Extrait du site https://www.france-jeunes.net

Déprime


J'ai eu une période de dépression et d'alcoolisme dont j'ai eu baucoups de mal à me sortir, j'espère que ce récit de soiré vous ferat comprendre la détresse que certein d'entre nous traverse en silence, sans bruit et que certein ne réusiront peut étre jamais à traversé sans aide...



Je suis là, assis. C’est une de ces soirées ou comme toujours je suis seule. Mon verre à la main je pence. Les yeux dans le vide, qui lisent le piètre livre brûler qui constitue ma pensé.
Je réfléchie aux mille et une manière de m’en sortir, toutes plus sordide les une que les autre car la conclusion est un échec qui me mène inébranlablement a la mort.
Je réfléchie aux mille et une manière d’être heureux, mais je m’en lasse car je sais que le bonheur n’est que pure utopie. Du moins mon bonheur n’est pas réalisable dans ce monde ou pas dans l’immédiat, et il l’est encore moins dans l’autre.
Puis je pence a tout mes problème journalier pour démontrer ma misère.
Je pence a ceux que j’ai aimer je pence a l’amour que j’ai jalousement garder, et a l’amour que j’aurais pu recevoir en en donnant.
Et la je trouves la solution : le bonheur est dans la franchise et la parole. Pourquoi garder tout cet amour ? Pourquoi ne pas partager cet amour que je peine à contenir ? Et là je commence a rêver a l’amour que je me suis toujours refuser, et je deviens presque heureux et j’espère ! je redécouvre le brins d’espérance qui me manquait tant, qui me désespérait de sont absence !
Mais inévitablement ma dignité me rattrape : elle ne pourrait pas supporter de se mettre a nue, elle ne pourrait pas supporter de se dévoiler elle préfère changer l’amour en haine, en souffrances et en désespoirs plutôt que de laisser s’esquiver sur mon visage un fragment d’humanisme et de fragilité
Ayant finit toute la vodka qu’il me restait je me souvient qu’il me reste un joint. Après l’avoir fumer je repense a l’amour qui me fait défaut. Et ne supportant pas mon impuissance devant toute cette dignité mon subconscient se vide de toute réflexion me laissant à des pensés incohérente et inoffensive.

Je pense que ceux qui sont dans mon cas se reconnaîtront et me comprendront, du moins je l’espère.
Extrait du site https://www.france-jeunes.net
Tous droits réservés