La culture

En premier lieu tout le monde convient que la culture est d'abord synonyme de la connaissance. En effet, on dit que la culture était "ce qui reste dans l'esprit quand on a tout oubliè". Mais cette définition suppose pour le moins qu'on a commencé par apprendre quelque chose. Il est bien évident que l'ignorance ne serait en aucun cas fonder une culture. Et c'est pourquoi les travailleurs instinctivent considèrent l'école comme le premier outil de leur promotion, c'est-à-dire de leur libération.

En réalité, la culture depasse la connaissance, surtout la superficielle, car elle exige un d"veloppement en profondeur de l'individu, elle ne peut se contenter d'une sp"cialisation, car elle suppose un éclairage de la réalité par diverses sources. Il n'y a pas de vraie culture, elles sont un élargissement des horizons qui risque de faire défaut à celui qui se tient dans le cadre étroit d'une seule spécialité.

En effet, la spécialisation est limitative par nature ; l'abre cache la forêt. La culture exige un jugement critique sur les hommes et sur les choses ; elle a donc besoin d'un horizon de référence assez vaste, c'est a dire d'un recul par rapport aux évenements et d'une hauteur de vue par rapport aux contangences.

En second lieu, l'idèe de culture apprait comme l'ouverture sur le monde. Elle consiste à situer, à dèvelloer son sens critique, à comprendre les faits sans les subir.

Cela signifie que la culture est synonyme de libertè de l'esprit. La culture n'est pas facilement compatible avec les barrières sociales des castes, avec les classes, car elle est synonyme de comprèhension mutuelle, de dialogue, de tolérence réciproque ; elle rèclame les échanges intellectuels qui permettront l'enrichissement et l'épanouissement personnel.