| Une utopie : on n'est pas des moutonsVoici une histoire que j'ai inventé, il s'agit d'nue utopie, mais la grande question c'est de savoir si finalement ça pourrait arriver ? Je voulais juste voir si ça vous plait alors n'ésitez pas à critiquer en bien ou en mal !Nous voici en 2228, en Belgique, plus précisément en Ardenne, dans un petit village appelé Moressnet. Mamy Danielle assise dans son fauteuil était pensive. Elle se remémorait les évènements qui avaient changés sa vie et le pays, une agréable bouffée de bonheur s'empara d'elle. Quand son petit fils de 10 ans entra elle avait la larme à l'œil.
-Mamy, mamy ! Pourquoi tu pleures ? T'es triste ?
-Mais non mon petit chou, au contraire je suis heureuse !
-c'est pas vrai ! Quand on est content on pleure pas ! Lui rétorqua le bambin
-Tu sais, quand on est heureux on peut pleurer et ça s'appelle des larmes de joie.
-Ça existe ça ? !
-bien sûre que ça existe et vois tu, je me disais qu'on a bien de la chance de vivre à cette époque.
-pourquoi ?
- viens sur mes genoux, je vais te raconter mon histoire ... Comme tu l'a appris a l'école il y a presque un siècle que nous vivons en paix mais avant nous n'étions que des esclaves. Tout a commencé en 2080, les grosses industries comme "Belglacom et électabel"avaient pris le pouvoir du pays tout entier. Les grosses villes étaient toutes aseptisées et nous ne pouvions plus en sortir. A leurs yeux nous n'étions plus que des piles servant les alimenter.
En 2154, j'avais tout juste 18ans mais je pensais que nous vivions dans un monde d'horreur car nous n'étions pas libre !
- pour que tu comprenne mieux je vais te raconter comment était organisé la société a l'époque car ça on te l'apprend sûrement pas encore à l'école.
Tout d'abord les bébés naissaient par insémination artificielle car la plupart des hommes étaient devenus stérile. Les scientifiques se sont rendus compte en 2099 que les OGM étaient à l'origine de tout cela. Ils ont alors crées une gigantesque banque de sperme qui est vite devenue obligatoire pour assurer l'existence des générations future. Après la naissance, quand une anomalie était détectée chez un bébé, celui-ci était immédiatement euthanasié car il ne serait un boulet pour la société. Ensuite des spécialistes définissaient quel serait son futur métier en calculant les différentes places vacantes quand ils auront 18ans.
Notre nouveau gouvernement avait décrété que les mères ne pouvaient rester que 6 mois avec leur enfant car c'étaient prouvés qu'à cet âge là, ils avaient un fort besoin maternel. Malgré tout les mère doivent rester productive et donc elles font des mi-temps. Après ces 6 mois les mamans devaient reprendre leur temps plein et les bébés devaient aller dans les différentes crèches des industries pour leur permettre de travailler.
A 4 ans, les enfants allaient à l'école et commençaient à se rendre utiles en faisant des petites tâches ménagères dans les industries où travaillaient leurs parents. A 12ans, après leur primaire, ils commençaient des études pour apprendre leur futur métier. Les professeurs avaient été remplacés par des ordinateurs et des pilules favorisant la concentration car cela revenait moins cher que de devoir payer des professeurs et comme ça, ceux-ci pouvaient travailler dans de grandes industries. Ces études duraient environ 6 ans, dans des écoles mixtes pour permettre plus de rapport sociaux et moins de discrimination envers les personnes du sexe opposé.
A partir de 18 ans les adolescents étaient majeurs et pouvaient avoir des rapports amoureux. Ils avaient droit à 7 ans d'essais avec la personne de leur choix. A
25 ils devaient choisir définitivement leur conjoint (e) pour la vie car le divorce coûtait trop cher a la société et était donc interdit, l'homosexualité était également interdite car elle était une forme de différenciation et sans doute la cause de discriminations. Les récidivistes devaient se faire castré ou exciser en guise de punition. A 30 ans maximum ils devaient avoir fondé une famille et avoir obligatoirement 2 enfants pour rajeunir la population.
Ils commençaient leur métier à 18 ans dans l'entreprise qui avaient été décidée pour eux à la naissance et ils emménageaient dans un appartement qui se trouvait à côté de l'entreprise où ils devaient travailler. Ils étaient employé dans la même entreprise jusqu'à l'age limite (60 ans) ensuite ils étaient éliminés de la société par euthanasie car ils étaient jugés non productifs.
Tous les jours ce ressemblait. Pour le réveil, il y avaient des hauts parleurs qui, dans chaque bâtiment, hurlaient à tue-tête : (à 7h00 du matin) "VOUS DEVEZ VOUS LEVER" pendant 5 minutes et si on n'étaient toujours pas éveillés on recevait une douche froide en provenance direct du plafond. Un quart d'heure plus tard, on entendaient : "VOUS DEVEZ ALLER TRAVAILLER" pendant 15 minutes et ainsi de suite jusqu'à ce qu'on ai fermé la porte de l'immeuble pour allé travailler.
Si on étaient en retard plus de trois fois de suite il fallait porté des habits spéciaux avec les inscription suivantes : "retardataire = déchet" pendant 2semaines pour être humilié et apprendre a être à l'heure les prochaines fois !
Quand ils arrivaient au boulot, les employés étaient obliger de réciter la doctrine nationale "LE TRAVAIL C'EST LA SANTE ? NE RIEN FAIRE C'EST ETRE ELIMINE !". Toutes forme de croyance était interdite, l'obésité était bannie et on devait avoir la même couleur de peau pour éviter toute discrimination car celles-ci pouvaient entraîner une montée de la criminalité et des dépressions et par conséquent, un manque de productivité.
Les employés travaillaient toute la journée mais ils avaient le droit à une demi heure de pause à midi pour manger un repas offert par la société. Il y avait des contrôles mensuels de santé pour détecter d'éventuelles maladies. Si ce étaient des maladies simple ou facilement curable, on bourrait les gens de médicaments et ils avaient droit à un jour de congé. S'ils étaient atteints de maladies graves difficilement voire non curables ils étaient supprimés car ils n'étaient plus rentables. A 18 heures, ils pouvaient rentrer chez eux, la journée était finie.
Les employés ne recevaient jamais de salaire car l'état possédait tout l'argent.
Il distribuait la nourriture, le logement, le mobilier de base et tout le nécessaire pour garder une certaine hygiène. Le gouvernement estimait que l'on avait pas besoin de plus que ce strict minimum.
Au niveau des tenues vestimentaire, la population recevait un vêtement de sport, un vêtement classique, des uniformes de travail, des uniformes pour les enfants, des sous vêtements et des chaussures assortie à chaque type d'habit. Tout cela était, bien évidemment, renouvelé chaque année.
Les gens travaillaient toute la semaine excepté le dimanche, ce jour étant le jour du nettoyage et du loisir. L'état étant très pointilleux sur l'hygiène, il obligeaient sa population à tout nettoyer de fond en comble une fois par semaine. Pour s'assurer que le travail était bien fait, tout les logement étaient munis de cameras surveillant leurs moindres faits et geste. Chaque semaine, un appartement était choisi au hasard pour subir une inspection surprise. Pour produire un travail de meilleure qualité, tout le monde devait ce relaxer, se détendre et pour ce faire ils avaient droit au restant du dimanche libre avec, chaque semaine différentes activités proposées par les grandes industrie, par exemple : cinéma, yoga, tournoi sportif etc.
Les seuls autres jours de vacances sont : le nouvel an (ils ont droit a 3jours de congé) et la fête des patrons (là, les travailleurs ont simplement droit à un jour de repos).
Toutes personnes ayant volé quelque chose et ayant récidivé, était marquées au fer rouge sur le bras droit et ils devaient subir des travaux forcés la nuit à la place de ses heures de sommeil. Cela pouvait être considéré comme une forme de discrimination mais ça n'a pas d'importance car on faisait cela pour les punir et ils restaient rentables. Les gens ayant commis ou tenté de commettre un meurtre étaient emmenés par la division spéciale pour servir de cobaye dans des expériences scientifique. Là- bas, on teste sur eux tous les nouveaux traitements médicaux jusqu'à la fin de leurs jours.
Les ministres prenaient toutes les décisions entre eux et c'est eux qui décidaient des règles sans avertir le peuple au préalable. Il n'y a jamais d'élections car les différents chefs d'états se désignaient entre eux. Comme ça ils étaient sûrs de toujours rester au pouvoir.
L'heure de la révolution...
- houa mamy, à l'école ont m'avait dit que ce n'était pas une chouette époque, mais je ne savais pas que c'était à ce point là ! C'était vraiment l'enfer !
-je sais mon chéri, je sais !
- mais comment ça se fait que c'est plus comme ça maintenant ?
- c'est tout simple, certaines personnes, en particulier, les jeunes, en avait marre de cette misérable société et ils ont décidé de se rebeller.
- et toi tu faisais partie des rebelles ?
- bien sûre que oui, si tu veux, je te raconte ? ! Et si tu arrêtais de m'interrompre je pourrais continuer. Plaisantât la grand-mère.
-Excuse moi va y !
Bien, comme je te le disais, nous les jeunes, on en avait vraiment assez de ce put... De gouvernement qui se servait de nous et nous traitait comme des chiens. Alors, nous avons voulu nous rebeller. On avait donc organisé la résistance.
Cela débuta à Bruxelles, la capitale. Le rédacteur en chef du journal "presse loisir" (l'unique journal autorisé du pays qui nous indiquait les différentes activités du dimanche) était le chef de la résistance. Il nous prévenait des prochaines réunions et des lieux de rendez vous grâce à un subtil stratagème : il laissait traîner ça et la des fautes d'orthographes dans ses textes et celles-ci collées une à une nous indiquait l'heure et le lieu du rendez vous. Elles avaient lieu chaque dimanche pour attirer le moins possible l'attention des autorités.
Je suis rentré dans la résistance, un peu par hasard, une amie à moi y était et elle m'a demandé de m'y engager. J'ai rapidement accepté car au fond, moi aussi j'en avais ras la patate de ce gouvernement de fous. Je me souviendrai toute ma vie de ma première réunion dans la résistance. D'était le 28 février en 2155, j'avais à peine 19ans et j'étais très fière de moi. Ils m'avaient confié une mission et cela malgré mon jeune age et ma récente activité dans la résistance. Elle était capitale, j'étais devenue un élément clef pour la suite des opérations. Mon rôle était d'ouvrir les portes de l'entreprise où je travaillais depuis 1an déjà.
C'était la fabrique nationale d'équipement de la division spéciale (la FEDS)
Je permettais ainsi à une équipe composée de quelques membres de la résistance, de s'infiltrer dans le bâtiment et de voler chaque semaine quelques pistolets à fléchettes mortelle et des armes électriques paralysantes. Après trois mois, nous possédions un stock de plus de 2 milles armes.
Lors de ma dernière réunion, j'appris que le gouvernement se doutait de quelque chose et que nous allions devoir attaquer les différentes propriétés des chefs d'état plus tôt que prévus afin de renverser ce régime politique. Ben, notre rédacteur en chef nous envoya les coordonnées pour l'attaque. Elle avait lieu le 26 juin 2155 à 6 heures du matin !!!
Le 26 juin : tous les membres de la résistance du pays on envahi toutes ces luxueuses villas. N'hésitant pas à blesser, paralyser ou tuer toute personne se trouvant sur leur passage ils atteignirent enfin les chambres des gouverneurs. Ensuite ils les ont abattu, eux et leur famille sans un regard et sans aucune pitié envers ses monstres qui les avait réduit eux, leur parent en esclavage. Ils n'hésitèrent pas une seconde ! Je sais que c'étaient cruel car il y avaient des enfants innocents et crois moi mon garçon je ne suis pas fière de ce qu'il s'est passé cette nuit là. Mais nous étions si enrager et tellement avide de liberté que nous n'avons pas réfléchi, notre colère étaient trop forte. Enfin, bref la résistance n'eu aucune difficulté à ranger de son coté la division spéciale.
Pour la première fois depuis bien longtemps, la population n'avait pas été réveillée par son de ces horribles hauts parleurs mais à la place ils avaient reçus un message leur disant qu'ils étaient libres et qu'une nouvelle vie allait commencer grâce à la chute de l'ancien régime politique. Et qu'en plus des élections DEMOCRATIQUE allait avoir lieu !
Benjamin Lafayette, notre ancien chef de la résistance avait été élu président de notre nouveau "monde". Je fis moi-même partie de son parti et tous ensemble avec l'aide des citoyens nous allions reconstruire le mode de vie de notre pays.
Nous avions commencé par détruire tous les bâtiments de l'ancien régime et à leurs places, nous avions construit de nouvelles maisons individuelles. Nous repeuplions tout doucement les campagnes qui avaient été abandonné.
Vive la liberté
Maintenant, tout le monde peut choisir le métier qu'il souhaite faire, la personne avec laquelle il veut vivre, ou il veut vivre et le nombre d'enfant (s) qu'il veut avoir.
L'euthanasie n'est plus pratiquée sur les personnes âgées, ni sur les handicapés physique et mental. Elle n'est toute fois pas supprimée pour que les personnes atteintes par accident d'un gros handicap ou souffrant d'une maladie non curable et douloureuse comme certains cancers puissent, si ils le veulent, mourir dignement et sans souffrance.
Tout les films et les livres qui avaient été supprimé ou censurés (car ils permettaient de rêver et pouvaient donner des idées de révoltes) on été réhabilités et accessible à tous. Les gens ont dorénavant la possibilité d'aller dans des cinémas plutôt que dans des lieux de rassemblement obligatoire. L'art est maintenant permis sous toutes ses formes.
Les employés ne reçoivent toujours pas de salaire mais tout l'argent est stocké dans les banques du pays et est redistribué chaque mois de manière équitable afin d'éviter la misère. Il n'y a plus de punition physique d'aucune sorte et les humains ne font plus office de cobaye dans la recherche scientifique. De nouvelles industries voient le jour comme l'industrie "vêt plus" qui confectionne des vêtements de différents styles qui permettent à tout un chacun d'exprimer sa créativité et sa personnalité à travers ses habits. Il en va de même pour les sociétés d'ameublement et autre.
-ho mamy, on ne m'avait jamais parlé de tout ça !
- ben au moins tu auras appris quelque chose, il y a tant de choses que tu ignore encore.
- y à quoi que j'ignore encore ????
Raconte moi !
- il y a des tas de choses Alex mais je te les raconterai une autre fois, maintenant c'est l'heure d'aller te coucher
- et puis, ne dit-on pas que la nuit porte conseil ? | | |
| . Voir tous les commentaires et/ou en poster un (3) | | Re: Une utopie : on n'est pas des moutons Posté par wonder3 le 08/11/2006 20:44:23 | bonne imagination mais qui peut devenir vrai, on commence à avoir des signes avant coureur, les gens d'aujourdh'hui sont plus intéreser par leur travail et à gagner le plus possible d'argent et m^me encor plus que plus, et ils ne vibent pas leur vie d'homme ou de femme, ils sont esclave de leurs sociétés intermondiliste, mnt les entrprise commence à avoir de plus en plus de pouvoir par rapport au gouvernement. par exemple des entrprises américaine ont déjà leur armé privé (sa faitpeur) et le gouvernement américain utilise ces armées pour la guerre en irak et paye bcp d'argent a ces entreprises.
comme microsft monopole informatique, si il veut il pe nous surveillé sur nos PC si se n'est pas déjà fait. les groupe pétrolier qui sont vraiement les entreprise qui dirige nos gouvernement.
il fo que l'on se bouge maintenant parce que ce type de governement est la plutocratie | | Re: Une utopie : on n'est pas des moutons Posté par mo ruin le 08/11/2006 17:45:11 | merci, mais pour ce texte j'ai été un peu aidé par une amie, elle aussi sera contente que ça te plaise . Et en tout ca moi je suis déja contente que tu l'aie lue pq je sais que l'histoire est un peu longue et que ça en découragerait plus d'un. | | Re: Une utopie : on n'est pas des moutons Posté par 7iris le 08/11/2006 17:37:30 | Très bon texte, tu as fait preuve d'imagination. Les nombreux détails sur l'organisation sont très intéressants.
Ce texte rappelle un peu la vie dans les camps nazis de la 2nde guerre mondiale.
En tout les cas, c'est bien écrit. | | . Voir tous les commentaires et/ou en poster un (3) |
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