Contes

Les deux contes que j'ai écrit représente deux styles de contes différents. Les contes regroupes une dizaine de styles (dont l'initiatique, le féerique, le moraliste, le mystérieux,...)


Le secret du vieil homme

Il était une fois un vieil homme qui habitait au fond d'une forêt si profonde que personne jamais venait lui rendre visite. Mais le vieil homme n'était pas triste car il avait un secret.
Ce secret, le rendait si joyeux que l'isolement de la forêt ne le gênait pas, au contraire.
Parfois, les hommes du village voisin parlaient de lui. Ils racontaient des choses horribles. Cependant il n'était rien.
Peut-être était-ce la jalousie de sa joie.
Le vieil homme lui, ne songeait point à toutes ses histoires car il connaissait la plus belle chose du mon, le bonheur.
Les villageois vivaient dans la complaisance de l'autre, ils n'avaient jamais au grand jamais ressenti le bonheur du vieil homme. Mais où était la différence ?
Les villageois à force de jalousie, décidèrent de se rendre enfin chez le vieil homme pour de mauvaises intentions, mais aussi pour savoir ce qu'il leur cachait.
Mais vaguant dans la forêt, les villageois commencèrent à avoir de plus en plus peur, c'est alors que le vieil homme apparu.
Les villageois pris de peur restèrent tétanisés. Le vieil homme commença à leur parler, les rassurer. Mais les hommes tellement pris dans leur peur, ne sure lui répondre.
C'est alors, qu'il se mit à parler de la nature aux villageois, de sa beauté, de ce qu'elle peut leur apporter.
Les villageois se sentirent apaisés, ils observèrent alors la nature et comprirent le merveilleux secret du viel homme.
"Il ne faut pas seulement exploiter la nature, il faut aussi l'aimer, vivre avec et l'écouter".


La petite fée

Il était une fois une petite fée, elle avait de belles ailles bleutées. Elle pouvait voler avec une telle légèreté qu'on aurait cru rêver en la voyant.

Mais cette petite fée était perdue, toute seule, elle n'avait personne sur qui veiller, alors elle errait comme ça dans tous les petits villages du pays.
Mais jamais elle ne trouvait quelqu'un qui avait vraiment besoin de sa présence, et même, quelqu'un qui mérite sa présence.

Cela faisait des années qu'elle cherchait, mais sans succès. Elle commençait à perdre l'envie d'accompagner quelqu'un durant tout sa vie.
C'est alors qu'elle rencontra une autre petite fée qui lui avoua qu'il lui faudra de la patience, mais qu'un jour elle trouverait et serait tellement heureuse qu'elle se dira qu'elle a bien fait d'avoir attendu si longtemps !

alors elle se dit qu'elle allait attendre et continuer de parcourir tous les villages du pays, comme elle le fait depuis tant de temps !

Et par un beau jour ensoleillé de juin, elle découvrit un petit homme, un petit garçon qui pleurait près d'un arbre. Elle ne sut pourquoi mais elle se dirigea vers lui. Elle lui demanda comment il s'appelait, d'où il venait et pourquoi il pleurait !

Il lui répondi qu'il s'appelait Luc et qu'il venait du village de Mirador à quelques kilomètres d'ici. Et que quand il était triste il venait sous cet arbre qui lui rappelait la présence de sa maman. Il était triste parce qu'il avait perdu sa maman quand il était petit et qu'elle lui manquait beaucoup.

Puis le petit garçon un peu surpris de parler à une personne étrange et toute petite avec des ailles lui demanda qui elle était. Elle lui expliqua que son rôle était d'accompagner un être pendant toute sa vie pour l'aider, et qu'elle pensait enfin avoir trouvé.

Le petit garçon lui dit alors, que cette personne devait avoir beaucoup de chance d'avoir une petite fée comme ça qui veillait sur lui.
La petite fée étonnée de la réflexion du petit bonhomme lui dit que c'était lui le chanceux, car elle serait sa bonne fée et qu'elle veillerait sur lui nuit et jour pendant toute sa vie. Et qu'elle le protégerait.

Alors Luc essuya les dernières larmes qui coulaient sur ses joues et se releva avec un grand sourire. Durant tout le reste de sa vie, la petite fée l'aida à surmonter toutes les épreuves qu'il rencontra. Certes elle ne remplaça pas sa maman, mais elle lui apportait tant de chaleur qu'il était moins triste.