| AutruiLe cerveau dérangé a besoin de trouver un meilleur pli...Souhaits, désirs, pensées, accusations et reproches hantent mon cerveau comme une armée de fantômes, je ne me fais pas un tas d'illusions, comme se l'imaginent les gens, je connais mes innombrables défauts mieux que quiconque, seulement voilà la différence, je sais, moi que j'ai la ferme volonté de me corriger, et d'y parvenir, puisque je constate déjà un progrès sensible et je vous affirme que personne ne me gronde et ne me critique autant que moi-même.
La nature me rend humble, et me prépare à supporter tous les coups avec courage. Je n'oublie pas que " La paresse séduit le travail satisfait ". Juste vous dire ce qui me pousse à avoir une amie ou correspondante. Pour moi autrui, amis(es) ou correspondants(es) est celui qui est en trop et celui qui me manque pour lequel sans doute, je suis en trop, à moi que je ne lui manque. Source des contradictions à forme humain car il est déjà là, dans ce dont, il faut faire un monde, comme e principe vivant vécu et constamment à vivre, d'une dialectique des données naturelles. Il est à la fois la caricature et le modèle de ce que je suis moi-même, selon le moment où je le perçois et le climat psychologique dans lequel je reçois sa présence tantôt lointain, tantôt proche, Il est ce moi qui ne pas moi. S'il faut encore que j'ajoute, je dirais que je ne peux pourtant l'éliminer, même en imagination, sans falsifier mon existence fondamentale. Mon père me dit souvent, je cite "si tu veux te connaître observe les autres et si tu veux connaître les autres observe-toi toi-même". " Ah, insensé qui crois que je ne suis pas toi !"
Pour moi l'Autrui (Correspondants (es), amis (es)) est celui qui me délivre parfois de façon rude, des théories sur les hommes et sur l'homme, qui nous charge de sa vie avec la nôtre, qui pèse par sa vie sur la nôtre, il est plus facile d'être philanthrope que d'accepter ou d'aider chacun de ses semblables, et pourtant par autrui que passe la réalisation personnelle. Je ne peux rien pour autrui sans être moi-même ; je ne peux être moi-même sans a confrontation avec autrui et les idées générales et les bons sentiments ne valent guère sans les objets concret de l'action individuelle, qui n'apparaissent qu'au contact d'autrui. Qu'ils soit indiffèrent, ami ou ennemie, la seule expérience vraie me conduit à la percevoir comme l'autre moi, le seul qui puisse être identifié par distinction du moi. Il est à lui seul tout le non-moi sous le point des circonstances puisque accords et désaccords viennent de sa participation à l'Univers de ce monde, c'est-à-dire d'ordre. " Il ne faut pas attendre la soif pour tirer l'eau du puit.
La vraie amitié n'a jamais été toujours belle et la belle amitié n'a jamais toujours été vraie. Je termine en te rappelant qu'il n'y a que des imbéciles qui ne changent pas d'avis.
"Si tu crois vraiment à l'Amitié, cherche d'abord à être un(e) ami(e) avant que tu cherches en avoir". | | |
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