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Moi, mes camarades de classe, et la violence


Peut-être êtes-vous taquinés a longeur de journée comme je l'étais, mai même moi je m'étonne de mes réactions, jamais je n'aurais pu deviner que j'allais développer une telle VIOLENCE



Vous aller peut etre trouver le début de mon histoire un peu chiante, mais aprés cette introduction vous comprendrez surement pourquoi j'ai peté les plombs

Tout commence en cours préparatoires; je ne conaissais personne dans cette école, je n'étais pas a la maternelle auparavent, donc personne ne faisait le premier pas pour me connaitre, et comme j'étais timide, je ne faisais rien non plus. Au début je n'avais aucune réputation, et il a fallu que je décide de prendre une balançoire, me balancer, et ce que je craignais le plus m'arriva; je glissais de la balancoire, et comme j'e chialais pour tout et n'importe quoi, je ne pus m'empêcher de chialer, evidement les autres de la classe se sont vite fait une idée, "c'est un petit chialeur", pensaient-ils, et comme ils trouvaient cela amusant, ils commencerent a m'embeter, d'abord avec des petites railleries sur mon nom, puis de fil en aiguille, les choses se sont compliquées, et ça finissait souvent avec des savonettes de sable, ou encore de coups de pieds dans le tibia et evidement, comme je ne savais pas me controler, je pleurais toujours de plus en plus fort, et de plus en plus. Ma maitraisse fermait les yeux la dessus, le directeur aussi, apparament mes pleurs faisaient partie du décor de l'école, quand la cloche sonnait le matin, et que je ne peurais pas avnt, c'était soit parce que je n'étais pas là, soit prceque ma mère attendait jusqu'a la sonnerie. Hereusement, j'avais mon protecteur (a partir du CM2), il se chargait de me défendre, grace a lui, je me fatiguais moins dans la journée (c'est creuvant de pleurer), je quittais l'école avec le sourrire, et mes notes dépassaient le 3 sur 10 de plus en plus.

Puis a la fin du troisieme trimmestre de CM1, ma mère commencait a en avoir marre de me voir revenir avec des blessures du a mes camarades, et elle décida de me transférer vers une autre école; jusq'au fin CM2. Ce fut mes quatres plus beaux trimmestres de ma vie, j'étais aussi respecté que mes autres camarades de classe, et j'étais le "centre" d'un goupe d'amis enfin mes notes dépassaient le 15 de moyenne générale (sur 20).

Ensuite, vit le moment d'aller au collège, je ne pouvais pas aller a celui de la commune, il y aurait tout ceux de ma premiere école, il fallait que j'aille dans un college privé. On m'inscrit dons dans un collège privé, et je ne sais comment, les moqeries sur moi recommencèrent, j'étais plus résistant, j'avais plus de répondant (du moins je le croyais) et je maitrisais plus ou moins les attaques que l'on me portait. Ce qui me faisait le plus de peine, c'était les fumeurs qui courraient sur moi, et les "petits nom" que l'ont m'associait comme Corky, pinoccio des bac a sable (ne me demandez pasd'ou ça vient je n'en sait rien) ou encore chapuoui (ca pue oui) (je sais c'est subtil) et j'en oublie.

Mais la période la plus dure commenca au lycée, la j'y ai vécu 2 trimmestre et demi, les pire de mon existence, comme si toutes ces années de souffrance se concentraient en quelques mois. Là on porte atteeinte a ma famille, a mon amour prore, et le pire, on salissait le nom de ma soeur (ca je ne peut pas l'accepter !) des trucs dans le genre "ta souer je vais la sauter tellement fort que je vais l'écarteler de l'intérieur avec ma grosse b... " ou des trucs dans le genre. Mais c'est avec des petite phrases comme ça que j'ai commencer a m'énerver le plus. Le mardi 6 mai (date d'écriture de ce texte) c'est ce jour ou j'ai vraiment déraillé : un gars s'est amusé a envoyer ma trousse de l'autre coté de la salle (comme il le faisait souvent) mais cette fois ci il avait pris le soinde l'ouvrir avant de la lancer, imédiatement, sans réfléchir, je pris sza trouse, l'ouvrit et la fis voler a travers la fenetre donnant sur la cour de récréation. Sa réponse fut instantanée, il menvoya une baigne en pleine face, la je commencais a perdre le controle de moi meme, et je commencais a le bombarder de mes coups de poings, je le foyais s'affaiblir, me suppliant de s'arreter, les autres tentaient de me stopper, fais ma frénésie était tellement forte que même moi je n'arrivais plus a m'arreter, je voyais son nez couler abondament, il était inanimé, mais je continuais. Lorsqueje m'arretais (enfin) il etait étendu sur le sol, pas besoin d'ordre du prof pour m'en aller, je partis tout seul et rentrais chez moi, les mains encore ensanglantées. Maintenant ce gars est dans le coma, et je n'osememe plus sortir de chez moi. Mes parents m'ont interdit de tout : sorties, téléphone, ordinateur, bref absolument tout je vous azvoue je je m'en fus de tout ca, j'ai même peur de moimeme, même mon meilleur ami; mon protecteur est surement terrifié de mes actions.

C'est ma dernerre apparition sir le net, a mon avis le webmaster peut supprimer mon compte définitivement. avec un peu de chance, je revivrais dans quelques années...
pas la peine de m'envoyer de messages d'encouragement je ne pourrais probablement pas les lire, mais mes parents m'ont laissés ce soir pour dire au revoir a toutes ces personnes, je je connais du net, pour qu'ils sachent qu'ils n'ont pas besoin de m'attendre.

NE GARDEZ PAS VOTRE COLERE EN VOUS SINON IL VA VOUS ARRIVER LE même GENRE DE CHOSES, ET QUAND VOUS VOUS EN RENDREZ COMPTE, IL SERA TROP TARD
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