Extrait du site https://www.france-jeunes.net

Un amour qui laisse des marques


Une histoire où l'amour ne peut prendre le pas sur l'amitié, et ou la vie d'un garçon de 17 ans va être changer à jamais par sa rencontre avec une fille formidable, une histoire qui laisse des marques, qu'elles soient bonnes ou mauvaises...



C'était sa première année à Q..., la voiture fonçait jusqu'à cet endroit dont on lui avait dit tant de bien : "Tu verras, lui avait dit son cousin, il y a pleins de filles", M... Ce bourreau des cœurs qu'il avait comme cousin, pour lui rien n'est intéressant si il n'y a pas de filles.
Ils arrivèrent au lieu dit en fin de soirée, juste le temps de monter les tentes et d'aller faire un tour au musée pour leurs dire qu'ils étaient bien arrivés, enfin juste eux, les autres arriveraient demain ou plus tard dans la soirée. Sa première nuit fut très agitée entre une partie du groupe qui mettaient le grappin sur ses affaires, le bizutage des nouveaux, et l'autre partie qui parcourait le musée, déclanchant alarmes sur alarmes, il ne pus enfin s'endormir que lorsque la police, avertit par les alarmes, vint calmer cette bande de jeunes surexcités.
Le lendemain, la première journée de travail commença à huit heure précise, car c'était le but travailler, rénover un site préhistorique, limite un travail de titan pensa t-il sur le coup. Dans l'après-midi, le reste des troupes arriva, en moyenne ils tournaient tous autour de son âge. Extenué par la quantité de travail, la fin d'après-midi se termina en bataille de "torchis", ce mélange infâme de boue, de paille et d'eau qui permettait de remettre à neuf les huttes. Pour la première fois, il se sentait rapidement accepté, pour la première fois depuis longtemps : il s'amusait, lui qui avait peur de part sa timidité de ne pas être accepter par le groupe et de passer une semaine seul dans son coin, sans le faire exprès, il avait déclencher cet bataille de boue, de la manière la plus simple mais aussi la plus idiote qui soit, il venait de glisser et s'était retrouver la tête plonger dans ce bain qui sentait la moisissure, à partir de là, ses cousins avaient fait un "moulon" sur lui, et les filles peinaient pour ce pauvre garçon, avaient voulu l'aider à noyer ses assaillants.
Après une demi-heure de catch durant laquelle chaque personne du groupe avait goûté la mélasse, un membre du musée leur dit : "Allez ! Tous dans le Verdon, hors de question que vous bouchiez les douches du camping avec la boue dont vous êtes couverts", ils étaient dans un état lamentable, les garçons avaient les cheveux pleins de boue, et les filles avaient eu droit à un massage "sous-vêtementale" forcé. Arrivé au bord du Verdon, qu'elle ne fut pas sa surprise quand il sentit l'eau effleurée ses pieds : "Arg... Elle est gelée", effectivement, elle avoisinait les neuf degrés, son record étant à treize, il allait en baver, voyant que tout le monde attendait pour voir qui rentrerait le premier, il s'immisça à la conversation, mais à peine eut-il commençait à parler, qu'il entendit un écho à sa voie qui provenait du bord, c'est là qu'il la remarqua vraiment, une fille plutôt joli qui paressait un peu plus jeune que lui, au début rien ne laissait supposer qu'il allait tombé fou amoureux d'elle, il n'était pas venu ici pour trouver une copines de toute manière, il n'en avait jamais eu, peut-être un gros manque de confiance en soi et le fait qu'il avait un principe de taille, ne sortir avec une fille que si il a des sentiments pour elle, c'était ce genre de garçon rarissime qui ne croyait qu'en l'amour, et pour l'instant, il faisait tout sauf l'aimer, elle qui s'amusait à redire ses phrases en imitant son accent, alors il se sentit obliger de se faire valoir auprès des autres.
Il descendit avec elle dans l'eau, tout le monde savait ce qui allait se passer, il allait la coulée pour avoir oser se moquer de son accent, mais aucun d'entre eux ne savait que les conséquences qui en découleraient, marqueraient l'aube d'un nouvel élan dans sa vie, comme il aime à lui redire c'était devenu l'astre préféré du ciel de sa vie cette fille sarcastique qu'il noyait à bout de bras, une ère où sa vie serait centrée sur la sienne car ce qu'il allait ressentir pour elle prendrait une ampleur démesurée, c'était devenu sa seul raison d'être, sa seul raison d'exister, il l'aimerait plus que tout au monde, il pourrait même allé jusqu'à sacrifier sa vie pour elle, pourtant quand leurs yeux se croisèrent quand il la lâcha, elle crut bien voir et reconnaître ce regards qu'il lui adressait, lui disant en quelques mots comme en cent, ce qu'il ne pourrait peut-être jamais lui dire en face : "Je t'aime", après quelques rires échangés sous forme de moqueries ; qui aime bien chati bien, allez devenir sa façon de penser, ils retournèrent chacun chez eux, lui dans sa tente et elle, dans sa maison.
Les jours passèrent et les moqueries amicales aussi, il se sentait bien avec elle, mais il n'arrivait pas encore à définir ce qu'il ressentait, il la trouvait juste sympa, un soir de discussion un peu trop arrosée, il se confia à son autre cousin, lui avouant qu'il commençait à ressentir quelque chose pour elle, celui-ci lui dit de se méfier, un an plus tôt, elle avait délaissé cinq prétendants dont son cousin pour M... Le charmeur de ses dames, il lui répondit que ce n'était pas grave, il pensait alors pouvoir à la longue l'oublier, il se trompait fortement, elle était rentrée en lui comme une étoile en feu dans la nuit, illuminant tout sur son passage mais faisant aussi tout brûler, elle finirait par le consumer de l'intérieur, comme on dit ceux qui ont un grain de beauté sur le chemin des larmes ne connaîtront que pleurs tout au long de leur vie, et c'était son cas.
Une semaine plus tard, l'heure était venue de se dire au revoir, cent cinquante kilomètres les séparaient, ils ne se reverraient que dans un an, il passa l'année sans trop penser à elle, c'est un an plus tard lors de son retour à Q... Que ses sentiments se dévoilèrent enfin à lui... Et aux autres.
Ils revécurent à l'identique les moments passés l'année d'avant, les moqueries entrecoupées les fou rires et les batailles de torchis, à ce stade on pouvait dire qu'une forte amitié c'était tissée entre eux malgré le fait qu'elle pensait à M...(qui essayé de sortir avec deux autres filles), cela fit naître en lui une sorte de haine maladive pour son cousin qui se fichait complètement, à son sens, de celle pour qui son cœur battait, elle qui à la fin de la semaine se mit avec un autre garçon du groupe mais là, il était moins jaloux car il savait que ce garçon qui s'appelait comme lui à l'instar de son cousin ne se moquerais pas d'elle. Et toujours les aux revoirs sauf que cet fois lui et ses cousins avaient décidés de revenir un mois plus tard, juste le temps d'un week-end, le temps pour eux de repasser de bons moments, le temps pour lui de la revoir, elle.
Il pouvait quand même lui parler sur Internet, et c'est là qu'elle voulut confirmer ses soupçons, elle lui demanda si l'année d'avant, il avait voulu sortir avec elle, lui n'aimait pas trop ce terme de "sortir", il voulait vivre quelque chose de plus fort, d'unique avec elle, mais il lui répondit "oui", un petit mot qui en disant long, qui les avait sûrement un peu plus rapproché en tout cas pour le moment, ce qu'il prévoyait comme un magnifique week-end, allez être le début d'une torture sans fin pour lui.

Il avait décidé d'inviter son meilleur ami à ce week-end, un mec d'un an son aîné mais qui pourtant avait la même façon de penser que lui, c'était les deux meilleurs amis du monde, en arrivant au camping, ils croisèrent la fille et sa cousine, mais ce n'est pas ça qui réveilla les sentiments qu'il avait pour elle, c'est la jalousie qui les ramena à la surface, la jalousie de voir qu'à présent elle s'intéressait à son meilleur ami, alors que lui était tout comme M... plus attiré par une amie à elle que par elle tout simplement, il ne la considérait que très peu et éviter de la croiser car il avait compris lui aussi qu'il ne lui était pas indifférent. C'était devenu trop pour lui, lui qui ne vivait que pour elle et elle qui ne s'intéressait qu'à ses amis, il reprit alors sa mine des mauvais jours, ne parlant à personne, se remplissant de ce mal-être qui le caractérisait si bien, allant jusqu'à éviter consciemment celle qu'il aimait, faisant des aller-retours jusqu'au camping lors des fêtes en croyant qu'elle le remarquerait, qu'elle viendrait lui parler mais encore une fois c'était à lui de se relever, seul toujours tout seul, il lui écrit un texto le soir lui expliquant que ses sentiments pour elle étaient revenus et qu'ils grandissaient avec le temps, mais pourtant il savait que si son meilleur ami voulait bien sortir avec elle, il y aurait été favorable car rien pour lui ne comptait plus que son bonheur à elle.
Le lendemain, il monta au village, seul, pendant que le monde dormait encore, pensant à ce qu'il pourrait lui dire si il la voyait, il n'aurait penser qu'à courir loin, très loin, c'est alors qu'il la vit déboulait sur lui en vélo, il ne pus s'empêcher d'avoir peur, peur qu'elle ne continue son chemin, peur que son parfum passe sur lui comme l'envie de vivre l'aurait fait sur son cœur la seconde d'après, mais heureusement, elle lui demanda juste comment sa allait, elle le regardait fixement, son cœur a lui été près à explosé, puis il continua son chemin. Elle le retrouva au camping, là où elle alla faire un tour de vélo avec son meilleur ami, ses pensées à lui se bousculaient dans sa tête : "et si... mais non... Et si...", malgré ce chaos mental il réussi à s'assoupir, c'est alors qu'il eu le plus beau des réveil, c'était elle, elle parlait au loin, sa voix arrivée à son oreille comme la plus douce des mélodies, un réveil très doux et magnifique. L'après-midi, ils s'allèrent tous se baigner, ils étaient éloigner du groupe, alors elle lui demanda si vraiment il l'aimait toujours et lui acquiesça, à son grand étonnement elle s'excusa, elle s'excusa qu'il l'aime, c'était les mots les plus insensés qu'il avait jamais entendu, il lui répondit qu'il avait choisi de l'aimer et qu'elle n'avait pas à s'excuser, ils ne parlèrent pas longtemps car les autres se rapprochaient, puis se fut le moment de partir, lorsqu'il lui dit au revoir, il vit ses yeux à elle, il n'oubliera jamais ses yeux, il n'a jamais su si ce regards avait une signification et pourtant cela l'avait frappé il y avait quelque chose au fond de ce regards, quelque chose qu'il lui faisait penser que même si son amour ne serait peut être jamais partagé chacun avez trouver une place unique dans le cœur de l'autre, et cela pour la vie.


C'était le début d'une histoire, le début de mon histoire, où allez se mélanger des moments de bonheur partagés, comme la soirée que j'ai passé avec toi mon coeur au téléphone mais aussi un moment très douloureux où j'ai cru t'avoir perdu pour de bon, ou j'ai cru mourir où j'ai failli mourir... Je t'aime mon coeur et je t'aimerais toujours.
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