Extrait du site https://www.france-jeunes.net

Le point G


Son nom vient du médecin américain, le docteur Gräfenberg, qui a commencé à le décrire en 1950. Sa stimulation entraînerait des orgasmes très forts et répétitifs, avec parfois association d'une éjaculation féminine, contrairement au clitoris qui devient très sensible voire douloureux après le premier orgasme.



Le point G serait situé sur la face antérieure du vagin à 4 ou 5 cm environ de son orifice, derrière l'os du pubis et longeant l'urètre (canal de la vessie). Ce qui explique que sa stimulation peut être désagréable chez certaines femmes entraînant un besoin pressant d'uriner.

Il y a encore beaucoup de controverse au sujet de la localisation et l'anatomie de ce point G. On peut encore se demander s'il ne s'agit pas, à ce niveau, d'une simple stimulation indirecte du clitoris, au travers de la paroi du vagin.

Certains le déterminent comme une zone érogène un peu rugueuse plutôt qu'un point précis, de la taille de 0,75 à 3 cm, qui sous stimulation digitale ou pénienne gonfle et durcit.

Elle nécessiterait une stimulation suffisante par pression en petits cercles plus appuyés que les caresses sur le clitoris, en association éventuelle avec celle-ci pour augmenter l'excitation et obtenir un orgasme plus intense.

La plupart du temps, certaines femmes ressentent plutôt une sensibilité au niveau de la paroi antérieure (côté abdomen) du vagin.

La stimulation est maximum lorsque le partenaire est derrière sa partenaire pendant le rapport.

Parfois il y a expulsion par l'urètre d'un liquide transparent par jet au moment de l'orgasme. Certaines femmes, non informées, peuvent être gênées dans leur relation sexuelle car elles la confondent avec l'émission d'urines.
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