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Quelque part au-dessus de l'Irak

Le début d'un conte de guerre où la guerre ne compte guère... Car nos personnages ont compris que la plus belle mort du monde ne vaut pas une superbe histoire d'amour...


Inspiré de l'œuvre homonyme de Mr. L'Amiral Thon Yblère, d'après le manuscrit inédit qu'on a trouvé sur le bureau de l'amiral, lorsqu'il mourut à Washington en 2087 âgé de cents ans.


Chapitre premier : ce qu'on connaît du major Bouchefiz et de ses origines

Il y avait dans l'armée française, dans le cinquième régiment aéronaval, un major que la nature avait doté de superbes qualités militaires, stratégiques mais aussi morales. Sa physionomie annonçait l'intégrité de son caractère et la finesse de son esprit. Agé de 23 ans, il avait la peau dorée par le soleil des tropiques, de jambes aussi belles que celles des cyclistes de très très haut niveau, de dents parfaites quoique à l'email fragile, le regard sexy et le sourire appétissant. Ses camarades de l'institut aéronaval soupçonnaient qu'il était fils de la sœur de Monsieur le directeur le capitaine Ânehare, et d'un de ses cousins germains, que cette demoiselle ne put jamais épouser parce que son père, le fameux général De Bol, s'opposait farouchement à des épousailles consanguines et l'avait menacé de la priver de son héritage si elle n'obéissait pas à ses ordres.

Monsieur le général était un des plus puissants officiers de l'armée de l'hexagone, car il excellait dans l'application du règlement. Ses rapports qui donnèrent lieu à de nombreux procès étaient connus dans le monde entier. Les cours martiales où il fut l'instigateur direct ne manquèrent point, et personne n'ignorait l'ardeur avec laquelle il poursuivait les malheureux accusés de désertion. On l'appelait "mon général", et aucun individu même civil n'osait rigoler quand il racontait des blagues.

Petit fils d'un tel personnage, pourtant le major Bouchefiz n'en affichait pas une fierté particulière. Sa première devise était "l'amour avant tout", et en plus d'une occasion il risqua sa carrière voire sa vie pour sauver ceux qu'il aimait. Ce fut le cas lors d'un essai de missiles sur un récif de banquises quelque part au dessus de l'Irak.


Chapitre second : comment le lieutenant Thon Yblère et l'aviateur Bairlouz Con'y s'écrasèrent sur une banquise et comment ils furent sauvés par leur ami le major Bouchefiz

P. S Ce conte sortira par chapitres, il s'agit donc d'un feuilleton. Sa longueur rend impossible sa publication dans un seul article mais je vous annonce déjà ce qui vous attend...
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Re: Quelque part au-dessus de l'Irak
Posté par iloz le 17/02/2005 00:43:15
Une pas mal, j'adore le style, enfins urtout celui des chapitres ce me rapelle mes vieux livres de jules vernes, allez une bonne note car tu ramène de très bons souvenirs à la surface.
Re: Quelque part au-dessus de l'Irak
Posté par ida le 14/02/2005 18:07:10
Non… c’est juste une critique de la guerre colonialiste en Irak… une façon de dire faites l’amour et non la guerre…

donc pas réaliste... rien à voir avec ce que tu fais...
Re: Quelque part au-dessus de l'Irak
Posté par winky le 14/02/2005 17:44:53
ese que l'image veut dire que le soldat y est gay, je suis dans l'armée Américaine pis je te dis que si un mec se dit gay ben y va se faire lapidé, donc ca veut dire que ton feuilleton va mal se terminer , si il est réaliste
Re: Quelque part au-dessus de l'Irak
Posté par ida le 01/02/2005 10:21:01
Je suis ravie, Bernard…je viens de prendre note de tout ça : le troisième chapitre te sera très reconnaissant…
Re: Quelque part au-dessus de l'Irak
Posté par chandlermbiing le 31/01/2005 23:05:35
allo, ici soldat solitaire, mes coordonnées sont ... magasin de livres? vous me recevez?
je suis le soldat solitaire.... ah euh!

Pourquoi tu lui mets un chiffon mouillé sur le front?
Parce qu'ils font ça dans les films.

Bernard, je suis vraiment VRAIMENT désolé.
QUOI!
j'ai mangé tes...
QUOI!
J'ai mangé toutes tes abeilles.
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