| Banques : le cancer mondialBen Peri nous invite à un nouveau et fascinant "Voyage dans les coulisses du nouvel ordre mondial... ". Après avoir lu ce livre, vous ne verrez plus le monde avec les mêmes yeux, vous n'écouterez plus les informations, ni les discours politiques avec les mêmes oreilles...A force de mensonges, de manipulations, de corruptions massives, de menaces, d'assassinats, de guerres, de génocides camouflés, et en utilisant la force la plus brutale, ils ont inoculé l'équivalent d'un cancer généralisé à nos démocraties, qui sont devenues des "démocraties présidentielles", c'est-à-dire de terribles dictatures, dans lesquelles un seul homme décide de tout.
A l'aide d'inventions machiavéliques, comme les Bourses, et d'artifices comptables sataniques, ils ont remplacé la valeur de l'argent lié au travail, par l'argent lié à des spéculations virtuelles, sans contrôles et sans limites. Des hommes, sans foi ni loi, sont devenus les maîtres d'un monde pourri régi par l'argent de la spéculation, dans lequel l'argent fruit du travail n'a plus aucune valeur. Avec leurs stratagèmes, ils ont inventé et imposé la pire des formes de colonialisme, le néo-colonialisme financier, et programmé le plus terrible des génocides, le génocide de milliards d'êtres humains par la ruine et la privation d'argent. Ils préparent maintenant une troisième guerre mondiale qui va rapidement devenir atomique, et bien d'autres perversions.
J'ACCUSE les prédateurs multi milliardaires de la finance internationale de la plus grande arnaque jamais organisée
Le monde est divisé en deux clans, d'une part, quelques prédateurs multimilliardaires, et de l'autre le reste du monde (les autres : médecins, ngénieurs, entrepreneurs, fonctionnaires, enseignants, forces de l'ordre, militaires...), dont nous faisons tous partie, même ceux qui pensent vivre à l'aise et posséder quelques biens ou propriétés, ou qui pensent faire leur devoir parce qu'on les a pourvus d'armes et de bâtons.
Une telle situation ne saurait exister sans une fange d'hommes cupides, sans foi ni loi, qui se mettent les yeux fermés au service des prédateurs et de leurs théories sataniques, qui sans eux ne pourraient jamais piller, oppresser, manipuler, ruiner, ni assassiner qui que ce soit.
Comment est fabriqué l'argent et par qui ?
Ben est le représentant d'un Gang de Banquiers, Barak est chef d'état, et Job est citoyen de ce pays...
C'est Barak, qui sur les traces de George et de Bill, décide, sans retenue, de toutes les dépenses de la nation, Ben qui fabrique les billets, qu'il vend à crédit, et qui inscrit soigneusement dans ses livres les sommes astronomiques soi-disant nécessaires à équilibrer les budgets de Barak.
A toutes ces opérations Ben ajoute commissions et rétrocommissions pour Barak, George, Bill et une quantité monumentale de complices. Au passage, ceux-ci lui vendent le pétrole, les armes, les services aux armées et aux sous-traitants (même le papier toilette et l'entretien des latrines) et les programmes de reconstruction, et c'est sur le compte de Job que l'on débite toutes les dépenses, frais et commissions, sans qu'il ait le moindre mot à dire...
C'est Alfred, un banquier installé à Londres, chef d'un Gang de Banquiers de l'époque qui avait réussi le tour de force, avec l'aide de Paul et d'une corruption massive, à obtenir cet invraisemblable contrat, totalement contraire à l'intérêt du peuple américain, alors que ce gang n'avait pas la moindre contrepartie financière indispensable à justifier un tel contrat.
Depuis, tout l'or des Américains a été transféré dans les coffres personnels des membres du Gang, à force d'une série impressionnant d'arnaques financières fabriquées de toutes pièces par lui-même. Ces gangsters ont même réussi à faire voter des Lois obligeants tous les bons Américains à leur vendre leur or, en échange de papier imprimé par eux...
Si vous étiez à la place de job, que diriez-vous ? Que c'est une arnaque ? Vous auriez même le droit de qualifier l'opération de grande arnaque organisée, sur le dos du peuple américain !
Mais au fait, mauvaise nouvelle, Job n'est pas seulement Américain, c'est aussi vous, c'est moi, ce sont nos amis, nos voisins de tous les pays... Aucun de nous ne contrôle plus, ni l'émission de sa monnaie, ni les invraisemblables dettes que nos politiciens et administrateurs portent régulièrement sur nos comptes de citoyens, ceux de nos enfants, petits enfants, etc.
Aujourd'hui, les citoyens des Etats-Unis, de Grande Bretagne, d'Allemagne, de France... Et de la grande majorité des pays du monde, sont obligés d'emprunter l'argent nécessaire au moindre de leur paiement. Ils sont devenus les otages du même système dont les américains sont les victimes depuis 1910, date de la création de la FED, la banque de la Réserve Fédérale américaine, un système de banques a capitaux privés, dont dépend entièrement le gouvernement américain, et que Eustace Mullins n'hésitait pas à désigner comme "Syndicat du Crime".
image:4>L'article 104 du Traité de Maastricht, devenu l'article 123 du traité de Lisbonne confirme que les pays européens depuis 1973 ne sont plus maîtres de l'émission de leur monnaie. Il interdit aux gouvernements européens d'emprunter auprès de leurs propres banques centrales... C'est-à-dire que toute création de monnaie ne se fait que de façon totalement incontrôlée par le "Cartel du Crime", pardon, des Banques.
Ces citoyens européens sont devenus les otages du même système dont les américains sont les victimes depuis 1910, date de la création de la banque de la Réserve Fédérale américaine, un système de banques a capitaux privés, totalement sous contrôle étranger. A l'instar de ce qui se passe aux Etats-Unis, depuis longtemps aucune banque centrale d'aucun pays n'émet plus aucun billet autrement qu'à crédit en empruntant aveuglément auprès du "Cartel des Banques". Contre toute logique, chaque fois que ce Cartel du Crime fait un prêt à qui que ce soit, il a décidé que cela augmentait les fonds propres de ses membres... Ainsi, plus ils signent de contrats de prêts, plus ils sont riches !
- Riches de quoi ?
- De vent, ou plutôt de la capacité de remboursement des citoyens du pays qui emprunte, citoyens qui n'ont pas le moindre mot à dire sur les énormes dettes que l'on accumule sur leur dos.
- Mais c'est une arnaque !
- C'est l'histoire de Ben; Barak et Job.
En fait, c'est bien pire, vu la masse monétaire ainsi émise, il s'agit de la plus grande arnaque jamais organisée, celle de la mondialisation.
Virgile disait : "ne cède pas aux démons, mais attaque-les audacieusement
Les pires démons que nous ayons à affronter aujourd'hui, ce sont ces dynasties de prêteurs sur gages, devenus banquiers internationaux, qui ont fondé le Cartel du Crime des prédateurs de la finance internationale, dont le business premier est celui de la fabrication et de l'exploitation de toutes sortes de guerres, qui leur a permis depuis le 7ème siècle, de monter Princes, seigneurs et rois, les uns contre les autres, fournissant à tous : les prétextes pour déclarer ces guerres, les armes et les armées à crédit, pour attaquer ou résister, sans aucun état d'âme, et sans aucune humanité pour les combattants, et encore moins pour les populations civiles ravagées et aujourd'hui exterminées...
S'il est possible d'en dénombrer les centaines de millions de victimes humaines, le Warbiz, ce "Business de la Guerre" a permis au cours des siècles, d'amasser des fortunes si colossales, que leurs possesseurs sont devenus incapables de les chiffrer. Selon certains, une seule de ces dynasties aurait accaparé à ce jour, plus de 50% des richesses du monde, pendant que d'autres affirment : "Les trois quarts".
Le Cartel des Banques, grâce à la trahison de nos élites, a réussi à faire que nos démocraties, nos entreprises et nos emplois, ne soient plus que de banals jouets entre leurs mains.
Voici plus de deux siècles, un des fondateurs de l'une de ces dynasties proclamait : "laissez-moi émettre la monnaie d'un pays et je ne craindrai pas celui qui fait ses lois". Quelques lustres plus tard, grâce à des familles du cartel des Banques, nommés Rothschild, Warburg, Baker, Brown, Harriman, Kuhn, Lazard, Lehmann, Loeb, Morgan, Rockefeller, Schiff, Schröder... Le dollar américain échappait à tout contrôle de son propre gouvernement et de ses propres citoyens. Ainsi, depuis 1913, de façon incroyable et parfaitement illégale, chaque fois que le gouvernement américain a besoin du moindre billion de dollars (ou de quelques dollars), il est contraint de l'emprunter automatiquement à crédit à la FED, à des conditions imposées par elle.
Depuis 1913, il n'existe pas un dollar dans le monde qui n'ait été émis de cette façon, à crédit, sur le dos des contribuables américains...
Aujourd'hui, grâce à un système complexe de Banques Centrales, soigneusement organisé par les prédateurs de la finance Internationale - dont Louis T. McFadden, Président de la Commission des Finance du Congrès américain n'hésitait pas à qualifier les actions de "Plus grand crime de l'histoire", et qui mourut lui aussi assassiné - plus aucun pays n'émet le moindre de ses propres billets, et lorsqu'ils sont autorisés à le faire, ils le font à crédit, in fine directement ou indirectement, auprès des membres du "Cartel du Crime".
Ce Cartel gère, entre autres, La BIS (la Banque des Règlements Internationaux), centre stratégique du cartel, La "City" de Londres, la Banque d'Angleterre, la Réserve Fédérale américaine - et détourne de ce conglomérat, des billions de dollars - impose sa stratégie aux banques centrales du monde, qui "contrôlent" et "régulent" à leur tour les banques de leurs pays respectifs. Des crises sont régulièrement fabriquées par le Cartel, pour que les établissement de petites et moyennes tailles soient absorbés par les plus grandes banques, afin d'éviter que le moindre "business" ne soit dérivé vers ces établissements et ne mette en péril le monopole du Cartel. Cette stratégie a encore été vérifiée en 2008 et 2009, avec les nouvelles faillites et absorptions de petits et moyens établissements enregistrées de par le monde. La Banque Centrale Européenne passe, comme les autres banques centrales, par les fourches caudines du Cartel, pour prêter aux principaux pays européens les fonds qu'elle n'a pas. Au lieu de créer sa propre monnaie indispensable à la conduite de sa politique et à son développement, elle emprunte l'argent qui lui manque, dans une opacité totale, par diverses techniques bancaires comme les "Swaps", auprès de la FED et des autres banques du cartel.
Vous pouvez, dès lors, mesurer la totale "dépendance" économique de l'Europe, vis-à-vis du Cartel du Crime !
La puissance financière de ce cartel est plusieurs milliers de fois supérieure à celle de tous les états réunis, et ce phénomène ira toujours en s'aggravant puisqu'en fait la richesse de ces banques n'est que le fruit de prêts illégaux, et de sombres spéculations électroniques, que personne ne peut encadrer ni contrôler.
Les membres du Cartel des Banques ne sont placés sous aucun contrôle d'aucune sorte. Ils imposent leurs propres règles aux banques du monde, et à toutes les formes de financement d'activité industrielle, commerciale, et étatiques...
Non seulement ces prédateurs ne sont placés sous aucune autorité, mais en plus, ils édictent leurs propres règles comptables qui ne servent qu'à dissimuler toutes leurs manigances. Citons entre autre le fait que lorsqu'une banque fait le moindre prêt, elle augmente de ce fait ses fonds propres...
(sic !). Tout ce que les banques du Cartel ont à faire pour réaliser des prêts c'est de passer des écritures comptables, sans jamais donner aucune garantie en échange, ce qui n'est pas le cas des autres banques, qui doivent toutes réemprunter aux banques du Cartel, les sommes prêtées par elles...
Les banques de ce cartel se réservent aussi le droit de spéculer sur tout, sans limite, sans garanties et sans aucun contrôle, réalisant au cours des séances boursières les plus gras bénéfices, que les cours soient à la hausse ou à la baisse, pendant que les petits épargnants sont systématiquement grugés et laminés...
Un seul trader (arbitragiste) de la Société Générale, Jérôme Kerviel, en parfait accord avec sa direction, avait réalisé 1,5 milliards d'Euros de plus-values boursières durant la seule année 2007. Je vous laisse imaginer ce qu'ont pu gagner les prédateurs du cartel chaque année - y compris la célèbre banque Goldmann Sachs... Déclarée en faillite - sachant que le volume d'une sale de "trading" d'une grande banque peut atteindre en un seul jour plusieurs centaines de milliards de dollars...
Comment pouvons-nous accepter de telles pratiques, pendant que nos agriculteurs sont étranglés et désespèrent de cette société qu'ils nourrissent, que nos ouvriers et employés n'arrivent que rarement a jouir de la vie ? Faudra-t-il attendre le jour où les prédateurs de la finance internationale se rendront compte que rien de comestible ne sort de leurs ordinateurs, ni des jeux boursiers qu'ils ont inventé, que rien ne pousse sur le béton et que les billets de banque ne remplissent pas les estomacs ?
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