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News écolo (1)

L'écologie est de nos jours le principal sujet de discussion que tiennent les grands pays enfin conscients du danger qui nous menace tous...


Des eaux bien usées

Au Canada, des chercheurs de l'Université de Montréal viennent de faire une inquiétante découverte dans le fleuve St Laurent. En effet, des molécules utilisées pour des traitements de maladies chroniques telles que l'hypertension, le cancer et le cholestérol ont été décelés.
D'autre part, une autre étude réalisée par l'AFSSET (Agence Française de Sécurité Sanitaire de l'Environnement et du Travail) a conclu que l'existence de molécules anti-cancéreuses dans des eaux contenant des charges polluantes, dissoutes ou colloïdales, présentent un grand danger pour l'espace environnemental et la santé publique.
Les stations d'épuration chargées du traitement des eaux azotées, carbonées ou phosphorées peineraient à éliminer totalement ces molécules.


Drôles d'oiseaux

Les caractéristiques des oiseaux (bec, ailes et corps couvert de plumes) leur donnent une identification très précise. Toutefois les spécialistes relèvent des différences entre les espèces. Les ailes possèdent des formes diverses. Si pour certains elles servent à voler, pour d'autres, comme le pingouin par exemple, elles sont transformées en nageoires. Des oiseaux tel que l'Aptéryx ont des petites ailes, invisibles.
Des caractères communs aux reptiles nous conduisent à penser que les oiseaux sont des reptiles qui se sont adapté au vol. Un fossile, dénommé l'archéoptéryx découvert dans les terrains jurassiques d'Europe présente en effet des caractères reptiliens et aviens (corps recouvert de plumes, existence d'ailes et long cou pour les caractères aviens, queue semblable à celle du lézard, doigts libres et armé de griffes au bord des ailes et mâchoires dentées pour les caractères reptiliens). En somme, l'oiseau était reptilien avant d'être avien.


Ecosysteme : l'alerte

Victime de l'insouciance de l'homme, l'écosystème présente des signes inquiétants. Les forêts tropicales risquent de disparaître. L'Afrique et l'Amérique du sud perdent chacune et ce en une année pas moins de quatre millions d'hectares. Entre 2000 et 20005, deux millions d'hectares de forêts ont été abattus en Indonésie. Les dégâts occasionnés provoquent lune montée de co2 dans l'atmosphère estimée à un milliard de tonnes.
Outre la dégradation des sols à vocation agricole, pastoral et autres, les espèces vivantes risquent à leur tour de payer un lourd tribut. Les conséquences sont donc incommensurables.
A cela s'ajoute également l'assèchement des mers, des lacs et l'anéantissement certain des barrières de corail. La désertification menace enfin 40% des terres utiles.
A cette allure, les écosystèmes ne pourront plus répondre à nos besoins, même les plus élémentaires.


La bruyère : beauté et remède

La beauté de cette plante, médicinale, offre à l'environnement un charme particulier. Elle pousse sur des falaises maritimes et des forêts qui se colorent à la fin de l'été de ses fleurs violettes. Certains oiseaux tel que le coq de bruyère vivent dans cette végétation. Nectarifère et offrant donc la matière pour les abeilles qui en font du miel brun, elle contribue ainsi à cette production rare. C'est avec ce miel brun que l'on fabrique du pain d'épice. Les racines de la bruyère sont utilisées pour la confection des pipes. C'est avec ces ramures que l'on couvre les granges dans les campagnes. La décomposition de ce végétal tonifie la culture des plantes délicates. Recueillies au début de leur épanouissement, les grappes fleuries s'avèrent être un remède pour les diverses affections rénales.


La bugrane ou l'arrête boeuf

Classée dans la catégorie des O. SPINOSA qui regroupe en son sein six (6) sous-espèces qui ne sont pas toutes dotées d'épines, la bugrane prospère dans les pâturages, les digues, les champs incultes, les carrières et sur les talus. Quant aux autres sous-espèces, on les retrouve dans les régions méditerranéennes, Europe du sud et Afrique du nord. Dénommée "ononis", un mot qui vient du grec "onos" et "onimemi" qui signifie être utile, la bugrane est un met préféré de la race chevaline. Ses épines très puissantes blessent souvent les muqueuses des animaux qui la broutent. Ses racines profondes sont très résistantes. Parfois elles empêchent la charrue d'avancer, bloquant ainsi les bœufs qui la traînent. Aussi la surnomme-t-on "arrête bœuf".
Macérée dans du vin, l'écorce de la racine de la bugrane augmente les urines et corrode aussi le bord des ulcères. Elle réduit également les maladies qui se manifestent par des concrétions urinaires ou gravelle.
Utilisée en médecine et comme une plante ornementale, le pollen de ses fleurs est très recherché par les abeilles.


La libellule, cette belle demoiselle

Très répandue à travers pratiquement toute l'Europe, la libellule Demoiselle mesure approximativement 30 mm. Ses quatre ailes sont ornées d'une tâche noire. Sa durée de vie n'excède pas les cinq mois. Aussi, vit-elle du mois de Mai à la mi-août.
C'est en plein vol qu'elle dépose sa ponte sur la surface des petits étangs et même des lacs. Ses larves, carnassières sont épaisses et courtes. Elles vivent au fond des eaux et ont une évolution qui dure deux longues années.
Chose curieuse chez cet insecte : Etant migratoire, elle ne nous renseigne point sur les raisons qui la poussent à se déplacer.
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L'auteur : Rachid Yahou
70 ans, Azazga grande-kabylie (Algérie).
Publié le 19 septembre 2009
Modifié le 06 septembre 2009
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