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A life for another, la fin d'une vie

Un déménagement est quelque chose de difficile à vivre, tout couper, tout recommençer, surtout quand on à 16 ans et des amis formidable. Récit d'une expérience personnel plutôt traumatisante...


Un des sentiments les plus fort et les plus durs a ressentir est la souffrance que l'on peut ressentir au momnet d'un départ. Perdre un ami est quelque chose de très diffiçile, je ne vous apprend rien. Mais les perdre tous je vous laisse imaginer. Perde ses meilleurs amis, ses repêres, etc... C'est ce que j'ai vécu il y a presque 2ans lors d'un déménagement qui ma emmené à plus de 1000 km et 11h de trajet. Et je reviens maitnenant sur cette expérience pour le moins traumatisante qui me marquera à jamais.






Un jour gravé...

Un aprês-midi de juin 2004, un jour pluvieux, c'était un mardi je crois. Une journée de plus passé avec mes meilleurs amis presque ma seconde famille. Ils me connaissent par coeur, me devine mieux que moi-même. Depuis quelque temps je vis avec une épée de Damoclès au-dessus de moi, ma mêre ma annoncer qu'elle avait demander sa mutation vers sa région d'origine, la Bretagne à plus de 1000Km de chez nous. Bien que rien n'était encore certain, j'avai senti en moi que les dés était jeté. Alors quand mon portable sonna ce jour-là et que je vis le numéro que je redoutais tant s'afficher apparaître, j'ai tout de suit compris. Je m'éloigne un peu du groupe, comme un présage pour l'avenir, et ma mêre me l'annonce officiellement "fait tes bagages on part en bretagne" je feint la surprise et la la joie, je ne peut pas m'opposer à cela, sa fait trop longtmeps qu'ils attendent cette possiblilité de revenir, mais mon dieu que c'est dur.
je raccroche et me retourne vers eux, ils n'ont pas remarqué ma courte absence. Je m'approche, puis m'arrête, ils sont là, ils rigolent, s'amusent, je me sens presque coupable de perturber tout cela. J'essaye d'articuler "c'est fini" mais personne ne m'entends, les larmes monte, mon coeur s'accélère, mes jambes ne me porte plus finalement je m'écroule en éclatant en sanglot, cette fois ils comprennent et tous m'entourre et m'étreint. Sans un mot, sans une parole, un sentiemnt comun nous envahi. Entouré de tous mais finalement plus seul que jamais, je les perds déjà. Je revois les beaux yeux de Marie, le rire de Julie la poigné de main de Vivien, le sourire d'Elodie, et tout les autres.
Quelques semaine plus tard, la maison est vide ci ce n'est les cartons étalés un peu partout qui viendront s'entassé dans les 2 énormes camions de déménagments.
il est tôt (8h du matin) mais ils sont tous là venu une dernière fois. Leurs regards sont diffiçiles à soutenir mais je m'éforçe de ne psa les esquivés, comme pour les retenirs tous. 10 personnes, 10 lettres, 10 étreintes pleines d'émotions, et des centaines de souvenirs. Une lettre que j'ai jeté sur le sol, sans que j'ai le courage de leur remettre directement. Je sais maintenant qu'elle resta de très longue minuttes par terre.
voilà c'est les derniers sourires, les dernière larmes communes, "nos mains se déssert de s'être trop serré, voilà c'est fini" comme dit la chanson des milliers de choses me viennent en tête puis la tristesse m'envahit.


Dans 2 semaines cela va faire 2ans, tout cela me parait si proche et si loin en même temps. Je ne sais pas si j'en suis complêtement remis, ni si on s'en remet un jour. Il me restera toujours une impression étrange au fond de moi, plein d'intérrogations qu'aurai été ma vie si j'étais resté ? Et ce genre de chose.
c'est très dur de s'en relevé les premiers tems, j'ai passé le premier été a pleurer, pas façile d'être nouveau, pretenu par son passé mais à la recherche d'un présent.
on s'accroche comme on peut à ses souvenirs, parfois on tente de les laissé de coté mais ils reviennent toujours, ils suffit d'un parfum, un sourire, une expression, une voix, tout ces petits rien qui e, l'espace d'une seconde me replonge dans tout ces instants difficile. Entendre leurs voix est un bonheur seulement ephèmerre, presque un calvaire. C'est si dur de se dire qu'ils refont leurs vie sans moi, qu'ils connaissent, s'amusent avec des gens que je ne connais pas. Vous pouvez prendre ça pour de l'égoïsme ou de la jalousie, ça l'est surment d'ailleurs, mais un déménagement n'est pas façile à géré, mais il permet de se remettre en cause, de prendre un nouveau départ, ce qui n'est pas forçément une mauvaise chose, mais qui reste dur à vivre et à accepter.
aujourd'hui je le vit mieux, j'ai rencontré des gens formidable qui m'aide à ne pas regretté mon autre vie. Mais j'auri toujours au fond de moi cet espace d'ombre qui me fera jamais oublié ce que j'ai laissé si loin de moi.
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Re: A life for another, la fin d'une vie
Posté par chaminou le 17/08/2006 21:59:49
Bien sûr, mais c'est SON hitoire, SON ressenti... On en peut pas se mettre réellement à sa place !
Cela dit, oui : il y a des périodes, un contexte... & des tas d'autres paramètres qui font que l'on acepte plus ou moins un départ. Plus jeune, j'angoissais beaucoup rapport à mes parents qui quittaient ma ville d'enfance pour aller s'installer dans un trou mortel, pourri et tout ce que vous voulez, & finalement, je m'y suis faite, j'ai changé, vieilli, oui...

Et lorsque j'y retourne (dans ce bled paumé de m... ;o)), c'est toujours avec PLAISIR. Mais bon, je n'ai plus 17 ans, je ne suis pas forcée de suivre les parents depuis belle lurette.
Re: A life for another, la fin d'une vie
Posté par nizolea le 16/08/2006 14:51:19
On est bcp à être parti pr "mutation".. meme plusieurs fois parfois, comme moi.. il y a des ages où c'est plus facile de partir, des classes aussi (plus difficile d'arriver au deuxieme trimestre de 4eme qu'en debut de seconde), je crois pas que ça fasse tellement murir, si ce n'est qu'on developpe une capacité d'adaptation hors normes. Il y a des choses que l'on ne retrouvera jamais, et d'autres que bientot on ne voudra plus quitter
Re: A life for another, la fin d'une vie
Posté par apele le 16/08/2006 14:36:59
jtrouve tu dramatise un peu, g demenagé 3 fois :'( pr aller de la metropole ds le pacifique vers tahiti et wallis et futuna et mes potes jgarde kan mm contact avec eux et tu ten refai d'autres suffit de bien s'integrer et pui ct y a 2 ans dc au lieu de penser a un truc de triste profite de la vie "Carpe Diem" :-P
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Publié le 16 août 2006
Modifié le 21 juin 2006
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