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Toi qui m'a fait vivre
Posté par coucinet le 09/11/2005 00:00:56
A une histoire qui n’a jamais vraiment commencé, mais qui m’a fait "vivre" pendant 3 ans.

Que du vécu…


Au collège

Je me rendis compte, après être sorti avec plusieurs garçons, qu’ils n’avaient jamais eu aucune sorte d’importance pour moi lorsque j’eus rencontré Le garçon. Un beau brun aux yeux bleu-vert d’un an plus âgé, fréquentant le même établissement scolaire mais d’une classe supérieure.
Durant toute mon année de 4ème, je l’observai, n’ayant confié mon amour qu’à une seule personne : mon amie qui, d’ailleurs ne cessait de m’intimer l’ordre d’aller lui parler.
Pourtant je ne pouvais m’y résoudre, il était toujours entouré de ses amis et, de plus, « Obstacle sur patte » était scotché à lui.
Cette fille lui plaquerait une étiquette sur le front noté : « A MOI, PAS TOUCHE » que ça n’aurait fait aucune différence !
Ces deux-là ne cessaient de rompre et de se remettre ensemble sans arrêt.
Je surprenais parfois des regards dirigés vers moi. La journée n’en était que plus belle, mais l’année passa et pas une parole ne fut échangée.

Vint alors ma 3ème pour moi et le changement d’établissement pour lui : le lycée.
J’espérais de tout mon cœur que son choix de lycée s’était porté sur le mien. L’année suivante elle pourrait l’y rejoindre.
Durant cette 3ème, je croyais vraiment m’être désenivrée de lui : « Loin des yeux, loin du cœur »
Mais un soir de cinéma entre copines, je crus halluciner.
Depuis une semaine, je plaisantais à ce sujet avec mes amies.
L’une d’elle avait une chance insolente qui faisait que lorsqu’elle pensait très fort à quelque chose, cela se produisait. Je lui avais alors demandé de penser très fort qu’il serait au cinéma la même soirée que nous. Pour le revoir, me souvenir de mon ancien béguin…
La soirée se finissait et s’en souvenant, elle le lui rappela. Son amie s’excusa de son oubli et ferma les yeux, l’air de se concentrer… Je ris, amusée qu’elle le prenne au sérieux, quoiqu’au fond de moi j’en aurais été heureuse si ça fonctionnait.
Je lui promis alors que si ça marchait je ferais n’importe quoi pour elle.
Je n’avais pas finit ma phrase qu’elle me resta dans la gorge.
Au loin, je vis sortir d’une voiture un ami de mon amour. Je ne savais pas s’ils avaient gardé contact néanmoins ça m’avait fait un choc. J’expliquai mon malaise à mes amies et ma « chanceuse » se concentra d’avantage…
Je ne pouvais pas le croire, c’était impossible. Une coïncidence que ce garçon soit là, ça ne voulait pas dire qu’Il serait là aussi.
Je fus doublement surprise lorsque j’eus tourné soudainement la tête (phéromones obligent) vers la rue face au cinéma. Mes phéromones avaient reconnues « leurs sœurs », cette odeur que j’affectionnais tant et que je n’avais pas senti depuis si longtemps : les phéromones de mon amour.
Les Phéromones, vous connaissez ? Cette odeur que chacun possède, différente pour tous.
Odeur que nous sentons inconsciemment et qui soulève parfois une sympathie soudaine alors que nous ne connaissons pas cette personne. Ou une parfaite répulsion !
Comme on dit : « Je le sens pas, ce type ! » Ca venait de quelque part !

Moi et mes amies éclations donc d’un grand rire (plus nerveux qu’autre chose pour moi).
Et il passa devant nous, légèrement étonné de me voir mais il fit semblant de rien. Je surpris cependant un mon regard…
Cela faisait un an que nous ne nous étions pas vus.
Apparemment, l’année en plus lui plaisait…
Mais il était l’heure de rentrer…
Ma mère arriva et je dus m’en aller.
Les jours qui suivirent, je ne cessais de penser à lui. J’étais toujours dans les nuages.
J’attendais avec impatience mon entrée au lycée…


Puis au lycée

J’étais persuadée qu’au lycée je lui sauterais dessus, que je ne laisserais pas passer cette année…
Cependant à peine arrivée, ma volonté n’était déjà plus.
Je l’avais d’abord vu de dos, encore entouré de ses amis et je me languissais qu’il me voit à son tour.
Lorsque vint le moment, je retins mon souffle, je marchai le mieux possible (lol) et attendai qu’il tourne la tête.
Mais c’est ensuite que je la vis. « Obstacle sur patte » !!! Toujours là !!!
Les secondes passaient, j’allais bientôt quitter son champ de vision…
Il allait au moins me faire grâce d’un regard, au moins un !
Min arrivée dans son lycée ne lui faisait donc rien ???
Mon cœur battait si vite, plus de douleur qu’autre chose.
Mon souffle était bloqué.
Il restait 5 secondes, j’y croyais toujours…

Rien… Pas un mouvement des yeux, pas un battement de cils. Rien !

La semaine qui suivit me sembla vide. Sans aucune importance.
Ma mère me demandait comment je trouvais mon entrée au lycée et il n’y avait rien à dire.
Je répondais « Normal… » à quasiment toutes ses questions. Elle semblait la plus heureuse des deux à mon entrée au lycée. Moi, je ne semblais même pas concerné.
Ma mère finit d’ailleurs par s’en inquiéter, me demandant sans arrêt si ça allait, m’énervant d’avantage.
Mes profs ne me plaisaient pas, mes amies étaient dorénavant dans une autre classe et je me retrouvais désormais seule : Trop fatiguée pour me refaire des amies dans ma nouvelle classe et le lycée trop grand pour trouver mes amies. Je passais plus de temps à les chercher qu'à les trouver.

Un jour, assise sur un banc avec mon amie, la chanceuse, avec laquelle j’avais déjeuné (fait rare, mais d'autant plus agréable), celle-ci m’avait confié me trouver moins joyeuse qu'avant, me demandant ce qui n'allait pas.
Je prétendis aller très bien, malgré que les larmes me montent aux yeux... Mais, douée comme je l'étais, je les dissimulai facilement.
Puis ayant une heure creuse entre les cours, je restai seule sur le banc, face à la mer, (privilège d'habiter sur une île). J’enlevai mes chaussures et m'allongeai. Soupirant, je me lamentai. Avec ma mauvaise humeur, je voyais tout d'un mauvais oeil, ne m'étais pas fait d'amis et inquiétais ma mère.
Tout ça pour quoi ? Pour un type qui s'en foutait totalement et qui n'avait même pas conscience de tout ça.
Je soupirai et me décidai à changer tout ça.
Je regardai le ciel, la mer, les nuages, les oiseaux, les herbes bougeant sous le vent et tout ça me détendit. Comme quoi la vie était faite de la façon dont on la voyait.
Une seconde plus tard, un élève arriva sur le balcon du bâtiment qui se trouvait à ma droite. Je n'y fis pas attention comme je pensais que lui faisait, mais ce ne fut pas le cas.
Il se mit bien en vue et regarda la mer. Mais il regardait avec une bien trop grande fascination pour que ce soit sincère.
Puis petit à petit, battant une mesure imaginaire sur la barrière du balcon, il se tourna, se mit face à moi, regardant toujours la mer, l'air de dire "J'suis là par hasard"
Je ris discrètement et continuai à regarder le ciel.
Après un moment, je relançai un regard à notre inconnu.
Celui-ci semblait prit dans une contemplation fabuleuse, il sursauta légèrement et regarda ailleurs. Je n'en fus que plus flattée. Cela faisait du bien un peu d'intérêt à mon égard.
Et le garçon était plutôt mignon...
Il semblait plus sûr de lui au fur et à mesure, jetant des regards plus poussés.
Il appuya son regard et ne le détourna pas lorsque je le lui rendis.
La sensation était étrange, très agréable. Comme si mon coeur se gonflait au fil des secondes qui s'écoulaient, les yeux dans les yeux.
S'en suivit donc un long échange de regard...

Le jour suivant, requinquée par mes nouvelles résolutions et ce mystérieux inconnu, je lâchai mes cheveux et (comble, depuis que j’étais arrivée), je souriais.
Alors que je discutais avec les nouveaux amis que je m'étais fait, je vis mon Amour arriver de loin. Je ne le regardai pas et continuai de discuter.
Et, bien sûr, comme à son habitude, c'était toujours quand je me désintéressais de lui qu'il semblait me remarquer.
Souriante et les cheveux lâchés, je semblais lui plaire, il garda son regard fixe un moment tout en continuant son chemin, croyant que je ne le voyais pas.

Le lendemain encore, discutant avec une amie devant la cafétéria, je tournai soudainement la tête et le vis. Il me regardait, déviant mon regard lorsque nos yeux se croisèrent.

Je lâcherais mes cheveux plus souvent...


Voilà donc où j'en suis
J'en ai marre
C'est toujours quand j'essaie de l'oublier qu'il s'intéresse à moi.

J'aimerais avoir vos impressions, vos avis face à tout ça.
Ce que j'ai fait et que j'aurais pas du, ce que je n'ai pas fait et que j'aurais du.
Tout ce que vous voulez.

Bises, Coucinet.

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Re: Toi qui m'a fait vivre
Posté par windowman le 09/11/2005 10:10:10
Garde courage. Fais preuve d'assurance. A toute femme nul homme ne résiste. C'est un avantage et un inconvénient. Laisse toujours le garçon faire les plus grands sacrifices. Ne donne jamais ton corps à un garçon dont tu n'aurais pas le coeur. L'amour est un échange, un partage de vie qui demande des sacrifices des deux côtés; sacrifices qui,n sincères, te remboursent au centuple dans l'amour de la relation de couple.
Aie le courage de tenter les approches, mais pas la dangereuse inconscience de tout lui laisser faire n'importe comment avec toi. Peu importe le temps que cela prendra, la qualité mérite qu'on ne se prostitue pas.

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Re: Toi qui m'a fait vivre
Posté par zion_thieum le 09/11/2005 10:19:52
windowman...bravo

coucinet...tu as fait ce que tu avais à faire...la question que tu dois te poser est qu'est ce que tu vas faire ?
et cet inconnu ???

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Re: Toi qui m'a fait vivre
Posté par mimi_4 le 09/11/2005 18:08:47
tu sais koi j'ai vecu une histoire comme la tienne un peux sauf que moi il était dans la méme classe que moi et ça a duré 1an et tu sais ce que j'ai fait je suis carément aller lui avoué mon amour et oui...........mais bon je te conseille de continué a faure l'indiffrrente ça marche toujours comme ça s'il ressent kelke chose pour toi il sentira kil estentreins de te perdre alors il devra reagir et donc peut etr faire le premier pas vérs toi........je te souhaite bonne chance pour cette histoire
ps: ne reduis pas ton champ si je puis dire a ce garçon ......n'oubli pas l'autre inconnu .....en ne sait jamais.....

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Re: Toi qui m'a fait vivre
Posté par guessi le 09/11/2005 21:04:11
j'ai vécu un truc un peu comme toi donc si tu veux on pourrait en parler par mail ou sur msn... bisous

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Re: toi qui m'a fait vivre
Posté par wapou le 10/11/2005 02:08:41
ecoute si tu lui a jamais parlé coment tu peut savoir qui s'interresse a toi ou pas? arrete de te faire des idées avec un rien, parle....

Modifié le 10/11/2005 02:09:36

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Re: Toi qui m'a fait vivre
Posté par nino10ma le 17/11/2005 12:30:57
c'est bien c eque tu m'as fait je tedis entre nous je suis un garçon est quand ma petite amie m'ognore je deviens plus fou d'elle.faire semblant d'ignorer cala marche souvent mais cela ne dout pas persister aprés un certain temps tu dois prendre une décision une fois por toute quelle qu'elle soit car en prenant les mauvaises dicision qu'on arrive à prendre les bonnes. GOOD LUCK.

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