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Par une nuit d'hiver

Un Jour comme celui-ci... Un Mardi... Depuis ce jour, elle ne pleure plus, sauf lorsqu'elle en trouve le moyen... De plus en plus dur, de plus en plus danfereux... C'était un jour comme celui-ci. Un Mardi... Sauf que ça n'était pas le même...


La neige tombe. Il dois faire froid dehors. Je vois les passants qui se depêchent de rentrer chez eux, dans un endroit chaud et douillet, un lieu où ils sont sûrs d'être aimés, respectés, choyés... Pas comme moi...

Mon calvaire a commencé il y a deux ans. Ou peut être trois. Peu importe. Cela fait trop longtemps déjà. Je ne me souviens plus des temps heureux, cette période de ma vie où chaque jour vécut n'était pas emplie de souffrance inutile. Tout cela me semble si loin. J'ai même du mal à me souvenir de ce que pouvait être mon existence avant ce jour. A quoi bon de toute façon ? Le reivre ne pourrait qu'aggraver les choses. C'est le passé. Et le passé ne dois en aucun cas être assimilé au présent, sauf au seuil de la mort. Et ça n'est pas mon cas. Pas Encore.

Il y a 2 ou 3 ans, avant que cette histoire n'arrive. J'avais tout pour moi. Une vie qui me plaisait, un avenir qui me souriait, chaque respiration était une bouffée de bonheur. J'aimais la vie, j'en profitais le plus possible. Trop peut être. C'était un Mardi. Un Mardi comme celui-ci. Froid et Sec. L'Après Midi touchait à sa fin. Il était parti la chercher Elle. Non que je veuille en rejeter la faute sur quelqu'un, mais s'il n'avait pas été si aveugle, peut être serait-il encore en vie. Et Elle aussi. J'ai appris leur mort plus tard, dans la nuit. Un sentiment indescriptible s'était alors emparé de moi, un préssentiment peut être, le présage de ma vie à Venir. Je restais là, les yeux rivés au plafond, incapable de penser à autre chose qu'au malheur que je ressentais. Je mourrais d'envie de faire quelque chose, de bouger, de hurler, comme si cela pouvait faire quelque chose pour déserrer l'étau dur et froid qui se retrésissait autour de mon coeur.

Mais c'était trop tard... Et je le savais...


Le téléphone sonna dans la nuit. Les battements de mon coeur s'accelerèrent. Ma main tremblait lorsque je pris le combiné. Je savais. Oui, je le savais avant qu'on ne me le dise. Pourquoi ? Ne me le demandez pas.

La voix froide et dure de l'officier de Police, je la garderais à jamais en ma mémoire. J'ai beau l'avoir entendue qu'une fois, je n'arrive pas à m'en défaire. "Mademoiselle. C'est Votre frère. Il est mort... "

Mort... Mort... Il était mort... Le combiné m'a échappé des mains, et est allé s'écraser sur le carrelage froid de l'entrée. Mais, aussi étrange que cela puisse paraître, mes larmes ne coulèrent pas. Non. Quelque chose les retenaient, un voile imperceptible, mais pourtant que je soupçonnait. MOn frère... Disparu dans un terrible accident. "IL n'a pas pu l'éviter... Trop d'alcool, vous comprenez ? " Bien sûr que je comprenais. Du moins, maintenant, je voyais clair... Mais c'était trop tard.

Une semaine tout au plus après l'accident, mon cauchemard débuta réellement. N'ayant pas de famille ne pouvant ou ne voulant m'acceuillir, l'on fut obligé de me confier dans une maison d'acceuil... L'on ne m'a jamais vraiment demandé la permission. De toute façon, que pouvait apporter l'opinion d'une personne de 15 ans qui venait de perdre un être cher ? Rien, bien évidemment. Mais je peux vous jurer que si cela avait le cas, si cette personne qui prétendait ne vouloir que mon bien m'avait seulement demandé comment je me sentais, oui, je vous le jure, j'aurais dis non, j'aurais suplié qu'on ne m'abandonne pas. Mais, la seule fois de ma vie où l'on aurait du m'écouter... On ne l'a pas fait...

Le deux premiers mois, tout se passa a peu près bien. Bien sûr, on me laissait dans mon coin. Après tout, je venais d'être confrontée à la mort, il fallait que je me resaisisse. Mais, après quelque temps, l'amabilitée de ces gens déclina. Non, bien sûr, ils nétaient pas méchant. Enfin, pas vraiment. Jamais il ne me frappaient. Mais il ne faisaient pas attention à moi. Et moi, dans tout ca, qu'est ce que je devenais, me demanderez-vous ? Et bien moi, je vivais ma vie, mais je ne ressentait rien. Où si, plutôt, je ressentais trop de choses. Tellement de choses, à vrai dire, que je préférait les oublier, ravaler mes larmes dès que quelques unes commencaient à perler au coin de mes yeux. Je préférais oublier... Et quand cela me paraissait impossible, je trouvais toujours le moyen. Quel qu'il soit...


Mon calvaire a commencé il y a 9 mois... Un temps si court, mais tellement long. Cela faisait longtemps que je ne dormais plus. Les images de mon frère agonisant défilaient dans ma tête. Malgré tout ce que je pouvais faire, je n'y pouvait les en déloger. Je hurlais, je criais, je gémissais, je pleurais, mais jamais assez longtemps pour permettre à mon coeur de respirer. Je n'en pouvais plus... Alors, je me suis perdue... Lorsque mon poing a percuté le mur, j'ai sentit le choc se repercuter en moi comme un écho, et la douleur monter jusqu'au coude. Mais alors que j'avais mal physiquement, mentalement, je ne souffrais plus. Alors, j'ai continué, des deux bras, le plus fort et le plus longtemps que je le pouvais... Et cela m'a vraiment fait du bien... Mais pour si peu de temps...

Le lendemain soir, mes souvenirs sont revenus. Vite. Très vite. Trop vite... Je me suis précipitée dans le lieu qui me servait de chambre, et j'ai reccomencé. Mais seulement, après quelques coups, je suis tombée à genoux sur le sol, tellement la douleure était
inssuportable. J'avais mal, si mal... Et cette fois -ci, pas seulement physiquement... Le remède que je croyais miraculeux ne marchait plus. Mais le surlendemain, j'en avait trouvé un autre. Deux semaines plus tard, j'en étais devenue dépendante.

Cela n'avait pas été très difficile. Il sufissait de savoir où s'adresser. Et puis, personne n'avait pu m'en empêcher, étant donné que depuis l'accident, j'avais mis un mur froid, invisible entre moi et mes amis, même entre moi et l'Ami que je considérais... Comme un frère. Il n'arrivait pas à comprendre, cela est normal, mais il avait toujours voulu me rendre heureuse. Alors, il préfera me laisser seule, m'abandonnant ainsi au déséspoir. Mais ça n'était pas de sa faute. Il avait accouru dès qu'il avait appris. Mais seulement, lorsque ill m'avait offert son soutien, je l'avais rejeté. J'étais dégoutée de ce regard que me lancaient les personnes qui me prétendaient me connaître. Je ne voulais pas de leur pitié, je ne voulais de la pitié de personne. Et encore moins celle de mon meilleur ami. Alors, je lui ai tourné le dos. Il m'a tapé sur l'épaule, mais, lorsqu'il s'est aperçu que cela ne servait à rien, il a arrêté. Il a préféré attendre. Il n'aurais pas dû. Mais je ne peux pas lui en vouloir. Je n'en ai pas le droit.

Le premier que je fumai, cela me fis un bien fou. Cette drogue me permettait de souffler. Lorsque je l'avait absorbée, je pleurais. Les personnes qui m'avaient receuillis, par obligation plutôt que par charitée, s'en fichaient. Peu leur importait que je pleure, que je ris, que je souffre ou que je me drogue, du moment que je les laissait tranquille. Et étant donné que cétait le cas, ils ne se rendirent compte de rien, ou plutôt ne s'en préoccupèrent guère. Alors, les larmes coulaient sans retenue le long de mes joues, et je me sentais bien. Malheureusement, les larmes que je croyais être ma délivrance étaient le signe de ma déchéance.

Puis, vint le jour où cela ne fit plus effet. J'aurais pu m'en tenir là, me dire qu'il fallait que tout cela s'arrête, que c'était le moment de me reprendre, d'accepter. Mais j'étais très attachée à ces cours moments de délivrance que m'apportait cette drogue. PLusieurs fois par jour, je croyais revivre, alors que je m'éteignais en fait à feu doux... Mais le fait était là. Cela ne marchait plus. Alors, j'essayai une méthode plus musclée...

Une fois la fine poudre blanche inhalée, je sentis immédiatement un réconfort inhabituel me réchauffer le coeur. Encore mieux que je ne l'ésperais... Mais tout récompense à ses incovénient. Cette saleté que j'ingurgiteais matin, midi, et soir, de plus en plus souvent, se répercutait sur mon allure. De grand cernes noires étaient inscrits sous mes yeux, j'avais perdu beaucoup de poids en peu de temps... Et même une personne qui se disait indifférente ne pouvais se tromper sur l'origine de ce changement. Moi, je m'en fichais. Tout cela n'avait plus d'importance...

Mais, les rêves finissent toujours par se terminer, et vint le jour ou cela ne me fit même plus oublier mon nom. Et la, je fis ce que toute personne dans ma situation aurait fait... Lorsque je me suis piquée pour la première fois, je ne vous cache pas que j'ai paniqué. Cela changeait radicalement de tout ce que j'avais essayé jusque là. Je ne me sentais pas soulagée, loin de là. J'avais peur, j'avais mal, comme si des millions d'aiguilles se plantaient dans mon corps toutes en même temps. Les battements de mon coeur s'accelerèrent, ma
respiration s'emplifia... Petit à petit, très lentement, je sombrais dans leuphorie... Une euphorie non pas différente des autres, mais plus forte, plus longue. Mais, à mon "réveil", tout cela n'était qu'un rêve lointain.

Beaucoup savaient, personne ne disait mot. Pourquoi ? A vous de me le dire... Peut être essayaient-ils de le cacher, de se mentir à eux même. Moi même, j'avais peur que l'on découvre la vérité, que celle-ci sois mise à nue, même si je me doutait qu'elle était déja connue de certains. Mais, elle fut connue de tous...

Cela s'est passé hier... Je ne sais pas pourquoi. Je n'ai pas eu le temps. Vous comprenez... Malgré leur indifférence, je les sens envahis par la peur et le doute... ILs auraient pu monter voir ce qui se passait, et voir, comprendre réellement. Les Doses, vides, éparpillés par terre, les cadavres de bouteilles, la puanteur qui régnait dans la pièce. Je ne voulait pas qu'ils le voient. Même si je me dis qu'ils se seraient comportés comme si de rien n'était, je ne voulais pas... Quoi qu'il en soit, je n'ai pas eu le temps, je n'ai pas pu me piquer, m'injecter cette dose d'espoir mortel. Je suis partie de la maison, le sang Pur de toute nouvelle substance... Mais je ne savais pas, vous voyez...

Les Effets se sont vites faits ressentirs... Mes mains se mirent à trembler rapidement, la sueure coula le long de mon dos, sur mes bras, mes mains... Je voyais des visages inquiets se retourner sur mon passage. Celui de mon Meilleur Ami en faisait parti. J'aurais tout donné pour qu'il ne me voit pas ainsi. Mais le ciel m'a depuis bien longtemps abandonné, et même si je lui avait donné ma vie, je ne pense pas qu'il m'aurait exaucé... Je vois distinctement ses yeux me défigurer. Je le revois s'arrêter, l'incrédulité inscrite sur son visage angélique. J'ai stoppé devant lui. Je ne pouvais faire autrement, de tout manière. Ses mains, douces, délicates, posées sur mes épaules...
"Qu'est ce qui se passe ? "... Je ne pouvais lui répondre, je ne le savais pas moi même. Et même si je l'avais su, je n'aurais pu le lui dire, tant la force me manquait... J'essayai de lui dire quelques paroles réconfortantes, de lui expliquer que tout allait bien, de ne pas s'inquiéter, mais c'est à cet instant précis, alors que je m'apprêtais à signer ma pierre tombale, que le destin se permis de lancer les dés... Mes yeux se brouillèrent, mes jambes vaccilèrent, et le monde devint encore plus noir qu'il ne l'avait été pour moi ces deux dernières années...


Je me suis réveillée quelques heures plus tard, un plafond blanc me servant de voute étoilée, une perfusion dans le bras... Un Hôpital... Une forme recroquevillée sur elle même... MOn frère... Non, pas celui qui est là haut, qui apercoit de loin, bien plus bas de là ou il siège, la pauvre créature qui fut sa soeur, enfermée dans un globe de fer dont la serrure, rouillée a force d'etre intutilisée, ne sers plus qu'à montrer qu'elle retiens en son sein un terrible secret... Non, pa celui-ci, mais l'autre, celui que je considerais tout comme. Il est là. Sa tete, baissé sur sa poitrine, qui se soulève régulièrement aux rythmes lents de sa respiration. Ses yeux, empli d'amour, de crainte, et de tellements de sentiments, fermées, abritant un léger sommeil... J'ai bougé ma main... Je voulais juste le toucher... Mais je n'ai pas réussi... Alors, j'ai serré le poing, et j'ai tapé aussi fort que je le pouvait sur le bord de mon lit en fer blanc... Mais cela n'a eut pour contribution que de réveiller mon "sauveur". Il détailla chaques traits de mon visage de ses yeux bleus, qui me disaient tout
sans qu'il ait à prononcer une parole... Je comprenais. Mais je ne l'acceptais pas...

Tout cela s'est passé hier. Je suis rentrée ce matin de l'hôpital... Voyan que mes "parents adoptifs" n'étaient pas venus enquêter sur mon état, les médecins n'on pas eut d'autre choix que de me laisser sortir, même si, selon eux, mon état ne le permettait pas. Je suis
rentrée, et j'ai trouvée la maison vide... Tant mieux. Je ne voulais pas de question. Je n'étais pas de force à y répondre... Je suis restée toute la journée dans le taudis qu'est devenue la pièce qui me servais de chambre, alternant entre boisson, déprime et piqures...
Qu'auriez vous voulu que je fasses, de toute manière ?


La Neige tombe toujours au dehors. Il dois faire froid. Le nez collé contre la vitre, une bouteille à la main, je regarde les passants qui se dépêchent de rentrer chez eux. J'en remarque un qui traîne derrière lui un charriot rempli de paquets. Puis un autre, les bras chargés de cadeau... Noël dois se faire proche... C'est étrange, mais avec tout cela, j'ai perdu la notion du temps. J'ai l'impression que cela fait depuis le début de ma misérable vie que je suis ainsi, que mon frère n'a jamais existé, qu'il n'y a jamais eu cet accident qui a
changé ma vie. Et pourtant... Cela fait deux ans, deux ans que son souvenir hante mes nuits, deux ans que je déperis, deux ans que je refuse d'accepter, deux ans qu'il est mort... Il est Mort... Oui, c'est bien cela... Il est Mort... Je ne veux pa y penser... J'ai si mal en pensant à lui... Je l'accepte pas.

Un gros floncon s'écrase sur la vitre. J'ouvre avec peine l'unique petite fenêtre de mon alcôve, et tends une main dehors... Lorsque je la rentre à l'intérieur, j'ai le temps d'apercevoir dessus l'étoile blanche qui brille un instant puis s'éteins à jamais entre mes doigts meurtris. Elle est si belle, mais si fragile, pauvre petite poussière tombée du ciel... "si Belle, mais si fragile"... Je me souviens de ces mots. Ils ne sont pas de moi. C'est mon frère qui les as prononcés, juste avant de partir pour ne plus revenir. Oui... Maintenant, je revois ses yeux, me regarder fixement. "Si belle, mais si fragile"... Pourquoi ? Non... Je ne veux pas savoir... Je ne veux pas... Je sais ce qu'il me reste à faire...

Lentement, mais sûrement, j'attrape la ceinture qui traîne non loin de moi, et passe mon bras gauche à l'intérieur de la boucle, non défaite depuis tellement de temps... De l'autre, j'attrape la seringue remplie de tout ce dont j'ai toujours redouté : La Peur, La douleur, La Haine... Je regarde mes bras... Des trous, des entailles, des coupures non cicatrisées, et dont la marque restera a jamais gravée dans ma peau... Je me demande encore comment j'ai pu en arriver là... Mais je refuse d'aller plus loin. D'un geste que je crois sûr, je resserre la courroie. Les Veines ne tardent pas à ressortirent... Je cherche la bonne... D'une main incertaine, j'approche la seringue...


La porte s'ouvre toute grande. Dans l'encadrement, je n'arrive pas à distinguer la forme noire qui y apparaît. Puis, celle-ci s'avance dans la pâle lueure de ma chambre. Et là, je la recconais... C'est lui, Mon frère de Coeur, mon meilleur ami, encore décoiffé par la course qu'il vient de faire... Comme d'habitude ses yeux expriment tout... Il me regarde, puis, inflexiblement, s'approche de moi, tel un guerrier avance vers sa destinée. Dans ma main tremblante, je sens la seringue qui m'échappe, tombe, et roule non loin de moi... Je tends les doigts pour la rattraper... Et rencontre sa main, glacée par le vent du dehors... Glacée de l'extérieur, mais brûlante de l'intérieur, brûlante de bontée... Sa main, posée sur cette maudite serigue, m'empêchant de la récuperer, de me faire du mal, me protégeant contre elle... Je lève la tête, et nos regards se croisent... Je comprends maintenant, oui je comprends. Il se saisit de ma main, la porte à ses lèvres et l'embrasse... Il me regarde tendrement, de ces yeux que j'aime tant, emplis d'amour de compassion, que j'ai rejetés depuis si longtemps...

Je sens un malaise se propager en moi... Une boule se forme dans ma poitrine, m'empêchant de respirer convenablement... Puis, une autre se fait sentir dans ma gorge... Mes lèvres s'ouvrent, comme pour parler, mon menton tremble... Et c'est alors que mes yeux se remplissent de larmes, qui commencent à couler, d'abord timidement, puis de plus en plus, jusqu'a devenir tel une rivière sauvage... Je pleure... Les sanglots jaillissent de ma gorge, mes mains tremblent... Tout mon corps tremble... Je n'ai pas à me forcer. Mes larmes tombent sans pouvoir s'arrêter... Je Pleure...

Il pose ses deux mains sur mes épaules, comme il l'a fait hier. Il me serre contre lui... Je me serre contre lui. Je pleure, mes larmes tombent sans pouvoir s'arrêter... Après toutes ces années, j'ai finalement réussi à l'accepter... Tout cela pars enfin, sors pour ne plus revenir, je suis liberée... Mes pleurs ne sont pas seulement tristes, ils sont joyeux, ils espèrent... Ils sourient... Car savez vous pourquoi ? Ce sont des vraies larmes... Je n'ai pas pris de dose cet après midi...

Dehors, la Neige Tombe. Il fait froid, mais le vent est jeune, nouveau... C'est Noël...

Il me caresse la tête en murmurant des paroles réconfortantes... "C'est fini"... C'est fini... C'est Fini...

La Neige Tombe... C'est Noël...
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Re: Par une nuit d'hiver
Posté par glorfy le 18/09/2005 10:33:00
Ecirvains de la France? Peut être que je me débrouille bien, mais de là àavoir du talent, je ne pense pas. Il y en a des biens plus doué que moi, pas plus loin que sur de forum.. ^^
Re: Par une nuit d'hiver
Posté par nahla le 17/09/2005 13:54:35
Tres bon texte. Bravo. J'ai cherche le reste de tes articles - vrai que je ne les ai pas encore lu - j'espere qu'il sont du meme talent. Tu es si jeune tu seras peut etre l'une des "ecrivains" de la France. Bien que c'est tres bien dit , je ne crois pas que c'est to propre histoire. De toute facon... Courage...
Re: Par une nuit d'hiver
Posté par glorfy le 16/09/2005 23:26:56
Comment ca, ne rien dire sur quoi??? je comprends pas :s:s:s:s
Re: Par une nuit d'hiver
Posté par jorie772 le 16/09/2005 22:34:00
J'ai le droit de ne rien dire sur quoi?
Re: Par une nuit d'hiver
Posté par titi_demon le 16/09/2005 21:14:59
bon je suis désolée...ça fait répétition..mais franchement c trop trop bien comme histoire...le récit et tt ...grave trop bien!!!!
bravo!! ^^

[ps=> franchement qu'est ce qu'on s'en fou des pbs d'écriture ou de fautes d'ortographes!!! tan t k tu comprends et k tu saisis le sens prochond et tt...!!!menfin...)
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Publié le 12 septembre 2005
Modifié le 04 septembre 2005
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