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Breve desription de notre ministre de l'Intérieur

"Robocop" apporte un second souffle au monde politique atone...


Nicolas Sarkozy
Ministre de l'Intérieur, de la sécurité intérieur et des libertés locales
Place Beauvau – 75008 Paris (01 49 27 49 27)
Nicolas Sarkozy, est né le 28 janvier 1955 à Paris (17 ème arrondissement)


"Robocop" apporte un second souffle au monde politique atone

Nicolas Sarkozy, membre de l'UMP (Union pour un Mouvement Populaire), est un des acteurs politique les plus en vu actuellement. Son engagement, ses erreurs, ses réflexions, ses aspirations, ses rencontres en font un des hommes politiques les plus intéressants.


Ascension puis descente aux enfers

1984 signe son vrai départ en politique. En effet il accède à la mairie de Neuilly sur Seine, suite à une bataille politique l'opposant au très expérimenté Charles Pasqua. Depuis cette date, il travailla ardemment, se qui sera payant lorsqu'en 1994, il devint ministre du budget sous le gouvernement Balladur. "Attendue avec tant d'impatience que je n'avait pas su la dominer." Cependant cette arrogance stupide est à mettre au musée Grévin, car l'expérience accumulée depuis l'en immunise.
Lors des élections présidentielles de 1995, ce pro-chiracquien se décida à supporter le principal ennemi de Jacques Chirac, Edouard Balladur. Ce sera un échec, et cette trahison sera sa principale signature pour une grande majorité du RPR (Rassemblement Pour la République).
A partir de cet instant, la vie politique ne Sarkozy se résuma à la gestion de sa commune des Hauts-de-Seine, Neuilly-sur-Seine. S'en suivit l'erreur de la dissolution de l'assemblée et la défaite aux législatives qui suivirent. Cet échec lui permit de se battre et de faire oublié au président Chirac sa trahison.
Sa mise en sourdine politique lui permit de se faire un peu oublier pour mieux rebondir. Lors de la démission de Philippe Seguin à la présidence du RPR en 1999, le président de la république, Jacques Chirac, choisi de faire appel au "Traître" pour assurer la présidence par intérim. Est-ce par conviction ou par l'absence de candidats ?
Louis XI affirmait que le roi de France doit oublier les querelles du duc d'Orléans. C'est à ce prix qu'il fut un grand roi. Jacques Chirac est assurément prêt à oublier les "querelles" s'il est persuadé que c'est utile et donc nécessaire.
Du talent il n'en manque pas, preuve en est son ascension dans la politique, et ça Mr Chirac le sait, même si cela lui déplait. Sarkozy aura en main une bête blessée. Le RPR n'était plus que l'ombre de lui-même après les batailles internes qui l'avaient déchirés.
Cette même année eu lieu les élections européennes. Nicolas Sarkozy conduisait la liste du RPR. Il lui fallait boire jusqu'au bout le calice de cette épopée électorale qu'il n'avait pas voulue. Depuis des semaines les sondages donnaient sa liste au plus bas. Il n'avait qu'une idée en tête, rester digne face à l'échec.
L'histoire nous dira que pour sa première campagne nationale se sera un échec.
Mais cet échec politique lui permit de se rapprocher du président Chirac qui le soutenu du début à la fin de la bataille politique par l'intermédiaire de Dominique de Villepin. Mr Chirac du reconnaître les talents de Nicolas Sarkozy en tant que leader politique, lui donnant même le conseil d'agir en tant qu'homme d'Etat !
Lors de l'élection du président du RPR, Nicolas agit en tant qu'homme d'Etat. Il motiva ses troupes décimées après deux campagnes désastreuses pour la droite républicaine, suscita des tonnerres d'applaudissements. Et c'est avec élégance qu'il renonça à être candidat pour la présidence.
Son avenir se joua à ce moment, là où il démontra au président l'impossibilité de ne pas l'inclure dans son prochain gouvernement, si la victoire était au bout du tunnel mi-2002.
Malheureusement, Mr Chirac lui préféra Mr Raffarin pour devenir le chef du gouvernement, le n°1. Blessé, humilié il accepta à contre cœur le rôle de numéro 2 du gouvernement, à savoir Ministre de l'Intérieur.


Une popularité indiscutable traduisant la bonne conduite de la volonté politique du peuple français.

Son action politique plait. Cela est du au respect des engagements du gouvernement Raffarin, restaurer la sécurité en France. Une popularité qui étrangement ne se traduit pas par les différentes prises de vue des média. En effet Nicolas Sarkozy apparaît aux yeux guignolesques de Canal + comme un fasciste refoulé, comme un homme coupable de liberticide aux regards des journaux de gauches, et comme un restaurateur de l'autorité étatique pour TF1 et le Figaro.


Son action pour la restauration de la sécurité se traduit par la baisse conséquente de toutes sortes de délinquance.
L'opposition ne peut que saluer l'action salvatrice du "premier flic de France"

Nicolas Sarkozy ne laisse pas indifférent. En effet il incarne le mieux l'image du changement. Pour les français ce dernier serait "l'homme qui annonce une mesure par jour, apprivoise les statistiques et met en mouvement les montagnes". Il bouscule les conservateurs qui l'adulent et il impressionne la fraction de la gauche, Tony blair chante ses louanges, et la gauche italienne l'applaudit. Nicolas Sarkozy est d'avis à "rétablir l'Etat de droit, puis on discute" se donnant l'image d'un homme de fer. Mais ce rôle que se donne le ministre de l'Intérieur est applaudi par l'Assemblée, preuve en est le long applaudissement une minute montre en main mercredi 13 novembre 2002. Le projet de loi pour la sécurité intérieur ne rencontre qu'une faible opposition, voir aucune.
Les grands intellectuelles de gauche applaudissent l'action du ministre de l'intérieur, tel Régis Debray ancien communiste guevariste.
Nicolas Sarkozy ne se cache pas derrière son banc à l'Assemblée Nationale, il accuse, se défend, attaque... Il n'hésite pas à accuser la gauche de son mauvais bilan en matière de sécurité "Pourquoi se cacher derrière les associations et ne pas vouloir faire votre bilan passé et actuel ?"


L'ancien ministre de l'Intérieur du gouvernement Jospin, Michel Vaillant, reconnu même "qu'il fait se que nous aurions du faire."
Cependant cette attitude déplait à l'opposition qui rétorque à juste titre "Quand on vous entend, on ne peux s'empêcher de penser à Zorro. Zorro est arrivé. Soyez modeste. Monsieur le ministre !" Mais l'action de Mr Sarkozy est identique à celle de Zorro, il assure la sécurité du peuple français certes et non mexicain.


La droite est unanime quant à ses décisions.

Pour Jean-Louis Debré, "Sarkozy, c'est un professionnel". Il agit en fonction de se qu'il pense juste pour les français. Le peuple le sait et lui en est grés.
Cependant une seule personne lui fait face, il ne s'agit que du "très populaire" Alain Juppé.
Pour le président de l'UMP, Alain Juppé, Sarkozy "a du talent, le bougre", "il est suffisamment intelligent pour nous inventer un numéro et revenir par la fenêtre."
Cependant, il lui reproche de n'avoir ni convictions ni vision à long terme. Pour cela, il reprend le douloureux exemple de son soutient à Edouard Balladur lors des élections présidentielles de 1995, trahissant par la même occasion Jacques Chirac son mentor.
Sa réussite passerait par le fait qu'il n'a jamais fait aussi peu de politique. "C'est peu être pour cela que ça marche", ajoute t'il dans une plaisanterie qui n'en est peut-être pas une.
Ambitieux, courageux, il se satisfait de ce "numéro deux", convaincu, au fond, que bientôt il sera le numéro 1.


L'appui de sa femme et d'Edouard Balladur source de motivation

Le ministre de l'intérieur ne serait pas se qu'il est sans l'appuis de sa femme Cécilia Sarkozy. Cette femme douée d'ambition hors du commun est une source d'inspiration pour Nicolas Sarkozy. Depuis quinze ans ils travaillent ensemble, impressionnent Bernadette Chirac, alors tous les espoirs sont permis pour le couple Sarkozy. Ce professionnalisme et ses actions au gouvernement n'auraient pu être possible sans le soutient de sa femme Cécilia Sarkozy, "Ce que je fais ne serait tout simplement pas possible, si je ne vivais pas ici, Place Beauvau, avec elle ?"S'il s'agit de pouvoir, alors son véritable pouvoir et là.
Ces deux-là ont bien l'intention de gravir un jour où l'autre d'autres marches : celles de l'Elysée.
Quant à Edouard Balladur, il l'a toujours soutenu, surtout lors de l'échec des européennes et la pseudo candidature à l'élection du président du RPR. "Durant tout cette période je pus compter sur l'amitié et le soutien d'Edouard Balladur." Cela montre combien Nicolas Sarkozy attache de l'attention à l'amitié. Le "sprinter de la place Beauvau" est un homme comme les autres qui prête attention au malheur des victimes d'agressions. Ce père de famille connaît l'amour que l'on peut apporter à ses enfants, le mal que l'on pourrait leur faire, il est donc par conséquent l'homme de la situation.
Pourquoi la France rejette les hommes qui agissent pour elle, et non pour eux. La démagogie dévore notre démocratie qui n'est en fait qu'une technocratie ne défendant que ses propres intérêts. Devons nous nous agenouiller devant les hommes politiques ne voyant que l'argent en la chose publique ? Il est évident que non ! Nous devons tous lutter face à ses suceurs de sang dévitalisant notre pays.
"Le sport favoris des français et la jalousie" selon le ministre de l'Intérieur. Il est donc évident que la puissance politique de Nicolas Sarkozy fasse des jaloux, mais se qui est d'autant plus surprenant, c'est qu'il suscite la jalousie au sein de son propre groupe.
Le succès de ce dernier, est un cadeau du ciel pour le Premier ministre Jean- Pierre Raffarin. En effet "Raf'" surf sur la vague Sarkozy en utilisant la dynamique de ce dernier pour anesthésier les français face à la lenteur des autres membres de la "dream team". Ce manque d'énergie agace d'ailleurs le ministre de l'Intérieur, déclarant que "la différence ne se fait pas sur le talent – à ce niveau là nous en avons tous – mais sur la charge de travail qu'on assume."


Pour conclure je pense que Nicolas Sarkozy ne laisse pas indifférent. L'homme politique habile, intelligent qu'il est, agace l'opposition désemparée par son talent, et la droite, faisant de l'ombre à ses plus illustres mentors et amis, tel Jérôme Monod le Jugeant "trop de droite et trop envahissant pour que Chirac le nomme à Matignon".
Dans un tout autre registre qu'Alain Jupé (le mal-aimé en second), ou Jean-Pierre Raffarin, mais tout aussi efficace, "Speedy Gonzalez" comme le surnomme ses collègues de travail, est entrain de réussir son pari, à savoir redonner à la France sa sécurité légitime et former son électorat de 2007.
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Re: Breve desription de notre ministre de l'Intérieur
Posté par dragon_blanc le 20/08/2004 07:51:40
Moi, je préfère regarder les actions de cet homme politique, et il est en train de sur sécurisé le pays, avec des interdictions de rassemblements, ect. . Mais ne veille pas à ce que ces restrictions puissent pousser les gens à être violents.
Les gens qui zonent, sont peut-être des glandeurs, mais ils ne sont pas tous dangereux. Lorsqu'il y a trop de policiers, les gens commencent à voire rouge.
Re: Breve desription de notre ministre de l'Intérieur
Posté par brassoad le 20/08/2004 07:51:40
Sarko le beau qui sait bien aprler je suis d'accord, mais enfin moi ce que je remarque surtout c'est qu'on ne voit plus de "délinquants" à la télé mais on le voit lui: il y a donc un changement. Ouvrez les yeux le changment c'est qu'au lieu de voir des pauvres jeunes paumés on voit un renard qui rode pour accéder à l'élysée... Tout cela est politique mes chers amis et croyez moi dès qu'il pourra vous lacher il vous lachera l'ami Sarko.... ;-)
Re: Breve desription de notre ministre de l'Intérieur
Posté par gaetan le 20/08/2004 07:51:40
Moi jkiffe !

Sarko le demago is back !!!
allons allons pendant kil nous soule sur le terrain...
Le gouvernement nous fait revenir en 1930 ^^
sarko salo le....
allez zou suivant!!!!!!!!
Re: Breve desription de notre ministre de l'Intérieur
Posté par yeah196 le 20/08/2004 07:51:40
Quesque tu crois? Je vais te dire pourquoi je n'aime pas Sarko, pardon, pourquoi je le hais. Non pas parce qu'il a du talent. Me fais pas rire. Tout simplement parce que ses methodes sont violentes, injustifiees et demesurees.

Autre chose, je commence a en avoir marre des articles sur Sarkozy. C'est probablement le 5eme depuis le debut de la semaine!!!
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Publié le 28 avril 2003
Modifié le 28 avril 2003
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