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Anti satanisme et christianisme

Le satanisme, la sorcellerie et toute forme d'occultisme et de magie sont un produit de superstitions qui nous portent à soutenir l'existence d'un monde...


Le satanisme, la sorcellerie et toute forme d'occultisme et de magie sont un produit de superstitions qui nous portent à soutenir l'existence d'un monde transcendantal.
Le Naturisme en revanche est la manifestation d'une intégrité morale qui ignore toutes ces perversions générées par une religion nourrie de démons et d'exorcisme.
La magie, née en Égypte comme un art capable de dominer les forces occultes de la Nature par le moyen d'objets auxquels on attribuait des propriétés surnaturelles, subit une évolution substantielle de la part des peuples arabes lorsque ceux-ci, en utilisant les réactions des minéraux pour obtenir des résultats pratiques dans le secteur de la recherche, la transformèrent en une vraie science qu'ils appelèrent Al-kimia, l'alchimie.


Origines du Satanisme

Al-kimia, l'Alchimie, où " A l" indiquait le " quid " qui devait être découvert afin d'obtenir le résultat désiré et " kimia "l'ensemble du travail qui était fait pour effectuer la recherche.
L'alchimie fut introduite en Europe entre le VII et le VIII siècle par les gnostiques qui, ayant échoué par la recherche de Dieu sur le plan philosophique, pensèrent arriver à lui par le moyen de la manipulation de la matière. Le concept sur lequel ils se basèrent fut le suivant : étant donné qu'il y a des procédés chimiques capables de libérer les minéraux de leurs impuretés, de la même façon devrait-il exister un procédé capable de redonner à l'homme l'état de pureté où il se trouvait avant qu'Adam ne commette le péché originel.
Ayant ainsi associé l'esprit à la matière, en partant de la présupposition que le secret qui aurait redonné à l'Homme la primitive intégrité ne pouvait se trouver que dans la substance capable de donner le maximum de la pureté, ils se mirent à chercher le " quid " (Al) qui aurait permis de transformer les minéraux les plus vulgaires en le plus noble des métaux, c'est-à-dire l'or. Par le moyen de distillations, sublimations et cristallisations qu'ils obtenaient en mélangeant des acétates, des sulfates et des acides de toutes sortes mais surtout de la térébenthine, laquelle, en tant que seul élément connu capable d'entailler l'or, assuma un rôle de prééminence lors de cette recherche de Dieu.
Étant donné que la substance recherchée, purificatrice de l'âme, devait avoir en plus d'un pouvoir chimique une valeur théologique, elle fut appelée " Philosophale " (Pierre philosophale).
La conviction qui porta les alchimistes gnostiques à soutenir que par le moyen de procédés chimiques l'on puisse trouver une essence (quid) qui aurait pu agir sur l'esprit, chose qui peut seulement faire rire quiconque suit la raison et le bon sens, trouva une justification en le " Logos " (Jésus) qui, en devenant chair, avait réalisé l'union, c'est-à-dire la fusion, entre le monde divin transcendantal et celui humain fait de matière corruptible ... (Ce fut de cette analogie située entre la pierre philosophale et la personne de Jésus que l'Église prit le prétexte, lorsqu'elle se rendit compte au XV siècle qu'elle était la cause de contestations théologiques, pour persécuter les alchimistes en tant qu'hérétiques qu'il fallait par conséquent condamner au bûcher).
Ainsi l'alchimie, ayant perdu la valeur que les Arabes lui avaient donné en l'élevant à une science exacte basée sur la recherche et sur la raison, et ayant acquis un caractère théologique, se retrouva à nouveau déclassée dans le monde de la magie : une magie religieuse qui de par la convention voulant que le blanc soit la couleur symbolisant le bien, fut appelée, par les mêmes délirants mystiques qui l'avaient imaginée, la " Magie Blanche ".
Dans la certitude qu'une magie tellement complexe et élaborée n'aurait pu être comprise et donc suivie par les masses dont ils avaient besoin pour pouvoir l'imposer comme doctrine religieuse et afin de ne pas répéter la même erreur qu'avaient déjà commise les gnostiques au II siècle (ils s'étaient retrouvés isolés à cause de leurs raisonnements obscurs), ces philosophes alchimistes décidèrent de l'associer aux pratiques populaires qui utilisaient des minéraux, des herbes et des racines pour soigner les maladies et alléger les douleurs. De la même manière, ces maîtres de la cuisine lombarde eurent recours au safran pour remplacer la poudre d'or et rendre accessible au peuple le " riz à la milanaise "... Cette poudre d'or était utilisée par les riches selon la recette originale.
Mais comment conférer une idée de purification de l'âme, c'est-à-dire un concept religieux, à des médicaments qui étaient obtenus des minéraux, des herbes et des racines ? Et bien, l'obstacle fut surmonté par le recours à l'éternel principe utilisé par toutes les croyances du monde (qui ont toujours eu besoin de se construire comme antithèse un monde infernal qu'elles devaient combattre pour pouvoir s'emparer le rôle de détentrices du salut) : Si la leur était une " magie blanche " parce qu'elle avait comme but celui de faire du bien, qui d'autre aurait pu être leur adversaire sinon une " magie noire " qui aurait utilisé les herbes et les minéraux pour faire des infusions maléfiques porteuses de douleur et de mort ? Si eux, en tant que pratiquants de la " Magie Blanche " étaient les fils de Dieu, qui d'autre auraient pu être leurs ennemis sinon les fils du démon ? Et sur cette présupposition basée sur l'inévitable dualité du mal et du bien transportés dans les herbes et les infusions, les concepts du salut ou de la damnation selon l'usage que l'on en faisait, ainsi commença-t-on à fomenter la haine contre d'imaginaires concepteurs de maléfices qui, par leur aspect (imaginé) de répugnante maigreur, furent appelés sorcières et sorciers (de strigosus = amaigri). Une répugnante maigreur qui fut par la suite enlevée aux femmes : pour soutenir qu'elles étaient les maîtresses du Démon, on décida de les représenter séduisantes et charmantes.
L'Église comprit quels avantages elle aurait pu tirer de cette situation d'antagonisme entre le bien et le mal montée par les alchimistes : imposer définitivement le Christianisme, dont la doctrine était encore contrastée par les croyances païennes. Elle s'appropria du programme des alchimistes et commença à persécuter tous ceux qui refusaient d'accepter ses dictamen en les accusant de pratiquer la magie noire.
C'est ainsi que commença, avec les premiers édits de condamnation qui apparurent au IX siècle, de la manière la plus machiavélique et fabulatoire, la chasse aux sorcières. Avec ses bûchers, ses pendaisons, ses tortures et décapitations, elle permit à l'Église d'imposer l'immoralité de sa doctrine par le recours à la terreur. Une terreur qui dura plus de huit cents ans (le dernier bûcher fut allumé à Poznen - Allemagne - en 1793).
Les premières victimes, même si seulement touchées par l'excommunication, sont les Vaudois qui furent accusés de pratiquer la sorcellerie en tant qu'adeptes de Satan (Concile de Vérone 1184) seulement parce qu'ils prêchaient la pauvreté de Christ en opposition à l'avidité du clergé.
Les persécutions les plus sanglantes débutèrent en 1300 lorsque l'Église se servit de la sorcellerie pour éliminer les hérétiques, c'est-à-dire les contestataires qui s'opposaient à sa corruption, à son ignorance et à ses absurdités théologiques, telle la trinité de Dieu. Giordano Bruno, condamné à mort sous l'accusation de pratiquer la magie, peut être porté comme un des exemples les plus évidents.
La sorcellerie, née d'une invention des alchimistes et exploitée ensuite par l'Église comme moyen d'imposer son hégémonie à travers l'horreur des condamnations à mort précédées par les plus inhumaines tortures, devint une telle réalité qu'elle fut suivie dans ses rites magiques par la plupart de ministres de ce même clergé ainsi que par les classes privilégiées qui commencèrent ensemble à la fréquenter. Célébrant les Messes Noires et les " Sabbat", ces cérémonies, d'après les documents de ce temps-là, terminaient pour la plupart en orgies obscènes.
La sorcellerie et la magie noire n'étaient pas pratiquées par les classes pauvres, bien au contraire. Dans la réalité des faits le peuple, terrorisé par les persécutions, servait à l'Église pour fournir des victimes innocentes qui, obligées à confesser des fautes jamais commises sous l'effet de la torture, fournissaient avec leurs sacrifices publics les présuppositions nécessaires pour soutenir l'existence d'un démon. Et la masse populaire devait bien s'en garder si elle ne voulait pas être accusée d'être ennemie de Dieu.
Fallait-il fournir des sorcières pour alimenter les bûchers dans les places publiques? Fallait-il éliminer les contestataires des dogmes et de la corruption ecclésiastique ? Et bien, rien de plus facile : il suffisait une lettre anonyme, mieux si envoyée par le même clergé, ou la délation d'un inconnu, pour instaurer un procès contre l'hérétique ou le pratiquant de la magie noire. Cette magie dont l'existence était indispensable à l'Église pour imposer sa propre magie blanche dont les rites à la parfaite imitation des cérémonials païens, se basaient, comme encore aujourd'hui, sur l'eau sainte, sur l'huile bénie, sur le pain du salut éternel, sur des signes tracés dans l'air, sur de petits nuages d'encens et anathèmes contre Satan " Et aliosques spiritos malignos... "

Ainsi, alors qu'à l'intérieur des églises les prêtres faisaient voler lors de leurs homélies des sorcières avec des balais et qu'au dehors les bûchers brûlaient ; le clergé et la noblesse organisaient leurs " Sabbat" et récitaient leurs " Messes Noires " avec des homicides de nouveau-nés dont le nombre, comme l'on peut voir sur des rapports de police, est si élevé que nous en sommes troublés.
La prostitution organisée par le clergé, l'activité sexuelle dans les couvents, qu'ils soient masculins ou féminins, les concubinages fréquentés par les prêtres sans aucune retenue et les incestes firent de Rome, centre du Christianisme, la capitale des bâtards.
Et pendant que par les moyens les plus lâches l'Église instruisait des procès contre des innocents par des lettres anonymes de délation, le clergé et les nobles organisaient des orgies basées sur ces rites macabres appelés " Messes Noires", durant lesquels on égorgeait des enfants fournis par les monastères ou par les concubines mêmes des prêtres.
Sous le règne de Louis XIV des milliers d'enfants furent tués. Une seule prêtresse appelée Voisin en immola plus de deux mille, et l'abbé Guiburg, un des prélats qui célébraient les messes noires pour la noblesse de la France, auxquelles participait activement la Montespan en mettant à disposition des rites son propre corps nu, en tua pendant plusieurs années une moyenne de six par mois ! D'après un rapport du chef de la police de Paris, le lieutenant La Reynie, l'abbé Guiburg, manquant d'enfants pour ses sacrifices rituels, eut à deux reprises recours à ses propres fils, bâtards de ses innombrables concubines.
Le rite se déroulait en versant le sang de l'enfant égorgé dans un calice où il était mélangé avec ses sécrétions liquides et solides afin de former une pâte qui, à la suite d'une consécration satanique effectuée à l'image du rite eucharistique chrétien, était utilisée pour les factures. La Montespan, par exemple, la mettait dans la nourriture de Louis XIV afin de se garantir ses faveurs. Et tout comme l'abbé Guiburg, Manette le vicaire épiscopal de paris, les abbés Davot, Sebault, Lepreux, Le Sage et beaucoup d'autres, sans compter ceux qui sont restés inconnus, célébraient eux aussi des messes noires, comme en témoignent les chroniques de l'époque et d'innombrables rapports de police.
Dans ce monde de dépravation soutenu par une terreur exercée sur le peuple avec un cynisme et une cruauté qui n'a pas de précédents dans l'histoire de l'homme, les pontifes s'y immergèrent tellement que la plupart d'entre eux étaient des bâtards, nés des relations d'autres papes avec des concubines et des prostitués ou d'accouplements incestueux.
Jean XII, Pape à seize ans, né de l'inceste du Pape Serge III avec sa fille Marozie de treize ans, fut l'amant de la même Marozie, sa mère. En pratique, Marozie fut à la fois la maîtresse de son père le Pape Serge III et de son fils le Pape Jean XII.
Il suffisait à l'époque d'exprimer une critique à propos de telles immoralités pour que l'on finisse sur le bûcher avec l'accusation d'hérésie et de sorcellerie.
Avec la découverte des Amériques s'introduisit en Europe la syphilis. Pratiquement tout le clergé attrapa cette maladie et nombreux en moururent. Aucun ecclésiastique n'en sortit indemne, pas plus les papes eux-mêmes, tel Jules II et Léon X. Celui-ci, toujours grâce au caractère bâtard qui favorisait l'élection au siège de Saint-Pierre, devenu cardinal à quatorze ans, fut élu Pape à trente-six après avoir attrapé la syphilis à vingt-cinq. Sixte IV, concepteur de la Chapelle Sixtine, lui aussi syphilitique, eut deux enfants de sa plus grande soeur. Bisexuel, il fut un grand pédéraste et sodomite au point que, d'après ce qu'écrit le chancelier d'Infessura, nombreux reçurent de lui la pourpre cardinale comme récompense des faveurs sexuelles reçues. (Et n'oublions pas que Michel-Ange était homosexuel...)
Pape Sixte IV organisa la prostitution en instituant les bordels dont l'Église continua à être l'administratrice jusqu'à nos jours, c'est-à-dire jusqu'au moment où ils furent fermés par la loi Merlini. Les bordels institués par l'Église se comptaient par centaines dans tout le monde chrétien. Sources de gain assuré, les papes les assignaient souvent comme base de subsistance aux diocèses que les évêques partageaient à leur tour avec les paroisses, donnant à chacune d'elles une prostituée qui, devenue propriété de l'Église, versait tous les quinze jours le gain de son travail au curé (la quinzaine).
Parmi tous ces bordels, le plus grand, tant par sa perversité que par la grandeur de l'organisation, fut sans aucun doute le Vatican où chaque soir entraient des bandes d'homosexuels et de femmes travesties en hommes pour animer les orgies des nobles romains qui, en qualité de bâtards, étaient liés par une quelconque parenté avec les plus grands prélats et le pape lui-même.

Aux XVme et XVIme siècles, le 50 % de la population de Rome était formée de bâtards provenant soit des couvents, soit des bordels, et pour une grande partie des relations sexuelles des prêtres qui disposaient d'un nombre illimité de concubines...
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Re: Anti satanisme et christianisme
Posté par dream_teamer le 20/08/2004 07:48:01
Putain.... je crois qu'il faudra encore longtemps avant que les gens ne cessent d'associer satanisme à profanation de tombes et sacrifices...blasant.
Re: Anti satanisme et christianisme
Posté par badboy le 20/08/2004 07:48:01
ca c'est un article coool c du vrais.
Re: Anti satanisme et christianisme
Posté par sparda le 20/08/2004 07:48:01
oh con quand je vois la tronche de tout ces putains de commentaires et l'autre qui dit: "Je respecte le Satanisme ,mais il faut quand meme rappeler que sans le christianisme le satanisme n'aurais jammais existé..."

...

De koi peter un cable j'vous jure. alors d'abord je ve pas ressortir cet article pourri sur le tapis parceque je m'en branle, il prone ce qu'il veut, critik ce qu'il a envi chacun pe s'exprimer c bien! je veux juste dire de une à fée de mes coui**e que le satanisme existe depuis tjr mais ke ca a pas tjr porté le meme nom! satan=origine paienne (culture des druides en autre) et satan est symbole de révolte et d'opposition. quand je vois les discours limite facho de certains qui s'exitent sur les racaille alors que ce ne sont que des produit de la société et si ca vous fait chier, fallait p'tet faire en sorte que les choses se deroule mieux auparavant, merci le gouvernement!! et quand je vois les fanatik de religion musulmane + les decervelé qui savent gueuler que des insultes...la je me dis...mais put1 faut arreter la! alors moi suis anti-religion, pr ceux ki ont pas capté que le satanisme est athéiste et kia pas de poulet egorger (va te faire mettre par le vatican christian croyant) vous les bornés allez vous faire foutre y'en a marre maintenant! ouvrez un peu vos esprit renfermé de merde et comprenais un peu les chose et arreter la TV ca ira mieux y compris les infos (intox). pr les musulmans et autre chretiens, moi j'emmerde dieu et je lui pisse a la raie, tout vos culte a la con on fait de ce monde, un ramassis d'individu ki se batte pr d valeurs débiles "allah truc, dieu la, patati et on va faire une guerre sainte, ca fera d morts en +..." vs me repugnez sale mouton alors foutez nous la paix ! je respecte pas,? SI SI JE RESPECTE! je respecte ke vous soyez tous d esclave, aprés tt c vot' blem. g k'une chose a dire sur tt ca, vous feriez mieux de vous remmetre un pe en kestion, ca fais pas de mal, et on apprend vite ke la frustration sur kelk chose c pas le mieux. en bref, etre borné et sans reflexion ca apporte kedal. regarder moi l'autre ki di kon critik sa religion de MOUTONS... pff mais on s'en tape franchement, presk le gars il crirai ausecour, tapprendra ke les blasphémes ca existe depuis longtemps...et c surement ca ki fais avancer les choses...sur ce @+
Re: Anti satanisme et christianisme
Posté par sardys le 20/08/2004 07:48:01
c'est normal car sans ordures à balayer, les éboueurs n'ont pas raison d'exister...
Re: Anti satanisme et christianisme
Posté par eylha le 20/08/2004 07:48:01
slt! ton article reflète tes pensée!je ne suis pas d'accord avec toi mais je ne te critique pas comme ces idiot du dessous qui insulte sans n'avoir rien à dire!
selon moi la magie, l'occultisme ça existe et cela depuis tjs et ton dieu y avait peut être à voir avt mais plus maintenant!
satan était pour l'ancienne sorcellerie le maître aujourd'hui il n'est plus rien, seul les infimes sataniste lui vouent encore un culte!!ne confond pas tout!
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Publié le 07 septembre 2002
Modifié le 07 septembre 2002
Lu 2 799 fois

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