Un rude passé

Je vais vous raconter le récit qu'une de mes amies m'a raconté concernant son passé.
Plusieurs fois, en arrivant au lycée, on aurait dit qu'elle avait pleuré et elle tirait une tête d'entèrement pas possible. Au début elle voulait pas en parler, mais elle finissait toujours par tout débiter, pour elle c'était quelque chose de trop lourd a garder pour soi.
C'est ainsi que j'appris des tas de choses sur elle. Elle me raconta qu'elle s'était fait violer par son oncle à l'âge de quatre ans, elle était en larmes en me disant ca. Mais ce rude épisode ne fut hélas, que le début. Lorsqu'elle eu six ans, naquit son petit frère, jusque là, rien de grave, sauf que ses parents ne s'en occupaient pas du tout. C'était elle qui devait se relever la nuit, elle qui devait lui donner le biberon, la seule fois ou elle était tranquille, c'était lorsqu'elle était à l'école, sinon c'était le calvaire. Par la suite, elle devint quasiment l'esclave de la maison, elle devait faire le ménage, à manger s'occuper de sa soeur et son frère.
Forcément, elle ne pouvait pas concilier devoirs et ménage, elle avait tout le temps des mauvaises notes... Impossible de travailler avec la famille qu'elle avait.
Forcément me diriez vous, elle aurait du se rebeller, mais elle la fait, ça oui elle l'a fait, et elle s'est retrouvée a la porte. A deux heures du mat', elle était errante, cherchant un endroit ou dormir, finalement un copain à elle l'a recuillie pour la nuit. Mais elle a finit par retourner chez elle, ce que personnellement je ne comprends pas. Je lui ai dit d'aller voir une assisstante sociale, rien à faire elle ne veut pas en entendre parler...
Aujourd'hui elle vit toujours cette vie pénible et rude. son père va même jusqu'à la frapper.
Elle est en apprentissage pour pouvoir s'en aller de chez elle au plus vite...


J'éspère que cet article vous aura fait réagir, d'autant plus qu'il s'agit d'une histoire vraie, car il existe bel et bien des cas extrêmes en France, moi qui n'y croyait pas trop au début, je ne pensais pas qu'il y avait jusqu'à ce point la. Comme quoi comme on le dit si souvent, "il faut le voir pour y croire... "