Extrait du site https://www.france-jeunes.net

Le plaisir sexuel réel


Ou comment deux France-Jeuniens de sexe opposé, pour la première fois de toute l’histoire de FJ, vous ont concocté, à distance respective, un incroyable co-article sur un sujet brûlant ! Un scoop ! :oD



Introduction mixte.


Faisons fi des aléas du temps et de ces conventions à la noix de cajou afin de découvrir et se redécouvrir : le sexe n'est pas seulement là où l'on pense. Continuer à jouer, à jouir, avant de fuir vers une finitude imposée... N'est-ce pas salvateur ?!


L’ouverture aux préliminaires, entre trompinets barrissants et autres petites bosses velues.

Planté de décor dans une atmosphère suave et tamisée.
Duo hétéro présent et potentiellement consentant au plaisir partagé, et ce sans aucun aspect lucratif, bien entendu. Une lumière trouble tamisée d’ombres sensuelles.

Les choeurs de l'armée Russe revus au synthé Bontempi par Gérard Prouton et son orchestre planent dans la pièce et frôlent les évanescences des vapeurs d’encens à la vanille synthétique des Iles Marquises.

Dans cette demi-obscurité aphrodisiaque, les battements du cœur s’accélèrent consciemment, les pupilles se dilatent, les pores de la peau appellent au plaisir charnel. Les sens sont alors en éveil, la température corporelle semble croître, l’impatience est grandissante. Quel suspense ! ;o)

Quelques mots glissés à l’oreille et la bave dégoûline d'envie, la bouche, offerte généreusement à l’autre bouche élue, semble scander le début d'une jouissance profonde et voulue...
A partir de là, une multitude de possibilités s’offre à vous et à votre inspiration ! Les corps parlent, écoutez-les et faites chanter la symbiose...

Va y avoir du poil d'arraché !!!

Otez moufles et mouflets et optez pour quelques caresses osées lors d’un subtil déshabillage ou de baisers plus ou moins appuyés, en prenant soin de goûter aux capitons, de pratiquer quelques morsures savamment étudiées ou encore de sortir vos griffes (de Cha), mais prenez garde à ne pas brûler les étapes !

Car, oui, mademoiselle, à moins de vouloir "s’empaler" immédiatement sur la verge déjà bien raide de votre torride élu velu, il est vivement conseillé de faire durer ce que l'on appelle les préliminaires !
[Cela vaut aussi pour le rustre en rût ! Bien que, celui-là, vaut mieux rien faire avec !]

N'hésitez pas, si vous en avez la patience, à prendre votre temps pour que plaisir se fasse. C'est tout un art.


Une sensation qui s'appelle...plaisir

O toi, qui as peut-être envie de butiner à coups pilonnants de phallus d’Homo Erectus ancestral, la corolle à peine humide de la belle Foemina, il ne faudrait pas confondre précipitation et plaisir égotique savamment conditionné en commençant à bâcler cette relation intime et consentie. Grrrr…

C’est vrai quoi : les différentes zones érogènes du corps réclament leur dû : celui de viiibrer de plaisiiiirrr. Ouvrez corolles et shakras et écoutez vos zones réclamatrices !

Il ne faut pas être en reste, suite aux massages sensuels pratiqués avec discernement, d’opter pour des caresses buccales et des léchouilles linguales appropriées littérairement adoptés par l’Académie française sous les termes: cunnilingus, anulingus et fellation.

Le « bouton de Rose », le « Jardin des délices », le « Minou affable », la « Caverne enchantée », la « Moule baveuse » - pour résumer poétiquement le sexe féminin - est à explorer avec délicatesse et volupté avec une petite note secrète de lubricité pour le puriste de l’art (Tel Ryan Philippe dans "Sex Intentions" !)
Savoir manier sa langue dans l’articulation de l’alphabet à l’endroit ou en verlan et recevoir en bouche ce suc sucré sacré infalsifiable et dont les effluves inimitables (comme le décrit à merveille Patrick Süskind dans « Le Parfum » ) se graveront dans votre mémoire pour l’éternité.

Le clitoris, ce cher inconnu, mérite effectivement que l'on s'attarde sur sa personne, tout comme d'autres parties sensibles, humides et parfois violacées qui peuvent nous faire atteindre le treizième lubrifiant ailé sans trop de rigueur.

Quelques caresses buccales sont effectivement les bienvenues, en plus d'être garantes d'un orgasme difficilement atteignable via le coït : eh oui, les phallocrates, désolée de vous décevoir !

Abandonnez un instant votre joujou (ne vous inquiétez pas, on y reviendra plus tard) et écoutez donc les désirs de votre partenaire.
Des vagues de plaisir l'envahissent : vous êtes alors sur la bonne voie. N'arrêtez surtout pas ! Cela serait fatal...
Savoir repérer ces chaleurs subites et autres points sensibles via quelques gémissements pourra faire de vous un amant indispensable : quelle gloriole !!!

Votre partenaire pourra être totalement folle de vous si vous savez vous y prendre comme il se doigt...
Eh oui, on les oublie un peu, ceux-là aussi... & pourtant, que de jouissances en perspectives ! Les moufles sont bien ôtées ?

Alors caressez la vulve amie avant d'enfoncer deux ou trois phalanges bien lissées dans les cavités humides qui vous interpellent.
Accélérez et incitez là à vous guider. Et c'est le bonheur assuré !
En outre, vous vous musclerez un peu le poignet, bel Apollon des montagnes !

L'orgasme dure quelques secondes et se manifeste par quelques longues décharges de bien-être (contractions) à l'intérieur du corps.
Il peut être très puissant et faire un peu peur... Il en est de même de « l’œillet », de « la petite Porte » car là aussi un "dépucelage" s’impose pour atteindre un plaisir si souvent boudé, et ce notamment pour des raisons liées aux interdits moraux.

Commencez par en parler afin d'avoir la certitude que votre partenaire désire ce type de pénétration
(on demande avant d 'entrer chez quelqu'un à l'improviste, nan mais !).

Puis, pris par ce flot de passion progressif, insérez-y votre langue, puis quelques doigts... Attention, la douceur est requise, le reste viendra après.

Concernant ce cher phallus monolithicum nommé Popol pour les intimes, sentir le contact d’une bouche, sur la douceur de votre gland doucereux, qui enveloppe sous effet de succions successives jusqu’à engloutissement…Gniiii…
Ajouter à cela la délicate attention de la caresse des doigts ou de la langue sur votre grappe raisinée, est d’une exquise agréabilité... Mazette, quelle recette !!!

A ce stade, deux possibilités s’offrent à vous : soit vous la laisser continuer jusqu’au bout, éjaculation assurée et vous reprenez une séance de préliminaires pour vous re-stimuler la ve-verge (toute puissante !), soit avec tact et douceur vous passez au rite de la pénétration vaginale ou anale dans la position qui vous incombe.

Là, au lieu de jouer le Don Juan Homo Bestialis, assurez-vous que sa petite grotte d’amour est toujours bien "lubrifiée" et de protéger votre rapport amoureux par le port USB 2.0.

Shit! Ma cyberdépendance me fait défaut, le port du preso, du condom…en bref du préservatif à la norme CE non remboursé par la sécurité sociale !

Pour ce, diverses variétés s'offrent à vous : si les texturés offriront davantage de plaisir à votre partenaire, les joujoux astrologiques ou nomiques détendront à coup sûr l'atmosphère (préservatif à tête de bélier ou de cancer) & n'oublions pas le préservatif féminin !


Nous allons, venons et tu te retiens

Ce n’est pas tout de préchauffer le four si finalement on n’a rien à y mettre dedans, non ?
Alors moteur, ça tourne…Action !


Le phallus curiotis (de nature très touchatou) se présente devant l’ouverture mouillée de la chattounette cendrée, jette un œil discret dans l’entrebâillement, tâte un peu de sa tête l’entrée de la petite grotte avec une certaine appréhension, lance des ultrasons afin d'en mesurer toute l’ampleur de l’architecture intérieure, capte le taux d’humidité et la température par une première entrée de quelques cm, ressort aussitôt, jauge la réaction induite par l’étude du comportement et des résultats rapidement analysés, pour re-entrer une nouvelle fois un tout petit peu plus profondément et ainsi de suite, le phallus doucement mais sûrement… …se met finalement en tête de s’introduire de manière saccadée par mouvements glissants.

Le tout est d’arriver à être en rythme, sans égoïsme, avec les différentes pressions exercées de la paroi de la chattounette excitée et des allers et venues temporisées.
Selon la position adoptée, on prendra soin aussi de prendre le rythme des mouvements balancés de son fessier celluliteux que l’on aura bien pris en mains.

( En cours, le prof de litté-rature vous a certainement déjà dit d’enrichir vos propos d’une touche personnelle.
Ok, alors pendant que d’une main je tapote nonchalamment sur les touches du keyboard, de l’autre je me masturbe franchement la hampe. (1er ou 2nd degré ? C'est là qu'on se dit qu'il est toujours bon d'en avoir deux (des mains... Enfin, entre autres.))

Ouiii… je sais, j’entends déjà la succession de vos voyelles qui émanent de vos âmes sensibles, mais je tiens à vous rappeler que nous sommes deux à vous écrire ce récit ô combien jouissif !
D’ailleurs pour preuve, je laisse le soin à cet instant à ma co-autrice d’écrire quelques lignes maîtresse de sa mouille enchanteresse…lol. )

Le phallus aimé entre alors dans cet antre humide à souhait, tout en caressant ses parois, teste et accélère, pendant qu'une main curieuse continue à apporter de plaisants massages aux deux moitiés d'oranges gonflées de plaisir, ou à la perle mauve érectile, alternativement.
Le corps en redemande, les coups du butor se font alors plus violents, plus profonds (pour qui aime, évidemment)...

Le phallus est alors à ce moment là en guerre, en pleins pilonnages incessants de la zone érogène alliée, votre concentration est intense, il va et il viiient entre…ses reeeins.

Une fois, dix fois, cent fois, à buter jusqu’à la garde, le phallus se retire et respire, la chattounette idem, changement de position (et les Shadocks pompent !)... Les parois félines soudain l’enserrent fermement, apnée juvénile, bouffée de chaleur, c’est le feu d’artifice…qui annonce…Le bouquet final !

Une explosion d'étincelles multicolores viennent caresser les parois, un spectacle ahurissant : le corps se raidit et exulte.
Des milliards de petits dégourdis se poussent de la tête et se fouettent du flagelle pour atteindre la sortie…Rhââ…Lovely !

Derniers soubresauts du corps sabordé ou abordé, ô incommensurable sensation de bonheur, de bien-être et d’ultime plaisir, allant au but, celui de nous dire : recommençons !. rebelote ! et dix de ders !

Après cette immersion dans le paroxysme de la jouissance, dans cette libération salvatrice, votre corps est relâché, détendu, reposé presque, vous apercevez de petits sapins qui clignotent, entendez des colibris entamer leur requiem, c'est normal : vous venez d’atteindre logiquement mutuellement : le Nirvana, le 7ème ciel, de prendre votre" pied", quoi !

Mais déjà un état de manque ce fait ressentir, odeur aphrodisiaque de stupre, essence de parfum d’amour, votre corps flasque frémit et languit déjà de vouloir à nouveau ressentir, ô ce doux nom évocateur du véritable plaisir sexuel consenti : orgasme !

Pour la plupart des hommes, l'orgasme, c'est d'abord et avant tout la performance… artistique ?…sportive !
L'éjaculation et l'orgasme lui sont presque synonymes.
Ils se produisent habituellement en même temps, mais on peut toutefois aussi éjaculer sans orgasme !
Il s'agit d'un phénomène réflexe qu'il est impossible ou presque d'arrêter une fois enclenché.

Au moment même de l'orgasme, des contractions involontaires de la prostate et des vésicules séminales (animal) se produisent tout comme l'expulsion sous pression du sperme. Nombre de Bars ? ? Aucune idée !

L'homme a souvent tendance à relier son plaisir au seul fait qu'il éjacule.
Pourtant, il trouve aussi du plaisir par la stimulation de ses zones érogènes, soyez un peu imaginatif à deux, à trois, à 2x12…. ! !

Finalement, nous pensons que rien ne peut égaler l'orgasme issu d'une relation sexuelle complète.


Conclusion mixte

Prenez votre temps et léch, euh... Lâchez-vous autant que la raison vous y pousse !
C’est vrai quoi vous voudriez pas que je le fasse à votre place, non ?
Si, à ma droite adjugé pour le week-end du 14 ! Lol.

Mais ne vous forcez pas non plus, laissez votre corps parler, il sait sans doute mieux que vous.
Euh, enfin normalement !

Pis, houla on n’est pô sexologue alors tentez d'oublier tous les petits tracas du quotidien (voisin chiant, chien baveux, patron exploitant, tonton libidineux...) en relativisaaaant, le temps de quelques sensuelles caressssses...

Et puis merde y a pas de contre indication à se faire du bien mutuellement !

Le rire et la jouissance sont la sûreté de vivre bien, plus longtemps ! Cqfd. Tchô !
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