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Antiaméricanisme ou simple refus du gouvernement ?

Depuis la guerre en Irak, journalistes, politiciens et leaders mondiaux n'hésitent pas à alimenter l'antiaméricanisme, modifiant considérablement l'opinion publique principalement européenne. Toute critique du gouvernement américain, se confond littéralement avec une critique ouverte et sans fondements visant l'ensemble des américains et renforçant l'antiaméricanisme.


Vous aurez beau chercher, "antiaméricanisme" est le seul mot du dictionnaire visant une attitude hostile à l'égard d'un pays, ici, les Etats-Unis.
Cherchez encore... Prenez n'importe quel pays et vous verrez, cela ne fonctionnera pas.

Tout ce qui dérange (ou jalouse ?) commence par le préfixe anti- : antiféministe, anticapitaliste, anticommuniste, antigène... (Sont exemptés les mots comme antillais et anticipation... Bien entendu)

Mais alors, d'où vient cet antiaméricanisme ? Pourquoi existe-t-il ? Peut-il être justifié ?


La naissance de l'antiaméricanisme

L'antiaméricanisme est né en Europe pendant la deuxième moitié du XIXe siècle, puis le véritable mot est apparu en 1948.
Il a été d'abord utilisé par les communistes pour lutter contre le "modèle américain " qui séduisait, puis s'est affirmé comme idéologie conservatrice visant à préserver une supranationalité totale face à l'expansionnisme exagéré états-unien.

Pendant la Guerre Froide, les deux modèles idéologiques s'affrontaient, en abusant de propagande. L'un métamorphosé en superpuissance et leader du "monde libre" tandis que l'autre reposait sur la domination d'un parti unique encadrant toute la société.

Des récits de voyageurs européens séduisaient la populace, glorifiant la bravoure américaine, l'esprit pionner et l'ambition obsessionnelle de gagner toujours plus d'argent.
C'est alors que naît, le "rêve américain", fondateur de la liberté d'expression, de la défense des citoyens et du rêve de gloire.

"Il suffit de travailler d'arrache-pied, de suivre une formation, d'avoir un peu de chance et bien sûr la fameuse détermination de gagner de l'argent, mais toujours en espérant que les enfants réussiront mieux que les parents."

Au niveau politique, les deux principaux partis qui ont contribués à cette promotion sociale sont le parti démocrate et le parti républicain, ainsi qu'une multitude de lobbys idéologiques.

Plus tard, ce "rêve américain" se déforme. Les milieux bourgeois européens voient dans l'Amérique, la réincarnation d'une morale souillée née d'un capitalisme menaçant et d'une mentalité arrogante de vouloir se faire à tout prix connaître.
Le cliché américain est alors né : individualiste, stupide, obsédé par les dollars, arrogant, sans morale. L'avenir américain est alors aux yeux de beaucoup d'européens conservateurs comme en phase vers une décadence sans limite.

Au XXe siècle, c'est la décadence sexuelle qui est mise a nue (tiens donc...) puisqu'on dénonce la morale trop libertine des américains due à la forte émancipation féminine et à la volonté impertinente de reconnaissance chez les homosexuels.


Même après cela, la révolution culturelle américaine persiste en Europe : le cinéma Hollywoodien, les cabarets de Broadway et la musique Rock n'Roll envahit le marché culturel européen.

Cette invasion, pourtant réclamée au départ par les européens eux-mêmes, est dénoncée plus tard.
Le "rêve américain" s'effondre.
L'hégémonie culturelle américaine n'est plus soutenue. Le rêve américain devient ainsi la "culture américaine superficielle" basée sur le vice et l'argent.

En réalité, ces conservateurs européens s'adonnaient à soigner une image vieillie de l'européen, riche en histoire, en culture qui plus est intellectuel face à l'américain, imitateur par excellence, fondateur d'une morale libertine et originaire d'une succession de lignées bâtardes.


L'actualité et l'antiaméricanisme dans le monde d'aujourd'hui

Même si l'antiaméricanisme est né en Europe, il s'est davantage étendu dans les pays islamiques. En effet, pour les musulmans fondamentalistes d'un Islam rudimentaire, les Etats-Unis correspond à tout ce qu'il peut y avoir de néfaste dans une société. L'émancipation des femmes, la décadence gays et la "ressemblance" avec l'Etat d'Israël ne peuvent être que nuisibles et accroître l'antiaméricanisme.

C'est alors qu'Al-Qaida brise le "rêve de sécurité américain" qu'avaient les américains jusqu'au 11 septembre.

Car, au-delà de toutes les puissances américaines, (culturelle, économique et politique) , l'un des plus grands avantages américains est avant tout historique et géographique.
Etant un pays neuf, situé à 8000 km de l'Europe (lieu de naissance de tous conflits) , l'Amérique se sentait en sécurité. Des hommes par millions y trouvent sûreté, des juifs, notamment, principalement à New York.

Peut être Ben Laden et Cie pensaient faire d'une pierre deux coups en visant le World Trade Center, le cœur du prétendu "pouvoir judéo-americain" ?
Pourtant, jusqu'ici, aucun élément concret ne justifie l'antiaméricanisme.

C'est alors qu'arrive la cause "mondialiste et gouvernementale"...


Mondialisations et gouvernements américains

(Regardez comme il est mignon ! Vue sous cette angle, il ne ferait pas de mal à une mouche ? hein ? ;))

S'il est vrai que l'antiaméricanisme existe depuis bien longtemps, ce n'est pas avec un gouvernement pareil (actuel) qu'il cesserait d'exister !
Car bon nombre d'européens, critiquent le gouvernement américain "dirigé" par George W. Bush Junior.

Mais n'a-t-il pas toujours été ainsi ? En effet, même si certains ex-présidents américains menaient une politique extérieure moins "dynamique", tous ont été lamentablement critiqués et à quel prix ?

Pourquoi les différents présidents brésiliens, polonais ou Sud-africains ne nous intéressent-ils pas autant ? Comment se fait-il que l'on puisse citer sans hésitation les différents présidents américains sans être capable de citer ne serait-ce que quelques présidents africains ?

Dans les années 60, le gouvernement américain avait été critiqué à cause de sa lutte anti-coloniale. Et les européens, fervents partisans de la colonisation (une majeure partie), prétendaient (encore une fois !) que les américains "se mêlaient de ce qu'ils ne les regardaient pas !", à savoir, la décolonisation. (Décidément, ce ne serait pas la première fois !)

Pourtant, il ne s'agissait pas d'antiaméricanisme, car ce "mouvement" s'apparente davantage aux américains et à leur culture.

Dans les années 80, le problème devient plus important du fait de la "course aux armements" effectuée par Reagan. L'"américanophobie" s'accélère alors.

Même si, aujourd'hui, les justifications peuvent être "nombreuses et fondées" (refus de l'accord de Kyoto, enjeux douteux en ce qui concerne l'intervention en Irak, mise en place de régimes antérieurs totalitaires en Amérique latine...), ce qui dérange aujourd'hui chez certains (mais malheureusement beaucoup trop !), ce n'est pas tant les "gaffes" politiques et scandaleuses du gouvernement américain, mais c'est l'Amérique et ses américains !

Pas de panique. Je m'explique.

Les événements actuels, à savoir l'élargissement de l'Europe, font croire de plus en plus à une lutte européenne face à l'Impérialisme Etat-unien. Comme si, l'aide américaine apportée en 1947 (Plan Marshall) était une "honte" et que ce n'était que maintenant, que l'Europe se rendait compte qu'il fallait qu'elle se "libère nationalement".

Ainsi, l'Europe serait-elle une colonie écrasée par les Etats-Unis ? Serait-elle entrain de perdre sa supranationalité ? C'est peut-être ce que certains veulent nous faire croire... Pourtant, l'Europe n'a jamais été aussi forte et soudée qu'aujourd'hui.


Quant à la mondialisation et à l'effet "Mc Do'", ce serait dommage que de ne retenir que "ça" de la "culture américaine" (qui en réalité n'existe pas vraiment puisqu'il s'agit d'un melting pot culturel !)

Comme on devait s'y attendre, on critique le "Géant de la restauration rapide" au niveau écologique, (but nullement non lucratif bien entendu !) comme si l'enjeu principal était le bien-être de la population !

Bien entendu, personne, ne nie les techniques douteuses utilisées et les résultats néfastes sur l'organisme mais combien d'entre nous y vont ?


La lutte "politique" contre les Mc Donald's est avant tout une lutte contre la mondialisation américaine, tout comme les différents procès contre Nike, Coca-Cola...

Aujourd'hui, on se plaint de l'"américanisation" de notre culture. Mais qui, a voulu de cette américanisation ?
Peut-être pas vous mais vos arrières grands parents.
Comme si le capitalisme était typiquement américain alors qu'il est simplement occidental.

Enfin, certains affirment que la véritable raison de la guerre en Irak est avant tout liée au pétrole. Certes, c'est une raison valable, car les américains et les britanniques manquent de pétrole.

Mais saviez-vous que les français et allemands en ont suffisamment ? (...)

Devrais-je insister davantage sur l'absurdité de l'antiaméricanisme ? Car de nos jours, pour être "dans le vent", il faut adhérer au sentiment "antiaméricain".

Quoiqu'on en dise, même si les médias ne sont pas clairs là-dessus, l'antiaméricanisme existe et peut se ressentir partout...


Alors ? Est-ce une façon de dire : "F*c* !" à Bush ? Ou bien est-ce "une jalousie (cf concurrence) inconsciente" face au peuple, élu, du "rêve américain"... ?

J'ai fait cet article à la suite de commentaires lus ailleurs...
J'attends vos réponses (modérées) svp...
Je pèse mes mots, faites-en autant... Merci d'avance.
. Voir tous les commentaires et/ou en poster un (29)
Re: Antiaméricanisme ou simple refus du gouvernement ?
Posté par jacquesv le 12/10/2004 10:54:45
J'étais aux USA lors de la guerre en Iraq: pas de nouvelles à ce sujet sur 49 chaines de télé, pas de CNN, juste le très républicain Fox TV qui donnait un petit peu de nouvelles les journeaux parlaient de ce qui se passe dans la ville, à la rigeur dans l'état (ou l'état voisin, si c'est spectaculaire) Il fallait chercher por trouver les bons journeaux, comme le NY Times ou le Washington Post en province:
Les Améicains sont le peuple le plus mal informeé que je connais. CNN est destiné au monde, pas au marché intérieur.
La Francophobie dont tu parles se limite à l'Angleterre (comme toujours) et les USA(et encore, là, c'était des gestes individuels montés en épingle par la droite européenne, pas le reste du monde!!
Si on voit ce qui est arrivé avec des Espagnols, des Italiennes, des Anglais, la position de la France était clairement la meilleure: les USA euxmêmes viennent d'admettre qu'ils n'avaient pas de raison valable d'envahir l'Iraq. Pourquoi entrainer l'Europe dans une guerre ne servant que les intérêts des pétroliers américains??
Re: antiaméricanisme ou simple refus du gouvernement ?
Posté par caesar.patou le 12/10/2004 07:02:22
exusez moi j'ariive un peu en retard sur les post mais peut on m'explquer en quoi l'amerique serait le pays de la liberté d'expression ? Je n'ai rien contre le peuple americains je considere juste qu'ils sont tres mal informé a grande echelle.Par exemple, les personnes bénéficiant d'informations emanant de sources autre que CNN et des autres grosses chaine de television influencé par le gouvernement avait une vision beaucoup plus objective du probleme en irak car tu parle d'un antiamericanisme mais il existe aussi au niveau des etats unis une certaine francophobie notamment du a la position de la france lors du conflit en irak. Mais ils s'opposent aussi a tt autre pays ou dirigeant ayant une vision differente d'eux les etat unis ont quand meme permis a des dictateurs de s'installer au pouvoir car il s'avait qu'il pouvait leur apporter quelque chose. Alors il est selon moi un normal qu'on emette des reserves quand a certaines decisions de la plus grande puissance mondiale et que certaine personne leur en veulent pour certain de leur acte irreflechi.

Modifié le 12/10/2004 07:04:12
Re: antiaméricanisme ou simple refus du gouvernement ?
Posté par jacquesv le 23/08/2004 09:58:02
sans beaucoup de commentaires:
premier lien trouvé sur Google( il y a le choix!!): un beau florilège en un seul lien:
http://members.aol.com/bblum6/American_holocaust.htm
Tabl e of Contents

Introduction
1. China - 1945 to 1960s: Was Mao Tse-tung just paranoid?
2. Italy - 1947-1948: Free elections, Hollywood style
3. Greece - 1947 to early 1950s: From cradle of democracy to client state
4. The Philippines - 1940s and 1950s: America's oldest colony
5. Korea - 1945-1953: Was it all that it appeared to be?
6. Albania - 1949-1953: The proper English spy
7. Eastern Europe - 1948-1956: Operation Splinter Factor
8. Germany - 1950s: Everything from juvenile delinquency to terrorism
9. Iran - 1953: Making it safe for the King of Kings
10. Guatemala - 1953-1954: While the world watched
11. Costa Rica - Mid-1950s: Trying to topple an ally - Part 1
12. Syria - 1956-1957: Purchasing a new government
13. Middle East - 1957-1958: The Eisenhower Doctrine claims
another backyard for America
14. Indonesia - 1957-1958: War and pornography
15. Western Europe - 1950s and 1960s: Fronts within fronts within fronts
16. British Guiana - 1953-1964: The CIA's international labor mafia
17. Soviet Union - Late 1940s to 1960s: From spy
planes to book publishing
18. Italy - 1950s to 1970s: Supporting the Cardinal's
orphans and techno-fascism
19. Vietnam - 1950-1973: The Hearts and Minds Circus
20. Cambodia - 1955-1973: Prince Sihanouk walks the
high-wire of neutralism
21. Laos - 1957-1973: L'Armée Clandestine
22. Haiti - 1959-1963: The Marines land, again
23. Guatemala - 1960: One good coup deserves another
24. France/Algeria - 1960s: L'état, c'est la CIA
25. Ecuador - 1960-1963: A text book of dirty tricks
26. The Congo - 1960-1964: The assassination of Patrice Lumumba
27. Brazil - 1961-1964: Introducing the marvelous
new world of death squads
28. Peru - 1960-1965: Fort Bragg moves to the jungle
29. Dominican Republic - 1960-1966: Saving democracy
from communism by getting rid of democracy
30. Cuba - 1959 to 1980s: The unforgivable revolution
31. Indonesia - 1965: Liquidating President Sukarno ...
and 500,000 others ...... East Timor - 1975: And 200,000 more
32. Ghana - 1966: Kwame Nkrumah steps out of line
33. Uruguay - 1964-1970: Torture -- as American as apple pie
34. Chile - 1964-1973: A hammer and sickle stamped
on your child's forehead
35. Greece - 1964-1974: "Fuck your Parliament and your
Constitution," said the President of the United States
36. Bolivia - 1964-1975: Tracking down Che Guevara
in the land of coup d'etat
37. Guatemala - 1962 to 1980s: A less publicized "final solution"
38. Costa Rica - 1970-1971: Trying to topple an ally -- Part 2
39. Iraq - 1972-1975: Covert action should not
be confused with missionary work
40. Australia - 1973-1975: Another free election bites the dust
41. Angola - 1975 to 1980s: The Great Powers Poker Game
42. Zaire - 1975-1978: Mobutu and the CIA, a marriage made in heaven
43. Jamaica - 1976-1980: Kissinger's ultimatum
44. Seychelles - 1979-1981: Yet another area of
great strategic importance
45. Grenada - 1979-1984: Lying -- one of the few growth
industries in Washington
46. Morocco - 1983: A video nasty
47. Suriname - 1982-1984: Once again, the Cuban bogeyman
48. Libya - 1981-1989: Ronald Reagan meets his match
49. Nicaragua - 1981-1990: Destabilization in slow motion
50. Panama - 1969-1991: Double-crossing our drug supplier
51. Bulgaria 1990/Albania 1991: Teaching communists
what democracy is all about
52. Iraq - 1990-1991: Desert holocaust
53. Afghanistan - 1979-1992: America's Jihad
54. El Salvador - 1980-1994: Human rights, Washington style
55. Haiti - 1986-1994: Who will rid me of this
turbulent priest?
56. The American Empire - 1992 to present
Notes
Appendix I: This is How the Money Goes Round
Appendix II: Instances of Use of United States Armed
Forces Abroad, 1798-1945
Appendix III: U. S. Government Assassination Plots
Index

Regardez quandmême "Le monde selon Bush"
Farenheit 9/11
et
Forest Gump
Ceci pour la politique
Je suis allé aux USA, (et j'y retournerai), et ce que j'y ai vu (New York et La Nouvelle Orléans), j'en ai pu apprécier certains cotés, d'autres moins.

Ce qui m'a le plus frappé, c'est leur vision du monde, limitée à leur état, + peutêtre celui juste à coté. Le reste du monde? "Connais pas". Il faut vraiment rechercher leurs intellectuels pour parler de + que le foot. Première impression de New York: très gentils, dans leur domaine limité, mais un nombre impressionnant de gens qui en Europe n'auraient pas ou tout juste finis leur collège.
L'enseignement coûte cher aux familles, labas (les soins de santé aussi), et sauf exception, les salaires ne sont pas en rapport, semble-t-il.
99 chaines de télé, mais peu qui ont un JT dépassant l'état: en pleine guerre d'Iraq: RIEN sur la guerre (donc rien de négatif non plus). Les journaux papier: idem: New York Times, Washington Post, Chicago Tribune, Miami Herald de bonne et même parfois de très bonne qualité, mais n'essayez pas trop de les trouver à la Nouvelle Orleans: un rare NYT, c'est tout... The Picajune, oui :) Imaginez vous que "Le Monde" ne soit pas en vente à Epinal ou Bordeaux? Ne parlons pas de journaux européains... Je n'en ai pas assez visité sans doute, mais avec les nuits d'hôtel de 80 à 127$ minimum à NYC...
Ah, oui: j'ai visité un tas de pays, et leurs églises(c'est là que se conservent un tas d'oeuvres d'art en Europe) ainsi que leurs mosquées. Pour l'Europe: vides la plupart du temps
Les églises américaines visitées le dimanche matin étaient archi-pleines, comme certaines mosquées le vendredisoir. Un autre monde...
J'y retourne quandmême, mais pas en priorité.

Modifié le 23/08/2004 10:42:09
Re: Antiaméricanisme ou simple refus du gouvernement ?
Posté par chloé16 le 20/08/2004 07:57:25
Je ne me trompe pas c'est seulement ce que je pense. Je n'ai pas était non plus méchante je n'aime pas seulement les islamophobes ou tout ces gens qui n'aiment pas un groupe de personne défini. Tu m'as fait des menaces mais je ne vais pas rentrez dans votre jeu oui c'est marrant je te parle et je suis obligée d'utiliser la 2eme personne du pluriel, oui car il semble que dés que je m'adresse à l'un j'ai l'autre qui me réponds. Je crois que je n'ai plus rien à vous dire et sache que mon esprit et on peut plus ouvert, je suis très tolérante et tout à fait apte a ouvrir mon esprit à d'autre horizons!
Re: Antiaméricanisme ou simple refus du gouvernement ?
Posté par chloé16 le 20/08/2004 07:57:25
"J'ai essayé de me justifier sur tout ce que tu m'as dis"
Je ne te demandais en aucuns cas de te justifier...j'ai seulement donné mon avis sur un article que j'ai trouvé moyen, mais je ne te demander certainement pas de te remettre en question! Il semble que tu veuilles toujours avoir raison et que tu n'acceptes pas les remarques. Cela est dommage ça fait parti du jeu!
. Voir tous les commentaires et/ou en poster un (29)
L'auteur : Hannah S
37 ans, Paris (France).
Publié le 25 juin 2004
Modifié le 25 juin 2004
Lu 2 650 fois

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