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Ton absence

J'ai vécu près de lui "une vie qui tremble, une vie pleine de nuits blanches, une de ces vies qu'on n'oublie pas". J'emprunte ces mots parce qu'il sont synonymes du rêve éveillé que j'ai vécu et à présent j'ai besoin d'exprimer un vide pour oublier, vous êtes mon exhutoire.


Le temps avait apporté à notre existence commune la douceur d'une évidence.
Au début tu n'avais rien vu et pourtant c'était de la poudre d'étoiles que tu avais laissé, et j'avais des fleurs bleu plein le coeur.
Ton éssence nourissait mes désir enflammées à ton égard, et ta peau suscité en moi de ces envies inavouables.
Le coeur et le corps frémissant à la pensé de ton corps nu prés de moi, je tremblais en perspéctive de nos nuits blanches.
Le temps était un hymne à nos retrouvailles intime, et les nuits devenaient des secondes dans tes bras, et je voulais devenir autre pour quérir ma perception du temps, et devenir tienne pour césser d'attendre que le temps passe. Et chaque jour nos sens développé leur sixième, et chaque nuit je te regardais en frissonnant, chaque nuit je te caressait en tremblant, chaque nuit je te murmurais en pleurant, et je révais que les heures se mettent à peupler mes infinies pour ne plus jamais césser la déferlante pluie du plaisir.
Pour qu'ainsi, à deux, on s'écoutent jouir du temps qui passe sur nos deux ames.


Mais...

Le temps est passé, et mes infinies on vu leur avenir, ce sera ton absence...
Ainsi je me sens vide de toi, alors que le temps passe, et que nos souvenirs s'éffacent au sein de ton ame.
Moi je nourris ce sentiment de regret qui me consume, je revis nos nuits d'exhaltation, et je me morfond dans cette impréssion d'inaboutit.
Tu as ruiné mes rêves et mes espoirs, tu as fait vivre une idée de continuité avec toi, tu as fait naitre une notion d'éssentiel.
Et tu as tout piétiné, poignardé de ton indifférence et de ton oublie. Et je me sens seule dans notre vécu, comme si j'avais tout inventée tout crée de mon imagination. Comme si je t'avais inventé, fais exister et que tu t'en étais allé, parce que même mes espoirs me fuient...
J'en suis à éssayer d'oublier nos aurores, et j'arrive pas à croire que notre ciel se soit déchiré.
Pourquoi faut il que je ne t'inspire pas, et je le sais, je dois renoncer, me résigner, accepter d'éffacer cette impréssion qui me hante, cette sensation de laisser passer un petit bout d'une vie que j'aurais aimé.
Les jours possedent de ce pouvoir à nous faire tout accepter, et je m'armerais de tout le temps que l'on m'offrira pour ne plus penser.
Je me parerais de la plus belle armure et je ferais semblant de me foutre de tout, j'inventerais des raisons pour me prouver que ça n'en valait pas le coup, et je crirais encore et toujours que la vie est belle. Se sera ma seule vérité, ma seule bouffée d'honneteté.
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Re: Ton absence
Posté par kikoukaki le 13/11/2005 12:18:45
Merci beaucoup pour vos marque de soutien , je releve la tete petit à petit on y arrive tous un jour l'autre .
Re: Ton absence
Posté par on-se-veut-quand-on-est-jeunes le 13/11/2005 11:10:57
C'est toujours sa fait mal les adieux.........bon courage...et surtout. luttez !!!!!
Re: Ton absence
Posté par clara le 12/11/2005 16:06:30
pfou...ton text m'a vraiment ému, je m'y retrouve comme je n'aurai pu l'immaginer...j'ai ressenti ce que tu ressents, et mis 2 ans à me séparer de ces sentiments frustrants...bonne chance, et coourage pour la suite
Re: Ton absence
Posté par isienforce le 12/11/2005 00:39:53
c'est joli... surtout la fin je trouve..
Re: Ton absence
Posté par manwax le 08/11/2005 07:40:07
ça fait mal mais c'est aussi ça l'amour...tu n'es pas la seule dans ce cas courage
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Publié le 08 novembre 2005
Modifié le 26 octobre 2005
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