'hospitalité fraternelle d'un algérien??

je travaille avec des algériens depuis six ans j'ai jamais eu de meilleurs frères !

J'aime l' Algérie!
Re: L'Algérie plongée dans le noir
Posté par oxmo13 le 20/08/2004 07:50:06
Et dire que l'algérie et un pays riche naturellement, mais pas humainement ni en technique.
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L'auteur : Zaki Allal
36 ans, Oran (Algérie).
Publié le 08 février 2003
Modifié le 08 février 2003
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