Extrait du site https://www.france-jeunes.net

Ne me demande pas..


Il n'y a rien a décrire, ce ne sont que des mots..



Ne me demande pas, lorsque je sombre avec toi dans ce plaisir qui nous assaille, pourquoi parfois je détourne les yeux.
Tu fascine ingénument parce qu’il n’y a pas un geste de toi qui n’évoque pas la beauté mais je ne suis pas sans savoir que dans la tendresse plus chaude qui me noue à toi ; il y a le flot tiède d’un coup de poignard, il y a la paix cruelle du sang.
Dans l’insolence de nos désirs exaucés je voudrais que ton plaisir te crucifie, que dans la nuit de nos corps mêlés, un peu de ma mort envenime la mienne.
Mes bras te recueillent nu et tremblant. Tu as peur..
Je prononce comme une action de grâce ton nom. Je me baigne dans l’air des rues qui t’ont baignées. Je t’aime comme personne ne t’as jamais aimé…


Ne cache pas ton doux visage dans la paume de tes mains, abandonne toi dans mes bras et laisse moi te regarder respirer..
Tes larmes viennent se mourir tout contre mon ventre, cet asile au creux duquel tu t’es réfugié.
Je caresse avec douceur ce corps que j’aime tant, tu te lie à moi avec une force quasi désespérée..

Je te guide, tel la lumière d’un phare sur l’océan,
Vers les récifs tranchants du tourment,
Je n’y peux rien.. Je t’avais prévenu..
Et tu pleures, et ça me tue..

Tes sanglots redoublent de violence, tu te défait brutalement de moi.
Tu me déteste bien que tu ne saches pas pourquoi..
Toutefois même dans cette atroce souffrance, dans cette déchirure des cœurs, dans cette douleur des âmes, tu es plein de grâce ; et larmoyant ton visage illumine l’obscurité de la chambre. Un ange n’éclairerais pas la profondeur de mes nuits autant que tu ne l’éclaire toi..


Ne me demande pas, lorsque je sombre avec toi dans ce plaisir qui nous assaille, pourquoi parfois je détourne les yeux.
Tu fascine ingénument parce qu’il n’y a pas un geste de toi qui n’évoque pas la beauté mais je ne suis pas sans savoir que dans la tendresse plus chaude qui me noue à toi ; il y a le flot tiède d’un coup de poignard, il y a la paix cruelle du sang.
Dans l’insolence de nos désirs exaucés je voudrais que ton plaisir te crucifie, que dans la nuit de nos corps mêlés, un peu de ma mort envenime la mienne.
Mes bras te recueillent nu et tremblant. Tu as peur..
Je prononce comme une action de grâce ton nom. Je me baigne dans l’air des rues qui t’ont baignées. Je t’aime comme personne ne t’as jamais aimé…


Ne cache pas ton doux visage dans la paume de tes mains, abandonne toi dans mes bras et laisse moi te regarder respirer..
Tes larmes viennent se mourir tout contre mon ventre, cet asile au creux duquel tu t’es réfugié.
Je caresse avec douceur ce corps que j’aime tant, tu te lie à moi avec une force quasi désespérée..

Je te guide, tel la lumière d’un phare sur l’océan,
Vers les récifs tranchants du tourment,
Je n’y peux rien.. Je t’avais prévenu..
Et tu pleures, et ça me tue..

Tes sanglots redoublent de violence, tu te défait brutalement de moi.
Tu me déteste bien que tu ne saches pas pourquoi..
Toutefois même dans cette atroce souffrance, dans cette déchirure des cœurs, dans cette douleur des âmes, tu es plein de grâce ; et larmoyant ton visage illumine l’obscurité de la chambre. Un ange n’éclairerais pas la profondeur de mes nuits autant que tu ne l’éclaire toi..
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