Israeliens et Palestiniens : Rétrospective et opinion perso sur un conflit qui dure depuis bien trop longtemps...
Israël, un charmant pays. Ouaip, surtout quand on le voit de loin. Bon là, je suis mauvaise langue, moi, pauvre petit européen bien planqué dans sa maison à l'abri des tanks. Mais il faut dire que le statut-quo dans lequel se trouve les deux peuples voisins depuis un p'tit bout de temps (Voyons... Lundi, Mardi... depuis 1945 environ.) a pour moi un coté franchement révoltant. Jamais dans l'histoire on n'aura vu pareille situation inextricable, un conflit d'une si longue durée, une telle hécatombe surtout, qui, chaque fois qu'on en parle aux infos (Pour compter les morts, forcément) me rapelle douloureusement que ce n'est même pas la peine de sortir le tableau noir et de traçer les victimes à la craie: un tableau grand comme une pelouse de foot n'y suffirait pas.
Hum, tu devrais arrêter le lyrisme noir, Cavedog, et redescendre un peu sur terre. Le plus énervant, ce n'est pas tellement l'obstination de ces deux peuples à se cracher à la face, mais plutôt l'attitude de leur dirigeant, intransigeants, qui semble freiner des quatres fers pour que ca dure (Remarquez, leur prédescesseurs le fesait déjà. Avant. Très avant. Du temps de leur grand-mêres. On y sera encore au moment de ma retraite à ce rythme là.). Je pourrais passer des heures à critiquer le pêre Sharon, qui croit pouvoir se faire les palestiniens à l'usure, en jouant à faire boum boum sur leur maisons sous couvert de recherche de terroristes (Vous pouvez tout à fait invoquer une attaque terroriste pour justifier un retard au lycée, puisque c'est tellement à la mode en ce moment...).
Accrochez-vous, Mesdames, Messieurs, ce mec est sensé diriger une nation. Ce qu'il fait très bien : le chomage atteint des niveaux scandaleux, l'économie à 70 ans de retard, les relations sont tendues avec les pays environnants. Bon, d'un autre coté on pourrait tout à fait critiquer l'attitude d'Arafat dont on se demande si il ne jouerait pas un double-jeu en clamant haut et fort son hostilité au terrorisme. Ca, ce n'est pas au petit européen planqué de juger. Il terminera toutefois par cette remarque: les colonies israëliennes débordent allègrment sur les territoires Palestiniens avec la benediction de Sharon. Au Coweit, en 90, on a connu les occidentaux beaucoup moins transigeant sur les franchissement de territoires. mais il faut dire qu'au Coweit, il y avait du pétrole... |
Rapport d'abus
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