Extrait du site https://www.france-jeunes.net

Barack Obama, l'homme noir avec un coeur blanc


En 2007, le monde bouge, un homme sans être prophète prêche la bonne nouvelle dans les églises, sur la rue, dans les foyers de retraites, dans les universités et dans les campagnes, il prédit l'avenir du monde et d'une Amérique, il parle à ses adeptes des Etats-Unis au bord du chaos et de l'inflation. Obama, un cerveau à grande vitesse (CGV).



En 2007, le monde bouge, un homme sans être prophète prêche la bonne nouvelle dans les églises, sur la rue, dans les foyers de retraites, dans les universités et dans les campagnes, il prédit l'avenir du monde et d'une Amérique, il parle à ses adeptes des Etats-Unis au bord du chaos et de l'inflation. Cet homme, dans ses mains, pas de Bible, pas de coran, pas de thora, pas de Gîta ou autres, ses mots si puissant et ses yeux affichent la détermination à pouvoir changer le monde, au-dessus de ses épaules, une tête et au dedans de cette tête un cerveau à grande vitesse (CGV). Est-ce de l'orgueil ? Est-il audacieux ? Il pense à lui seule changer le monde, où est alors la place des scientistes ? Un historien répondra à cette question il dira : "L'art d'être un peu orgueilleux, un peu audacieux est l'art de réussir" et le bon sens prouvera sa véracité en insistant sur le fait qu'un orgueilleux ou un audacieux aime l'honneur, il est l'ennemi des défaites et des grands échecs, il minimise les risques pour maximiser les efforts afin de pouvoir toujours gagner et ne jamais perdre, parvenir au bout de ses dires sans jamais renoncer, c'est ce qui forme l'état d'esprit de cet homme.

Ma mère raconta ce passage spécifique de la bible qui dit : "Un rameau sera tiré de Jérusalem, un fils nous sera donné, on l'appellera Jésus, l'agneau qui ôte les pêchés du monde" dit le prophète. Et plus tard martin Luther King prédira : "Cette révolution ne mourra pas certainement car un enfant nous sera donné, il restaurera la paix et l'unité, Les Américains tous de tendances confondues deviendront une seule chair". Coïncidence ? Notre monde est-il dirigé par des forces que nous ignorons ? La suite nous le dira.
En 2007, le monde commence peu à peu à découvrir ce prophète, un prophète noir du nom d'OBAMA, un nom qui veut dire bien des choses, un petit Africain. Pendant ce temps, l'Afrique surtout se lève de vive voix pour défendre les positions défendues par cet homme, elle rachète la cause américaine car pour elle, il s'agit plutôt d'aider un fils plutôt qu'un ami, toujours selon le principe continental : "Les enfants d'abord". Il incarne pour eux le rêve des grands ancêtres noirs qui auront prédit la venue d'un messie noir à la tête de la première nation au monde et qui selon eux est signe de fraternité et de réunification du monde, encore beaucoup plus la formation d'un monde nouveau sans discrimination raciale et ou tout le monde peut prospérer.
En 2008, En Afrique d'où je viens, un fils de près ou de loin, Barak OBAMA a été très bien accueilli, tout le monde est tombé amoureux de cet homme qui incarne le retour du noir en puissance, mais était-il vraiment le Messie ? La détermination de l'homme, son audace le permît de séduire autant des personnes à travers le monde et de se faire autant d'adeptes, Le Barakisme s'installe bien et réussit à se trouver une place au cœur de milliers des gens à travers le monde. Les Africains de partout dans le monde suivirent de très près l'évolution du Barakisme qu'ils voient grimper d'échelles aussi vite qu'un tramway. Quelques part en Afrique, on entonne des cantiques en son nom, on prie les esprits, les dieux, des rituels de tous genres dont participe des milliers d'adeptes du Barakisme, le changement on pouvait y croire, et de tout cœur. Mais, est-ce du laxisme africain ? L'Histoire nous le dira.

Ce que les africains avaient peut-être ignoraient c'est que Barack Obama n'est pas seulement un africain pour s'y auto approprié mais un homme multiraciale et multidimensionnel. C'est la grande vérité qui demeurait encore dans les bas des mémoires. Chez nous au Congo, dans la tribu Luba, un dialecte luba cite ce nom : "BARAKOOBAMA" qui veut dire : "Fils de la promesse", emporter par la légende, en ce temps-là on y croit fermement disant que c'est vraiment lui celui que nous attendions tous à table. La montée en puissance de ce messie est perçue comme la fin du racisme, de la discrimination raciale, de l'intolérance, la xénophobie et les petits soucis qui divisent encore les hommes de couleurs. Nous avons sans doute fait de lui notre grise de confiance, BARAKOOBAMA "Fils de la promesse", notre fils à nous, en Afrique une calebasse ne se partage pas. Pauvre Afrique face à l'ironie du sort. Faudrait-il aujourd'hui retourner les légendes à la retraite ? Le barakisme sauvera-t-il vraiment la planète ? L'histoire nous le dira.


La vision de changer le monde à tout prix

L'homme avait la vision du monde, il rêvait d'un monde nouveau, ou tout est calme et s'assurant que chacun de nous pouvait jouir du bien-être, d'un monde de justice, un monde égalitaire, avec répartition équitable des ressources nationales, d'un monde sans caste. Promet-il le paradis ? Croyance aveugle oblige on lui remet toutes les clés : "Ce n'est pas moi qui vit c'est mon talent qui vit en moi". Il promet à ses adeptes de réduire à la poussière l'Al-Qaeda qui polluait déjà le monde, de mettre fin aux talibans en Afghanistan, de tourner définitivement la page avec la guerre sanglante en Iraq et de retourner les enfants (soldats) à la maison, Il dit qu'il d'impliquera personnellement pour en finir avec Ben Laden, Il relancera l'industrie automobile américaine, Il promet d'abattre le niveau général de taxe pour les classes moyennes (taxes cut-off for middle classes), Il promet d'offrir à toute les États-Unis de la couverture médicale adapter aux revenus des ménages (OBAMA CARE), Il fait la promesse de réunifier les États-Unis, de faire asseoir aux mêmes tables, les républicains, les démocrates et les indépendants afin de bâtir un pays nouveau. Il promet un partenariat direct d'Etat-à-Etat avec l'Afrique et plus jamais la notion du loup et du mouton, finit avec les impérialismes du vingtième siècle.
L'homme, naturellement doté d'un aura puissant séduit dans tous ses discours, un messie aux paroles juteuses et aux lèvres mielleuses. Pendant ce temps, les Américains, cloués par la crise et surtout par le désespoir de voir le marteau passer à la Chine, lui écoute tranquillement, certains même versent quelques larmes, il fit promesse : "Les USA reviendra", il dit : "L'Espoir est cette chose en nous qui insiste malgré tous les enjeux dans les pays que quelque chose de meilleur nous attend si nous avons le courage de travailler et de combattre pour ça". Un adage American dit : "The president is the decider in chief no one can make a decision for him" généralement quand il faut prendre des décisions toute la maison blanche se tourne vers un seul homme et le fixe droit aux yeux, mais lui en ce temps comme tout citoyen américain croit qu'il faut plus conférer le pouvoir au peuple de décider sur son avenir quand il crie lors de son discours d'acceptation : "In this defining moment, change doesn't come from Washington, change comes to Washington" confèrant ainsi au peuple plus de pouvoir de décider, alors il est accueilli en héros.
Nous avons vérifié notre Obamoscope et avons découverts que cet homme marche bien sûr ses mots, du moins pour les intérêts américains. En aucun moment de sa présidence il ne s'est arrêté, parfois malade, mais quand il s'agit des intérêts américains on y va quand bien-même on est souffrant. "LES USA D'ABORD, LE MONDE APRES", il est surement le president qui as battu le record des voyages à travers le monde dans quatre ans, un peu comme Neil Armstrong parti a la conquête de la lune en 1969, BARAKOOBAMA est parti à la conquête des intérêts américains, il se serait rendu même là ou les intérêts les plus minimes se seraient enfuis. L'homme est dévoué à la reconstitution et la répartition des intérêts américaines à travers le monde pour s'attirer des bénéfices supérieurs. Dans ses discours il ne prône ni race, ni religion, il insiste sur l'unité pour rebâtir les États-Unis de l'après-guerre mondiale, et son message perçu cinq sur cinq par les Américains. Hélas ! Les États-Unis redevinrent la première puissance. Les USA de Franklin Roosevelt, de Kennedy est de retour, L'Obamoscope marche bien.
La guerre en en Iraq finie, les troupes sont retournées à la maison, Le Taliban dépiécé et mis à mal, aujourd'hui remplacé par un gouvernement d'unité nationale avec le president Amir Kharzai d'ici 2013 les troupes seront tous rentrer à la maison, Ben Laden parti l'une des opérations militaire le plus risquée de l'histoire qui ramène au top les stratégies militaires américaines, General Motors revenu dans sa stature de meilleur vendeur automobile au monde, Les taxes réduites jusqu'aux fin-près pour les classes moyennes américaines, une couverture médicale disponible pour tout le monde, des milliers d'emplois crées, le Wall Streets revenu au top. L'Amérique est refaite, mais qu'en est-il du sort de ses adeptes à travers le monde ? Lisons ce qui suit.


Que pensent aujourd'hui les adeptes du barakisme ?

Quelque part au monde on dit : "L'homme noir au cœur blanc, à creuser sans pitié jusqu'à ôter même les nappes souterraines", oui a chacun son jugement, mais vous savez, combien des prières, des rituels, des cantiques se sont lever en 2008 pour que quelqu'un devienne président ? A qui cela a-t-il profité ? Ailleurs on se sent un peu orphelin et tromper par le destin, certains même disent : "Ce Barak est vraiment américain" L'humanité se serait-elle aussi trompée ? En principe telle qu'écrit dans les âges, après un temps un homme est élever au rang des présidents ce n'est nullement le désir du peuple ou encore de ses propres convictions mais le simplement le jeu de la nature. Certains ont même exagérer pour lui traiter de messie, aujourd'hui ils se sentent peut-être meurtrie. Le BARAKOOBAMA avait-il plus des fanatiques que d'adeptes ? Le Barakisme existe-il vraiment ? Un jour, lors d'une discussion je posais la question à mon père pour savoir si un jour ce jeune OBAMA pouvais prendre une option d'intervention militaire contre un individu ou une nation et la réponse de mon père étais : "NON !" et il ajouta : "Il donne bien l'air de faire un agneau celui-là" mais l'avenir nous a prouvé le contraire : OBAMA n'étais pas un agneau mais une aigle dont les ailes n'étais pas encore matures.
Chers lecteurs : "Quelqu'un savait-il qu'il était un homme noir dans un cœur blanc ?"Quand j'interroge les gens sur comment ils interprètent mon paradoxe d'homme noir et de cœur blanc, les avis sont diversifier. Mes amis américains, Wills et Marx qui m'ont inspiré à vous larguer cet article m'ont raconté : "Obama, un homme vrai, un individu qui prend le risque mais surtout qui croit en lui, un homme sans couleur ni race fixe alors pas possible pour lui de discriminer qui que ce soit, un homme bon pour l'Amérique de nos rêves". Quand je tourne mon regard, Interrogeant mon ami Ibrahim de nationalité française il me dit : "c'est un homme de peau noir qui as préféré héberger un cœur blanc et il n'a aucune pitié pour l'Afrique ne se souvenant néanmoins pas de sa couleur de peau". En Afrique aussi l'opinion est diversifiée mais on pense seulement que l'homme est plus américain que tout ce que nous pouvons imaginer. Mais qu'est-ce-que cela signifie qu'être américain ? Le "Moi d'abord !" où iraient tous ces adeptes à travers le monde à étudier le Barakisme ? Les Barakistes sont toujours là en 2012 ? Le fils de la promesse aurait-il oublié la promesse ? Ce n'est pas fini, notre Obamoscope continue.
Extrait du site https://www.france-jeunes.net
Tous droits réservés