Extrait du site https://www.france-jeunes.net

Délicate


Elle retira délicatement la ceinture de mon pantalon, déboutonna mes boutons un par un puis commença à descendre mon habit. Ses mains froides caressaient ma peau tout en m'enlevant le reste de mes vêtements.



Je caressais sa chevelure, je massais ses épaules, je sentais son parfum envahir mes narines. Elle retira délicatement la ceinture de mon pantalon, déboutonna mes boutons un par un puis commença à descendre mon habit. Ses mains froides caressaient ma peau tout en m'enlevant le reste de mes vêtements. Elle regarda longuement la bosse dessinée sur mon caleçon, je l'a rassurait en lui disant que ce qu'elle faisait était bien et agréable. En passant ces doigts sur le bas de mon dos elle enfourcha ses mains et enleva d'un coup sec mon dernier habit, j'était maintenant nu. Elle n'hésita pas longtemps avant d'engloutir l'objet de ses désirs, ces longs va et viens rendaient ma fierté masculine d'une taille impressionnante. Elle poussait de petits cris de temps à autre quand elle sentait les premiers signes du plaisir m'envahir. Elle s'arrêta et me regarda droit dans les yeux. Je voyais ce qu'elle voulait, je pressai alors un petit peu plus fort sur le haut de son oreille avec un objet en fer qu'elle connaissait déjà bien. Elle accéléra aussitôt la cadence, elle semblait vouloir plus que tout arriver à ses fins. J'étais au paradis, une magnifique femme était a pied, pendant ces instants passé avec elle j'était heureux. De plus, elle savait comme faire plaisir aux hommes. Je ne voyais maintenant plus que ses cheveux, recouvrant son visage et notamment sa boucle qui continuait d'exercer son travail délicat sur la plus importante parti de mon corps.


Le moment tant attendu allait enfin arriver, mes mains se crispaient sur les accoudoirs du fauteuil, le plaisir était plus qu'intense, je ne pouvais plus me retenir, les petits gémissements qu'elle faisait laissaient entendre que mon plaisir avait atteint son paroxysme. A moitié essoufflée, elle releva la tête, dégagea ses cheveux et s'essuya la bouche. Elle me regardait de nouveau droit dans les yeux, je voyais ce qu'elle voulait, je dirigeai l'objet en fer à son front, le plaçant en plein milieu et en ne cessant de la regarder, je lui tirai une balle dans la tête.
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