| De la nécéssité de combattre l'hérédité religieuseL'hérédité religieuse, c'est non seulement le choix des parents d'influencer leurs enfants dans leur pratique religieuse, mais également celui d'engager cet enfant : baptême, circoncision... Ce n'est pas la religion que je cherche à combattre, mais la liberté de l'individu à choisir la sienne. Lisez bien !L'hérédité religieuse, c'est non seulement le choix des parents d'influencer leurs enfants dans leur pratique religieuse, mais également celui d'engager cet enfant : baptême, circoncision...
Des choix qui risquent de retourner les enfants contre leurs parents.
Les faits
Chaque jours, dans le monde, ce sont des milliers d'enfants qui s'engagent, convaincus par leurs parents, à pratiquer telle ou telle religion. Attirés par l'appât du gain (qu'ils soient en marge de devenir chrétiens ou juifs, ils reçoivent des cadeaux et on organise des fêtes (communions, circoncisions), ces enfants sont loin de comprendre l'importance du choix. Ils ont une totale confiance en leur parents : ceux-ci pratiquent telle religion, c'est cette religion qui est véridique, c'est celle là qu'ils pratiqueront. Pourtant on sait à quel point leur jugement évoluera dans l'avenir...
Le rôle des parents, selon moi...
Bien sûr, les parents influences leurs enfants... Dans la vie de tous les jours, dans les discussions animées du dîner... Faut-il encore en rajouter en les poussant à s'engager ? La tentation est forte, mais il faut cependant réussir à se persuader soi-même : "mon enfant est libre". Il vivra, il verra, il s'interrogera, il apprendra, il comprendra, et tout cela avant de faire son choix. Certains diront peut-être : "je veux me faire baptiser ! Je crois en Dieu !" Mais qu'en est-il ? Leur idée émane de ce qu'ils ont vus et appris, pourtant... Que connaissent-ils du Coran ? Que savent-ils du bouddhisme ? Trop peu de choses ! Alors comment peuvent-ils croire que telle religion est celle qui leur convient le mieux ?
Cette erreur, qui selon moi est très répandue, est également celle de nombreux adultes, qui dans leur maturité n'ont pas su se détacher des influences qu'ils ont subits.
En conclusion...
Un article bref, mais un message qui en dit long. Trop de gens aujourd'hui pratiquent parce qu'ils y ont été contraints, trop d'enfants vont à la messe parce que c'est la sortie du dimanche, trop d'enfants craignent une circoncision qu'ils n'ont pas demandés. Peut être y a-t-il de moins en moins de pratiquants, c'est l'impression que j'ai en regardant autour de moi, néanmoins l'hérédité religieuse est encore d'actualité.
Ce n'est pas la religion que je cherche à combattre, mais la liberté de l'individu à choisir la sienne. Vae victis ! | | |
| . Voir tous les commentaires et/ou en poster un (7) | | Re: De la nécéssité de combattre l'hérédité religieuse Posté par gaycirconcisado le 13/10/2012 14:13:34 | Je suis tout à fait d'accord sur le fait qu'imposer à un enfant une opinion religieuse est discutable, même si l'on croit agir pour la bonne cause.
Et il est vrai que ceux qui ont été élevés sans religion ont souvent plus de mal à y ven ir plus tard.
Mais, de toutes façons, chacun doit rester libre.
Or, baptiser un enfant ne lui ôte pas sa liberté de conscience pour l'avenir.
Il est vrai que certaines pratiques, comme la circoncision sont irréversibles.
Mais la circoncision n'oblige pas à adhérer à la religion musulmane ou à la religion juive.
Elle est largement pratiquée, dans le monde, pour des raisons autres et tout à fait différentes de la religion.
Aux Etats-Unis, en Asie, etc... Et même ici en Europe.
A mon avis, comme à celui de bien d'autres, elle ne présente que des avantages.
Je vais raconter ici mon histoire à ce sujet, et si quelqu'un veut en parler avec moi, voici mon adresse mail aussi : [email protected]
Je me suis fait circoncire jeune adulte, adolescent déjà formé, après la puberté, à 15 ans, non par nécessité, médicale ou religieuse, mais par goût. J'en avais très envie depuis un certain temps et je connaissais un homme qui l'était, qui m'a beaucoup aimé. C'est ce qui m'a décidé. Certes, je voulais lui faire plaisir, mais surtout me faire plaisir à moi et ça n'a donc pas été un sacrifice, mais plutôt ce qui m'a aidé à franchir le pas. J'étais très jeune mais je m'intéressais à ce que je faisais et je m'étais documenté. Mes parents m'ont laissé carte blanche, comme tout ce qui concernait ma sexualité d'ailleurs. J'ai choisi l'hôpital américain car la circoncision est évidemment largement répandue aux USA et je n'avais pas eu d'autre idée. Et ça s'est passé de façon infiniment plus simple que je le craignais. Un peu mal après et pendant les premiers jours de la cicatrisation c'est tout, mais rien à voir avec d'autres ennuis que j'avais à l'époque, comme aller chez le dentiste ! Le gland mis à découvert est un peu gênant les premiers jours mais on s'y habitue vite. A la fin de la cicatrisation vers trois semaines après, il est déjà bien désensibilisé. On peut reprendre des activités sexuelles disons après 4 semaines. On peut avant, en ne tirant pas sur la cicatrice mais ça fait une drôle d'impression qui passe très vite.
Ce n'est qu'alors que j'ai compris pourquoi la circoncision avait tant de succès. Je savais que c'était bien, mais à ce point, je ne l'imaginais pas. C'est génial. C'est la nudité du gland qui est ce qu'il y a de plus appréciable. Paradoxalement, sa désensibilisation, toute relative, d'ailleurs, conduit à prolonger les choses, du moins pour moi, et à parvenir à un stade de plaisir plus intense et plus raffiné, me semble-t-il. Je ne l'ai pas une seule fois regretté.
Si quelqu'un y pense pour lui ou seulement aimerait en discuter avec moi, pas de problèmes. Et si quelqu'un a envie de franchir le pas, je lui raconterai plus en détail et je répondrai à ses questions. C'est un sujet qui me passionne et je dispose d'une abondante et impressionnante documentation.
Moi, le peux te dire que j'ai trouvé que c'était beaucoup mieux après. Après la cicatrisation et que le gland a commencé à se désensibiliser ( et à grossir un peu, aussi, même en érection, alors que j'avais la certitude que ma puberté était terminée complètement ( à 15 ans, normal !!!), j'ai découvert avec mon ami des subtilités nouvelles de l'orgasme, et surtout je suis devenu plus long à jouir, et avant d'éjaculer, j'ai déjà le goût de l'orgasme et au moment de l'éjaculation, là, je te dis pas !!!! ça doit faire comme ça pour toi, je suppose. Pour se branler, pas de problème, mais il m'a quand même fallu attendre quelques mois pour pouvoir le faire directement et à sec sur le gland. Sinon, avec un lubrifiant et le mieux, c'est l'huile d'amande douce. Mais j'avais des relations sexuelles régulières avec cet homme que j'aimais et qui m'aimait, et c'était génial. Je pourrai te raconter tout ça.
J'ai été très surpris parce que ça n’a que des avantages et je ne suis pas le seul à en avoir eu envie, loin de là ! On comprend pourquoi c’est ridicule et même débile de comparer avec une mutilation ou je ne sais quoi de stupide. Certains se montrent rebelles et critiques parce que leur consentement n’a pas été demandé. On peut comprendre. Mais s’il faut éventuellement modérer l’enthousiasme en affirmant que c’est « pour la bonne cause » qu’on coupe le zizi des petits garçons impubères, on constate quand même que sur un tiers de la population masculine sur la terre, soit quand même pratiquement 2 milliards de bites coupées, il y a peu de contestations et de réclamations auprès du service après-vente ! Si tel avait été le cas, ça se saurait ! Ça a été une révélation pour moi. Et comme beaucoup d’hommes (ou ados, bien sûr, c’est pareil !), qui se le sont fait faire, certes, parfois, par nécessité pour diverses raisons, ou tout simplement par goût, par désir, par envie, par souci d’esthétique, d’hygiène, même si on peut aussi se laver ( !!!), et surtout d’érotisme et de sensualité, ce qui est fréquent, le seul regret c’est souvent de ne pas l’avoir fait faire plus tôt ! J’ai lu cette appréciation dans de nombreux témoignages.
Moi, j'ai mieux maîtrisé mon éjaculation, un plaisir plus fort car j'ai trouvé qu'il y avait un palier qui était déjà l'orgasme qui durait assez longtemps avant l'éjaculation. Pas de problèmes pour la masturbation (au contraire… !!!), car la muqueuse du gland se change et supporte directement avec les doigts ce qu'elle ne supportait pas auparavant.
Il est vrai que le prépuce induit une grande sensibilité. Dans un sens, on peut penser qu’en le coupant, on se prive de quelque choses. Mais c’est oublier que les terminaisons nerveuses, les corpuscules de Kraüsse, se reforment en-dessous de ce qui a été coupé. Il y a donc une « recapitalisation » des facteurs des sensations, qui expliquent donc le paradoxe qu’en enlevant un bout de peau (externe et muqueuse), on favorise des sensations nouvelles et plus intenses, même si, évidemment, la subjectivité n’est pas absente de cette appréciation. Mais, même s’il y a coupure, le garçon n’a pas l’impression qu’on lui aurait retiré quelque chose, et qu’on lui aurait « sacrifié » sa bébète ! C’est tout le contraire. En général, les hommes (ados ou adultes !), ressentent la découverte et l’ajout d’une dimension sensuelle supplémentaire, supérieure par l’effet d’une subtilité inattendue du goût du gland toujours présent. Même dans le slip, après cette désensibilisation qui si paradoxalement renforce les sensations et l’intensité des orgasmes (même si ce n’est, bien sûr, pas aussi mathématique que ça, mais pourtant valable en général), le gland n’est pas gênant du tout. Le plus souvent, on ne le sent pas du tout. Mais des fois, on sent sa présence à nu discrète, se rappelant à nous, et c’est très agréable et sensuel. Quand on bandouille ou quand surgit l’érection c’est le top.
Il faudrait, à mon avis, conseiller la circoncision à tous les hommes et les ados.
Si quelqu'un veut des informations, ou simplement en parler avec moi, je suis à votre disposition. | | Re: De la nécéssité de combattre l'hérédité religieuse Posté par lerenard le 02/08/2007 16:17:52 | oui j'ai connu cela le frère de pépé été curé et sa soeur bonne soeur et moi athé et c'est la seule mais unique seule chose ou je suis daccord avec staline la religion c'est l'opium du peuple | | Re: de la nécéssité de combattre l'hérédité religieuse Posté par ticactus le 15/04/2007 21:13:32 | Tout à fait d'accord qu'il faut laisser le choix aux enfants.
Modifié le 04/10/2011 22:24:24 | | Re: De la nécéssité de combattre l'hérédité religieuse Posté par rossana le 08/04/2007 13:37:51 | Voilà quelqun qui suit un raisonnement logique et objectif! Je suis tout à fait d'accord avec toi. | | Re: De la nécéssité de combattre l'hérédité religieuse Posté par lollia le 18/03/2007 15:26:48 | Je suis tout à fait d'accord avec cet article. Pour ma part je ne me suis pas posé la question pour ma communion (impossible pour mon bapteme j'étais bébé ^^), pour ma profession de foi j'ai voulu refuser car ça commençait à me souler puis mes parents m'ont dit aller tu seras avec tes copines, et moi en plus j'ai pensé aux cadeaux (comme tu dis dans ton article)... Dans mon cas je vois pas où est la place de Mes croyances ?. Aujourd'hui je ne crois en rien, et je ne retiens rien de bénéfique à tous ces cours de catéchisme à part les cadeaux, les fêtes de famille, et les sorties avec les copains ! | | . Voir tous les commentaires et/ou en poster un (7) |
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