Extrait du site https://www.france-jeunes.net

Viol collectif : Phénomène de mode...


La violence est quasi inhérente et omniprésente dans la vie de ces cités. Pour faire face, les "jeunes" sont organisé en bande. A l'intérieur de celles-ci : les clans. Leurs cibles favorites sont les filles, surtout celles qui n'ont pas de frère. Elles font des proies faciles.



L'un des aspects de cette violence est à l'origine du phénomène des tournantes. Je ne parle pas des partouzes où tout le monde est consentant, mais bel et bien de VIOL COLLECTIF durant lesquels les filles sont forcées contraintes. Ces "tripes" qui sont imposée par la menace, le chantage ou toutes autres sortes de pressions. Ce genre de viol apparaît suite au fantasme collectif des tortionnaires. Ce qui crée parmi les "petites frangines" de malheureuses victimes d'une horreur certaine. Ces filles sont les victimes de lourds traumatismes, envahies d'important sentiments de culpabilité, désirs de suicide, dépressions nerveuses... De surcroît, elles doivent affronter la sensation d'être constamment jugées, méprisées... Comme si cela ne suffisait pas, tout cela est accompagné de lourdes représailles en cas où elles viendraient à dénoncer les actes abominables qu'elles ont subis.
Comme si cela ne suffisait pas, elles subissent l'enferment de cantonnement de leur expression au sein même des mouvements féministes. J'ai tenté d'entrer en contact avec l'une de ces associations. Pris pour cible, j'ai essuyé diverses attaques qui visaient directement à discréditer mon travail, mes intentions, mon intégrité, en bâillonnant ainsi une parole déjà difficile à obtenir : Celle des victimes elles-mêmes qui demeurent les seules à ce jour à pouvoir enrichir le débat social et bouger les choses en matière de viol de législation de ce type de crime. Quand on pense que la loi permet toujours un domaine de PRESCRIPTION en matière de VIOL et d'ATTOUCHEMENT sur mineur... Libre à chacun de croire que le dit domaine est passé obsolète ! C'est bien là une réalité qu'à accréditer l'attitude de cette association féministe à mon égard sur son site : http://chiennesdegarde.org/forum2.php3?lecture=99287

C'est à ce demander ce qui se cache derrière ce genre d'organisation féministe soit disant en défense des droits de la femme. Quel est leur véritable but ? Est-ce là une énième réplique d'un petit groupement d'opportunistes ? Surtout lorsqu'on rappel la teneur de propos d'une victime de viol :
- "J'ai appelé ce numéro de SOS VIOL quelque fois pour qu'ils me communiquent le numéro d'un endroit où je pourrais parler à des gens, à des psychologues... Ils m'ont très mal reçu, m'ont fait pleurer, ont refusé au départ de me donner un numéro tant que je ne leur avais pas raconté par téléphone ce qui m'était arrivé. Bref, c'est l'horreur, ils m'ont fait craquer et franchement, je les tiens pour personnellement responsables du fait que j'ai pris si longtemps avant de m'adresser à un thérapeute."
Avant que plus loin :
- "Si eux, des spécialistes dans l'aide aux victimes, ne se préoccupent même pas de moi, si eux-mêmes me font encore plus sentir coupable, alors comment s'en sortir ? Qui va m'aider, me prendre au sérieux, me dire que je ne suis pas coupable, que je n'ai pas à me sentir honteuse et salie ? Qui ?"
Mais en revanche, et là je tire haut mon chapeau à ses femmes dont je compte bien défendre la cause – je cite : Le groupement des "Ni pute ni soumise". Des filles de quartiers accompagnées de quelques personnalités qui, ensembles, sont en train de parcourir la France jusqu'au 8 mars, une démarche à mon regard, qui de loin, reste bien plus allouable quant à la sensibilisation et leur intérêt d'élever le débat social sur la condition de la femme, ses droits, et donc les lois. Alors, je tiens à rassurer de nouveau ici, sur le but de mon appel à témoin. Celui-ci est destiné à recueillir les témoignages des victimes des viols collectifs que j'évoque plus haut. Cela pour nourrir l'écriture d'un dossier prévu pour mettre en avant le calvaire vécu et traversé par ces témoins exclusifs du pire des quartiers populaires et d'ailleurs. Cette démarche consiste à multiplier les moyens d'expression même des celles qui savent mieux que personnes, mieux que quelconque organisme souvent récupérateur des misères d'autrui. Fort de ce recueil, j'invite les personnes concernées uniquement, et désireuses de se rencontrer virtuellement ou autrement, à poursuivre cette démarche de rapprochement afin de diminuer leur isolement, d'échanger des informations utiles...

Mon tort est de croire qu'avec ce type de travail, on pourra provoquer une forte prise de conscience sur ce que veux dire être une femme victime de cela, la rudesse du quotidien de ces femmes, ce qui fonctionne bien et mal en matière d'aide et de soutien re-structural psychique et moral... Doit-on les considérer comme des victimes ou sinon comment ? ...

Pour précision, je rappelle que personne ne saurait aujourd'hui ce qu'avait représenté l'holocauste, si des témoins, des victimes n'en avaient pas survécu pour nous rappeler, nous témoigner les actes, et mieux en révéler les horreurs. La loi du silence relève d'une méthode propre aux méthodes des bourreaux et non de leurs victimes. L'amalgame vécu réside dans la culpabilisation qu'imposent les tortionnaires à leurs victimes, même aux travers les tribunaux. Ici, bien plus qu'une simple tâche, c'est une garantie primordiale, une condition indiscutable que de préserver votre anonymat dont je me fais garant étant donné que je reste auteur du recueil. En tous cas, ce travail vous permettra, j'en suis assuré, d'exprimer anonymement, sans crainte, ni jugement, ni culpabilité (je l'espère), ni honte, ce qui pèse inexorablement sur vos existences. Je vous enjoins de le faire pour qu'enfin, on cesse de parler, lors des débats publics, de statistiques, mais bel et bien des questions humaines que vos récits relèveront. Cela me semble important en votre nom, celui des victimes à venir et enfin pour l'avenir de nos propres enfants. Car, dans les pays de non droits, rien ne saurait avancer sans les exemples, les modèles avérés. La culture reste encore ce qui traverse le mieux les frontières intellectuelles. Cela bien mieux que tout le reste. Face à une telle délinquance, devons-nous rester sans rien dire, sans rien faire ? ...
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