Extrait du site https://www.france-jeunes.net

Le radeau "La Méduse"


L'histoire véridique des naufragés de La Méduse vous ferait froid dans le dos ! Les survivants ont dû se battre entre eux, affronter la faim, manger des cadavres et même boire leur propre urine !



Voici un récit terrifiant qui vous fera froid dans le dos !

Le 17 juin 1815, le bateau français, la Méduse, flambant neuve, lève l'ancre du port de Rochefort pour mettre le cap vers l'Afrique. Le commandant du navire, M. De Chaumareys est un homme plutôt têtu et coléreux, celui-ci ordonnait à ses hommes à faire des manoeuvres tellement brutales que le navire manquera plusieurs fois de fracasser sur les rochers. Cette nuit là, le commandant examiner l'horizon avec sa longue vue et observa un nuage qu'il pris pour la terre ferme. Il donna ordres et contrordres, mais ce furent sourout ses colères et son incapacité qui provoqua l'englissement de la MÉDUSE.

Après des heures d'efforts et de manoeuvres compliquées, les matelots ne réussirent pas à dégager le navire. Les hommes d'équipage, ménacés des pires punitions, avaient du éxecuter, la mort dans l'âme, les manoeuvres qui les avaient conduits au bord du désasttre. Donc à trois heure et quart de l'après midi, la Méduse échoua pour de bon dans un banc de sable. Les officiers et les matelots maudirent le capitaine, mais il étais déjà trop tard. Pour ralentir l'englousement du navire dans la mer, l'équipage proposa de jeter les 14 cannons et les dizaines de tonneaux de poudre qui étaient à bors. Mais le commandant refusa catégoriquement, répondant par une bordée d'injure et de menaces.


Pris de panique, le commandant ordonna aux hommes de construire un radeau de survie avec les planches du pont. Il choisit lui-même le nom des hommes qui devaient monter à bord, parmis ceux qui l'avait critiqué ou ceux qu'il ne l'amait pas. Au total 200 marins et officier s'installèrent sur le radeau, le reste de l'équipage et le commandant prirent place sur des cannots de sauvetages qui devaient remorquer le radeau. L'embarquement se déroula dans le plus grand désordre, et le radeau reçut tellement de provisions qu'il ne maqua pas de chavirer. Il fallut, hélas en jeter par dessus bord. Pendant ce temps le commandant continuait d'insulter ses hommes. Certains d'entre eux furent affolés de rester avec lui dans les cannots, préfèrent s'accocher à l'épave de la MÉDUSE. La nuit suivante, la mer redevint mauvaise, le commandant décida de se séparé du radeau. Le lendemain matin en se réveillant les hommes du radeau s'apercurent qu'on les avait abandonnés lachement. Avec plusieurs chemises nouées entre elles, ils parvinrent à confectionner une voile de fortune, mais comme ils ne possédaient pas de boussolle, le radeau de la MÉDUSE s'orientait au hasard sans jamais apercevoir autre chose que l'immensité de l'océan. La nuit une violente têmpête éclata et le radeau se retrouva ballotté dans tous les sens. Les 200 hommes avaient le mal de mer et se cramponnaient de tous leurs forces aux morceaux de bois en vommisant. Un petit jour, on s'apercut que la mer avait emporté une douzaine de personnes et quelques uns étaient morts étoufés sous les planches. Un matalot et deux mousses ne supportèrent pas ce vision d'horreur et se jetèrent à leur tour dans la mer. Il furent immédiatement engloutis par les flots.

La radeau continua à dériver vers on ne sait où. Chaque nuit les tempêtes de plus en plus fortes emportaient les hommes les moins résistants. Pour supporter le terrible suplice, les marins avaient ingurgité de l'allcool. Complétement saouls, ils tentèrent, une nuit, d'étrangler leurs officiers qui se battirent comme des diables parce qu'ils n, avaient rien bu. Le radeau se transformé ainsi en champ de baitaille, un carnage épouvantable, 60 matelots périrent... Les assaillents saouls plantèrent haches, couteau et sabres dans la chaire de ceux qui ont le malheur de leur résister. Quand il n'y avait plus assez d'armes pour se battre, ces enragés griffaient les yeux de leurs chefs. Ce combat au corps à corps dura des heures. Finalement les officiers l'emportèrent.

Plusieur passa, les provisions commencèrent à manquer, entamèrent les cadres dons le radeau était maintenant recouvert; découpant des tranches dans la cuisse d'un matalot et s'en régallant avec voracité. Ceux qui refusent de manger la chair humaine avalèrent le cuire de leur chapeau. Au sixième jour du naufrage on ne dénombrait pas plus que trente survivants. Sue leurs blessures couverte de sel de mer leur causant d'abominable souffrance. La manque de vivre et d'eau s'ajoutèrent aux malheure des matelots. certains ont même du boire leur propre urine !


Malgré cela le 17 juillet au matin le radeau fut rescapé par le vaisseau ARGUS envoyé du Sénégal pour les rechercher. Les 15 matelots qui restent furent hiiser à bord. On les soigna et leurs servi un délicieus repas, seulement les rescapé étaient tellement faible qu'ils ne purent même soulever leurs cuillères ! À la fin de ce drame, 6 matelots moururent dans les jours suivant. Le périple infernal avait duré 13 jours ! chiffre du diable !!!
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