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Catherine |
Interprété par D-Natural. |
Une belle petite femme avec qui 'j'passait des soirées magnifiques romantiques, érotiques, on était rendu maintenant complices j'me perdais dans ses yeux remplis d'amour toute les nuits intenses où que nous faisions l'amour Catherine, nous étions peut-être fais l'un pour l'autre avec toutes ses gestes sensuelles oubliant que nous étions pauvres un petit party intime où les baisers coulait à flot à jouer à des jeux enfantins comme des vieux marmots jamais je n'oublierais ses mots, qui sont dans mon cerveau collés, gravés, tapé, indélébiles et c'est débile comme la vie est rempli d'épreuve non lucide ces pratiques de musique avec ce sirop d'enfer, jusqu'à la marche à Lyster jusqu'au coup de tonnerre pour avoir une p'tite bière mais est-ce un crime, Catherine, de jouer ce jeu, pendant qu'nous sommes encore tout les deux (ref) (ref) Qu'est ce qu'on aurait pu faire ensemble? Qu'est ce qu'on aurait pu vivre ensemble? Est-ce qu'on aurait pu s'rendre à 30? Qui t'embrasses pour moi, Catherine? On doit vivre avec nos choix puisque la vie est une sorte de loi revers d''la médaille, un cheval de bataille ma petite maitresse plein de tendresse, nuit de caresse j'n'oublierais jamais ce week-end à Inverness! et de cette journée où nous avons fait cette promesse avons-nous oublié toute cette délicatesse Tu as finalement pris ton chemin et moi j'ai pris le mien j'espère maintenant que tu es heureuse, joyeuse, avec des enfants pis un homme qui s'occupe de toi et qui t'as rendu la joie j'ne sais plus où tu es ni c'que tu fais si j'le saurais, est-ce que tu me reconnaiterais, tu m'écouterais? on ira boire un pichet j'te regarderais et j'me rappellerais j'ne t'ai pas oublié, souvent j'me demande c'qui t'es arrivé un amour qu'on a pas su protéger c'est la simple vérité, Catherine (ref) Aujourd'hui, perdu et pensant à elle souvent j'ignores si elle fait pareille maudite jeunesse cruelle j'ai fais le mauvais choix de la laisser partir, oubliant mes désirs mes pulsions, tes lèvres ,tes seins, ton déshabiller couleur saphir j'm'en voudrais jusqu'à la fin de mes jours pour toujours d'avoir tuer notre amour en faisant le sourd devant ton discours n'ayant plus de ses matins où ton sourire qui embrassait le mien pleine de nuit intense faut pas mettre un frein, mais c't'en vain d't'laisser partir tes yeux bleux et tes ces tendres mains petite soirée disco, ton odeur sur ma peau, massant ton dos sur ton lit d'eau et tu étais encore amoureuse de celui qui t'avais déjà aider on s'demandant notre avenir, notre désir mais l'bâteau avait déjà coulé j'me suis trompé, j'dois apprendre à dealer avec ça pour t'oublier tu as respectée mon erreur c'est ma douleur rien à regretter, Catherine (ref) |
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