Extrait du site https://www.france-jeunes.net

Toi si douce on t'a arrachée...


La force de vivre...



Toi si douce, si belle, comment a t-elle pu t'enlevée ?
Tu me faisais pensée a Jeane d'Arc à la fois vaillante et forte et en même temps si fragile, si gracieuse. Ton visage de porcelaine n'a cesser de sourire, toujours se sourire même quand ton corps se tordait de douleur.
Souvenir irréel je m'attend à te voir, entrouvrir la porte et voir ton visage.
Comment comprendre un tel malheur, incompréhension qui me vaut toujours 5 ans après que tu sois partie un deuil si lourd à oublier.
Alors je vais raconter au autre ce que je voyais en toi, ce qui me fait souffrir, ce sont les cris d'une enfant de 13 ans qui parleront parce que depuis cette nuit d'octobre je n'est plus grandit, je t'attend patiemment car je sais qu'on se retrouvera içi ou la je penses toujours à toi.
Tu étais pour moi une mère, dirons nous ma mère spirituelle, tu représentais tous ce qu'une femme pouvait réver avoir, la beauté, le courage, la force, la sensibilité, la sensualité...
15 ans, 15 ans que tu portait ce lourd fardeau que l'etre humain à nommé cancer, je t'est connue ainsi durant 2 ans je ne pensais pas un jour que cette gangrène aurait eu raison de toi. Et pourtant tu t'es battu, de salle en salle, de soins en soins, de rire en larme mais toujours ton sourire éclairait la chambre. Alors pourquoi me serais je inquietée je te croyais invulnérable, immortelle ou du moin pour encore beaucoup d'année. Mais ton malheur débuta cet été là et je comprit que tu souffrais, ton visage figé par la douleur, ton corps envahie par les tuyaux, tes yeux remplit de larmes et là ce fut le choc; pour la première fois en 2 ans je te voyais souffrir et me rendait compte de se que tu avais enduré durant tant d'année, et ce jour là j'étais émerveillée par ta force et ton courage car c'était la joie de vivre qui ta tenuev éveillée pendant 15 ans.
Ton état s'empirais, je passais de plus en plus de temps à tes coté dans cette chambre si monotone, néanmois tu me donnais la force de resister.
En cette nuit d'octobre quand tu es partie je n'est pas pleurer, ton corps ne se tordait plus, ton visage était appaisé et ton sourir revenu. Tu semblait baignée dans un tel bonheur, tu était si détendue.
Ce n'est que bien plus tard, de long mois après que j'ai enfin pleuré, et cela fait 5 ans que je pleure cette soirée d'automne.
Je me suis posée souvent la question, que pleures- tu ? Et je n'est pas trouver de réponses. Je sais que tu es partie, que c'est mieux ainsi, que tu es libérée mais je suis envahi par un manque mais je ne sais pas lequel puisque toi tu es toujours là, dans mon coeur et ça ne changera pas.
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