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Des ados rencontrent un étrange homme...

Camille, Sofiane, Mehdi, et Nadia rencontrent un étrange génie. Ou est la réalité et ou est la fiction ? Une question importante qu'ils se posent...


Cette histoire est la suite d'une histoire que j'avais déja posté sur France Jeunes, pour ceux qui n'ont pas lu le début, je le remet ici pour les autres la suite est là ou est écrit suite...
Une histoire que j'ai commencé à écrire l'année dernière et que je continue lorsque j'ai de l'inspiration.

Bonne lecture !!! Je ne revendique pas de style littéraire, ni de jeux d'écriture : une histoire ou le sens est le plus important qui joue sur la réalité et la fiction.


Chapitre 1 : camille

Mardi 10 novembre. 15h.
"Je m'appelle Camille et J'ai 15 ans, j'aime étudier et je suis la seconde de ma classe derrière Marion, et parmi les dix premiers il y a huit filles.
Les filles sont peut-être meilleures au niveau scolaire que les garçons mais elles ne sont pas pour autant plus intelligentes parce que d'après ce que j'ai vu sur le net le QI est égal entre les garçons et les filles est égal a tous les âges, a mon avis les filles sont plus concentrées que les garçons donc elles correspondent à ce qu'on attend des élèves au collège.
Bien que les femmes de moins de vingt-cinq ans aient plus de diplômes plus que les hommes, elles sont moins payées que les hommes d'après le document 5 page 200.
La France pourrait prendre exemple sur la Norvège qui compte 50% de femmes dans son parlement.

Conclusion : La parité n'est pas encore atteinte en France mais elle est en voie de l'être."

Posez vos crayons... S'exclama une voix jeune et douce.
Il s'agit de la voix de madame Leroux le professeur d'histoire-géographie de Camille, c'est une jeune femme d'une trentaine d'années aux cheveux blonds très longs, aux yeux bleus pétillants qui indiquent qu'elle lit souvent, on dirait qu'elle sort tout droit d'un livre merveilleux ou les gentils gagnent toujours a la fin.
C'est elle qui a donné à la jeune fille, la passion des études et l'envie de réussir, c'est la seule personne qui arrive à la laisser muette et intéressée pendant plus d'une heure.
Camille est une jeune fille brune aux yeux marron qui est pleine d'espoir et qui adore écrire des livres et se prendre pour l'héroïne pour s'évader de son monotone quotidien.

Après avoir ramassé toutes les copies, Mme Leroux annonçait aux élèves que leur deuxième conseil de classe aurait lieu très bientôt, les mauvais élèves poussaient un gémissement de mécontentement et les bons élèves qui eux souriaient et attendaient patiemment que leur travail soit récompensé au conseil.
La jeune collégienne faisant partie des bons élèves ne réagissait pas, pour cause elle rêvassait comme souvent aux histoires qu'elle écrira.
Le soir elle rentrait chez elle, avec plein d'idées en tête et elle bâcla ses devoirs pour se jeter sur l'ordinateur et écrire la suite de son histoire avant qu'elle n'oublie tout.
Elle vit seule avec sa mère dans un petit pavillon dans le Centre Ville de Mantes la Jolie et reste la plus part de son temps quand elle est chez elle sur l'ordinateur pour écrire jusqu'à très tard dans la nuit, il lui est souvent arrivé de passer des nuits entières a écrire parce que c'est la nuit qu'elle a toutes ses idées.
Sa mère la laisse faire parce qu'elle est une très bonne élève et trouve que c'est une bonne façon pour qu'elle s'exprime parce qu'elle ne communique pas beaucoup.

Ce soir, la jeune collégienne a écrit les toutes premières pages de son livre avec une rapidité fulgurante, pourtant son travail était splendide, parce qu'elle a écrit vite mais avec une très grande passion.
Il est vingt-trois heures, Camille vient de se coucher avec plein d'idées en elle.
Le coucher, c'est le moment que Camille préfère parce qu'elle fonce dans son univers imaginaire :
Ce soir c'est une infirmière pendant la guerre 14-18 et elle soigne tous les blessés, quelles que soient leurs nationalités et elle s'est posté dans un camp en plein milieu des combats au péril de sa vie.
Les soldats se confient à elle et ils lui racontent leurs malheurs et Camille est très heureuse de sauver leurs vies sans ce soucier de leurs nationalités, de toute façon pour elle les soldats sont pour la plus part contre la guerre mais ils sont forcés de se battre, sinon c'est la mort ou même pire, que leurs familles soient persécutés.
Un jeune homme d'une vingtaine d'année habillé tout de vert qui ne semble pas être soldat, la regardait depuis longtemps et Camille aussi le regardait, c'est comme si le temps s'arrêtait à ce moment précis leurs regards se croisèrent au même moment, cet instant d'intenses sentiments dure depuis plus de cinq minutes, ce qui est une éternité dans un champ de combat ou les balles s'échangent violemment.

Le jeune homme s'approche de plus en plus, leurs yeux ne se lâchaient pas... Il a entre eux un phénomène que Camille n'explique pas.
Leurs yeux sont comme en fusion, et Camille ne voyait pas ce qui se passait autour d'elle, a ses yeux le combat n'était qu'un élément du décor et que le principal est cet homme qu'elle avait l'impression de connaître depuis longtemps.
Leur long regard partagé continua longtemps, mais brusquement l'homme tombe au sol.
Le sang giclait de son corps et il semblait en piteux état.
Camille, immédiatement se mis à Courir vers lui pour le soigner et l'aider...
Elle entendit une voix féminine :

"Camille ! Camille ! Réveilles toi, il est 7h15.
_Oh ! Déjà. S'écria la jeune fille.
_Ça fait quinze minutes que j'essaye de te réveiller. Affirma la mère.
_Laisses moi un peu de temps, il faut que je faces quelque chose dans mon rêve,
C'est une question de vie ou de mort.
_Camille, tu vis trop dans tes rêves ; réveilles et toi et prépares toi, ordonna la femme."

Camille, plongée dans son bol de céréales pensait encore a son rêve qui avait l'air si réel, la jeune collégienne fait souvent des rêves mais jamais autant mystérieux et réel.
Son rêve, elle s'y croyait vraiment et maintenant encore elle a du mal à se dire que tout cela est le pur fruit de son imagination, le paysage, les gens lui paraissaient si vrais qu'elle pourrait reconnaître l'odeur nauséabonde du champ de bataille et elle peut se rappeler les sourires des soldats mourants fier naïvement d'être mort pour leur pays.
Tout se mélangeait dans l'esprit de Camille... Elle pensait de plus en plus vite a des choses impensables.
Le pire pour elle, c'était de penser que l'homme au casque vert avec qui elle eut une fusion magique et passionnante n'est qu'un produit de son imagination.
Sa pensée fut coupée par sa mère :

"Il est déjà 8h15, tu vas être en retard comme d'habitude.
_ C'est n'est pas grave, je commence par arts plastiques, c'est pas très important, répondit la jeune fille.
_ Toutes les matières servent à quelque chose donc dépêches toi, insista la mère de Camille."

Camille courut à toute vitesse mais comme souvent rata son bus, elle pris donc le bus de 8h25 qui est tout le temps vide, dans le bus elle était comme très souvent seule avec le chauffeur qu'elle connaît depuis son entrée en 6éme, il y a 4 ans, mais avec qui elle n'a jamais parlé.
Elle sort du bus a toute vitesse, il est 8h29 ! Plus qu'une minute avant la sonnerie, la voilà dans une course contre le temps, elle fait tomber un paquet de mouchoir mais ne s'arrête pas pour être à l'heure, elle regarde sa montre qui est réglée à la seconde près par rapport au collège 8h29 et 32 secondes.
Plus que 28 secondes et elle continue de courir malgré son mal de ventre, elle imagine les dégâts si elle arrive en retard sur son carnet, elle imagine déjà sa prof lui disant : "encore en retard ! 1 heure de colle".
Son collège est déjà dans sa vue, elle court toujours malgré son envie de s'arrêter et de se reposer mais elle se décide à courir et à ne pas s'arrêter tant qu'elle ne serrait pas en arts plastiques parce qu'elle se le dit souvent, dans la vie il faut se surpasser pour réussir.
Camille n'ose même plus regarder sa montre, mais elle se décide quand même, 8h29 et 45 secondes !!
Elle se demande comment elle peut autant réfléchir en si peu de secondes et espère qu'elle pourra aller en cour a l'heure.
Elle arrive enfin au collège à 8h29 et 50 secondes, il ne lui reste que 10 secondes pour aller en cour, et elle le sait si elle ne réussit pas, c'est la fin de ses veillées tardives pour écrire ses si beaux romans ou elle s'épanouit, parce que sa mère lui dirait qu'elle est en retard parce qu'elle se couche trop tard. À toute vitesse, pendant ce "sprint" Camille a courut à une vitesse surhumaine, elle a sûrement battu ses propres records, c'est comme une force extérieure la pousse a courir.
Elle entre dans le bâtiment ou se trouve les arts, le bâtiment B, a 8h29 et 55 secondes, elle monte les escaliers 4 par 4 a toute vitesse.
8h29 et 58 secondes, la salle 26 ou elle a cour est devant elle... La collégienne se déplaça à la vitesse de la lumière parce qu'elle savait que cette prof a déjà donné des heures de colles pour 2 secondes de retard.
8h30 ! Elle se savait fichue mais ne s'arrêtai pas et pénétra dans la salle a grande vitesse et la sonnerie sonna :

"Jeune fille, vous voilà sauvée pour quelques centièmes de secondes ! S'exclama la veille professeur d'arts plastiques." Camille venait de réaliser qu'elle venait de passer la minute la plus longue de toute sa vie.
Elle réalisa aussi, qu'elle n'est pas fatiguée et n'a aucune goutte de transpiration et qu'elle a encore son paquet de mouchoir, c'est comme si sa longue et dure course n'était qu'un rêve...


Chapitre 2 : nadia

Chapitre2 : Nadia

Voici la même journée vue par Nadija...

Mardi 10 novembre. 15h.
"Bonjour je m'appelle Nadia : j'ai 15 ans et demi.
Les filles réussissent mieux a l'école que les garçons d'après le document 1 de la page 199 du livre, mais d'après mon cours le niveau d'intelligence entre filles et garçons est le même : paradoxe me direz-vous. Pourtant c'est parce que les filles sont plus attentives."

Posez vos crayons ! S'exclama madame Leroux, la prof sévère d'histoire-géographie de Nadija.
"Nadia tu n'as presque rien écris, tu va avoir une mauvaise note !
_ J'ai fais de mon mieux madame.
_ En une heure, tu n'as écris que trois lignes, c'est inadmissible".

Nadia n'aime pas quand sa prof lui reproche son travail, c'est une très belle fille aux très longs cheveux blonds qui n'aime pas qu'on lui donne des ordres surtout au niveau scolaire.
Elle appris que son conseil de classe a lieu bientôt par sa prof et poussa un cri de mécontentement en ayant peur d'avoir encore une fois une très mauvaise appréciation. En écrivant la date précise sur son agenda elle voit Camille qui pour elle, est "une sale intello qui se la pète". Camille était entrain de rêvasser et quand la jeune brunette se souvient des rares fois ou elle l'a regardé, Camille était toujours "ailleurs"...

En sortant de classe, Nadia bouscula violemment Julie qui lui avait marché sur les pieds sans faire exprès qui se mis à pleurer instantanément, alors Nadia pouffa de rire. Elle rentra chez elle dans le Centre Ville près du collège dans un pavillon non loin de chez Camille avec ses parents, et ses deux sœurs. Immédiatement chez elle, la jeune fille se précipita sur son ordinateur ou elle possède un blog qui lui sert de journal intime ce jour là, elle écrivit :
"Cher journal intime : aujourd'hui j'ai écris une très bonne rédaction de 15 lignes qui correspondait au sujet demandé mais quand j'ai vu ma prof arrivée je n'ai pas osé rendre ma copie de peur qu'on me demande toujours de faire aussi bien. Un jour j'aimerai bien rendre mon vrai travail... Sinon ensuite j'ai frappé une fille, qui m'avait marché sur les pieds sans faire exprès : je l'ai frappé parce que je ne voulais pas qu'on croit que je suis une fille sympa et gentille".
Ce soir Nadia s'endormit en réfléchissant à sa journée...
Elle rêve qu'elle est en Italie, son pays d'origine ou elle va en vacances : elle mange une paella... Elle adore et a envie d'en reprendre : elle appelle alors un serveur qui marchait... Et là il devint tout flou mais elle était fascinée par cet homme, aux habits vers.
Il marchait pour venir, et s'approcha d'elle... Quand Nadia fut réveiller en sursaut par sa grande sœur :

"Nadija dépêches-toi, il est 07h00 !
_ OK, merci de m'avoir réveiller"

La jeune collégienne alla en cours en prenant son temps. Sur le chemin des Cours, Nadia alla chercher ses copines : Zoé et Manon. Les collégiennes prennent leurs temps sur la route lorsqu'elles passent par la grande citée de Mantes la Jolie : Le Val Fouret : elles voient des tags sur un immeuble : les jeunes filles se demandent bien pourquoi des personnes dessinent des choses aussi sales ! Pour elles les tags sont dégouttants et répugnant. Surtout quand elles voient un endroit ou c'est écrit : "78, le fric ou la mort" et la elles se disent que certaines personnes sont vraiment débiles...

Nadija et ses copines arrivent en arts-plastiques parmi les premières. Quelques instants plus tard, une fois que tout le monde est arrivé, la petite blondinette voit Camille en train de courir dans la cour du collège, elle regarde sa montre : plus que dix secondes avant la sonnerie : aucune chance d'arriver à l'heure ! Le temps de relever sa tête ! Camille est déjà en classe ! Nadija n'en revient pas, même avec une forme physique super performante, c'est impossible d'aller aussi vite. La jeune latine pensa vite à autre chose, en effet aujourd'hui elle a un contrôle sur les arts du XVIII siècles mais elle n'a pas appris parce qu'elle a oublié de noter ce contrôle dans son agenda. Nadia se retrouve avec la feuille devant elle mais elle n'arrive à répondre à aucune question. Au bout de quinze minutes, elle est dépitée et a devant elle une feuille ou elle n'a inscrit que son nom, son prénom et sa classe. Elle croise ses bras quand soudain sa main se mis à trembler et a sursauter. Sa main saisit un stylo et commença à écrire plein de choses sous l'œil effrayé de Nadia. La jeune fille n'y croyait pas, elle avait fini un contrôle dont elle ne connaît aucune réponse... Quelques instants plus tard, Nadia rendit sa copie a sa prof... Sa prof très rapide lui rendît très vite son contrôle : elle eut un 20/20 !


Chapitre 4 : sofiane et mehdi

Chapitre 3 : Sofiane et Mehdi

Mardi 10 novembre. 15h.
"En France les femmes à travail égal gagnent environ 25% de moins que les hommes, elles ont des postes à moins grandes responsabilités que les hommes. Même si les jeunes femmes sont plus diplômées que les jeunes hommes, elles sont quand même moins embaucher qu'eux et elles ont plus de mal a monter en grade.
Au niveau politique, les femmes sont moins représentées que les hommes : mais ça s'arrange petit a petit qui ne connaît pas Ségolène Royal ou Arlette Laguiller. L'exemple en matière politique c'est la Norvège avec 50% de femmes députés.
En conclusion, les femmes ont encore beaucoup de chemin à parcourir pour être l'égal des hommes dans beaucoup de pays mais dans certains pays ça se passe mieux que dans d'autres... "

Posez vos crayons ! S'exclama madame Leroux, la prof d'histoire-géographie de Sofiane.
Sofiane vu sa prof devenir rouge a la vue de la copie de Nadia puis il constata qu'elle reprit le sourire lorsqu'elle dialogua avec Mehdi.

Mehdi et Sofiane sont deux amis vivant dans la même citée. Ils passent tous leurs temps libre dehors. Au lieu de travailler, ils préfèrent marcher dans leurs citées, "de toute façon, il n'y a rien a faire d'autre" d'après ce que disent tous leurs amis. Malgré le fait qu'il travaille très rarement Sofiane a de très bonnes notes : il est 3ème de sa classe, ce qui n'est pas le cas de Mehdi. C'est pour cela que Sofiane s'étonna que sa prof d'histoire fût très souriante a la vue de la copie de Mehdi, qui d'habitude s'attire les foudres de Madame Leroux désespérée par la catastrophe de sa copie...

Dans leur citée : il n'y a pas grand chose a faire, les jeunes collégiens s'assoient donc sur un banc et matent les filles qui passent quand elles passent... Il est 18 heures, c'est le moment ou Sofiane et Mehdi se retrouvent dans la cage d'escalier et discutent de tout pour ne pas s'ennuyer, aujourd'hui ils parlent de leur classe :

"Elle est pourrie cette classe, y a beaucoup de guignols ils saoulent trop. S'exaspère Mehdi
_... Moi je la trouve bien cette classe. Mais dis-moi comment t'as fais pour rendre une copie qui a rendu la prof heureuse alors que toi d'habitude, tu n'as pas vraiment le don pour les rédactions ?
_ Ah ! Ouais ! En fait comme je savais à l'avance l'énoncé de la rédaction, je suis aller sur le net et j'ai tapé l'énoncé de la rédac et une personne qui n'a que ça a faire m'as fais ma rédaction que j'ai écris sur un mouchoir et j'ai tout recopié en douce. Je te dis c'est trop super de faire comme ça, tu ne gâches pas ton temps. C'est un peu tricher mais bon.
_Incroyable !!! T'es un génie ! Exclama Sofiane avec un air étonné.
_ Je ne suis pas un génie sinon je n'aurai pas besoin de ce forum. Répondit Mehdi.
_Attention tu ne pourras pas tricher indéfiniment...
_Ouais ! Mais je suis obligé comme je ne suis pas un Jean-François comme toi. Affirma fortement Mehdi."

Pour Mehdi les "Jean-François" sont les collégiens qui réussissent très bien en cours, qui travaillent, qui ne se couchent pas tard, qui ne jouent pas beaucoup...
Le dialogue continue, et Sofiane questionne Mehdi sur sa vie d'internaute :
"Bon sinon sur le net, t'as rencontrer des filles ?
_ Euh ! J'ai rencontrer des filles et des gars de pleins de pays : Belgique, Maroc, Irlande, Angleterre.
Sofiane, intéressé par les filles insiste :
_ Elles sont canons les filles ?
_ Tu penses qu'a ça ! Y a pas que ça a faire sur le net. Y a des jeux trop bien ! Rappela Mehdi.
_ Bon, demain on a cours avec madame nez bouchée, elle m'énerve cette prof avec ses 1m45 hi hi. Je viens te chercher à 8h15 ? Proposa Sofiane.
_ OK, a+ !"

Les deux amis se quittent pour rentrer chacun chez soi, dans leurs appartements respectifs. Mehdi sur le chemin du retour voit sur son immeuble des tags qu'il trouve très beaux et il ne comprend pas pourquoi la mairie veut a tout pris les effacer alors qu'ils représentent la vie de son quartier. Il en profite pour ajouter quelques tags représentant les Yvelines avec écrit a coté "78, le fric ou la mort" : c'est quelque chose qu'il entend souvent dans les chansons de rap.
Il est entrain de faire des dessins sur le mur quand tout a coup il voit une patrouille de police, il court à toute vitesse et les policiers descendent de leur véhicule pour le prendre en filature. Mehdi n'en peut plus et il souhaite s'arrêter. Ses forces diminuent, il essaye de s'arrêter pour se rendre à la police mais ses jambes ne suivent pas, elles accélèrent à toute vitesse : c'est comme s'il n'était plus maître de son corps il court plus vite qu'il n'a jamais couru dans sa vie : il dépasse même les voitures ! Incroyable, il est très surpris et regarde constamment ses jambes qui courent aussi vite qu'un athlète de haut niveau. Il se retourne et il n'y a plus personne : il a déjà semé la police : il n'arrive pas a y croire et il n'est même pas fatigué. Il regarde longuement ses jambes avant de rentrer chez lui un peu perdu dans ses idées !
Pendant ce temps là Sofiane rentre chez lui un peu plus calmement et tranquillement que son ami, il regarde les panneaux publicitaires et rentre chez lui comme une tortue fatiguée.
Immédiatement chez lui, Sofiane va sur son bureau pour lire des mangas japonais. Puis a 20 heures, il mange un peu et retourna à ses mangas.
A minuit, il s'endort devant la télévision...

Mehdi, lui est resté devant son ordinateur toute la fin de journée et a vingt-trois heures il s'endormit.
Cette nuit Mehdi comme beaucoup de nuit se voit en train de jouer au foot a coté de Zidane, Ribéry et Henry.
Zidane lui fait une superbe passe, et le jeune adolescent fait un tir magistral ! La foule est en délire, il court dans tout le terrain et tout crie son nom !!! MEHDI MEHDI MEHDI ! Quand tout un coup, l'arbitre habillé tout en vert s'approche de lui mais devient de plus en plus flou mais réussit à lui dire ses quelques mots avec une voix très grave :
"Rejoins-moi en prononçant le mot azoutomalomalo !".

Quelques minutes plus tard, Sofiane rêve qu'il est dans l'espace et qu'il communique avec des extraterrestres quand un homme vêtu complètement de vert apparaît mystérieusement. C'est un homme de type européen d'environ 1m80, avec un chapeau melon, des lunettes, une large veste, un pantalon très long et des chaussures plutôt hautes. Tous ces vêtements sont d'une même couleur : vert clair.
Sofiane a la sensation d'être éveillé dans son rêve parce qu'il réussit à penser, se déplacer comme dans la vie réelle. Il commence parler avec cet étrange individu :
"Qui êtes-vous ?
_ Je suis un génie, mais il y a quelques centaines d'années on m'a dans l'esprit de 4 personnes, ici dans cette ville : cela veut dire que je pouvais me balader dans leurs esprits comme je voulais, et quand elles sont mortes, je devais choisir quatre autres personnes et ainsi de suite.
_ Eh ! Maintenant tu m'as choisi...
_En fait, cela fais quelques années que j'habite dans ton esprit, et cela fait autant de temps que j'essaye de communiquer avec toi et avec les trois autres personnes grâce à vos rêves. Je suis très heureux ! En 700 ans c'est la première fois que j'arrive à communiquer avec une personne. Annonça le génie.
_C'est qui les 3 autres personnes ? Demanda le jeune collégien avec étonnement.
_Camille, Nadija et Mehdi, tu les connais bien : j'ai fais exprès que vous vous connaissiez bien pour que vous puissiez mieux m'aider.
Avec des gros yeux, stupéfait Sofiane demanda :
_Vous aidez ? Moi je veux bien vous aidez mais comment ?
Le génie en vert annonça calmement :
_Il faut que les quatre personnes fassent une ronde et prononcent le mot trois fois.
Sofiane vu que le génie devenait de plus en flou et disparu... ".


Chapitre 4 : le cimetière

Le lendemain, Sofiane se réveilla étonné et surpris par son rêve. Alors que beaucoup auraient crût que leur imagination leur joue des tours, Sofiane a confiance en lui et est sur que l'homme en vert est réellement enfermé dans son corps. Il se demande quel est ce mot qui doit être prononcé trois fois.

À 8h15, Sofiane sors de chez lui pour aller chercher Mehdi.
"Et salut !
Il n'ose pas lui parler du génie, mais bon : ils ont déjà parler de choses plus "délirantes" que ça, il se lance :
Mehdi, aujourd'hui j'ai rêver un rêve incroyable, il y a avait un génie qui est venu et m'a dis qu'il était dans la tête de Camille, Nadia, toi et moi et que je dois le libérer d'un sort.
_Il était comment le génie ? S'étonna Mehdi.
_ Hein ? Euh ! Il était grand et habillé tout en vert, pourquoi ?"

Mehdi fut très choqué puis se mis à courir à toute vitesse en faisant signe à son ami Sofiane, de le suivre.
Après 5 minutes en courant, ils arrivèrent chez Nadia...

"Bonjour, Madame : je voudrai parler à Nadia. S'exprima confusément Mehdi."
Quelques minutes s'écoulèrent et Nadia se présenta devant eux avec son sac sur le dos...
"Nadija tu peux reposer ton sac, on ne va pas en cours aujourd'hui : on doit sauver un homme. Affirma Mehdi d'un ton autoritaire.
_Pourquoi ?
_Tu verras, fais-nous confiance. Expliqua Sofiane."

Sofiane, lui non plus ne connaissait pas la raison de leur absence en cours. Nadia et Sofiane suivirent Mehdi qui se mit à courir à travers la citée jusqu'à un appartement du centre ville. A l'Interphone, les trois amis demandèrent à Camille de descendre.

"Ah salut ! Vous venez pourquoi ? Demanda Camille.
Viens avec nous, sans poser de questions. En fait, je vais tous vous expliquer.
_Ok, je descends."

Le petit groupe suivit Mehdi jusqu'au cimetière, Nadija pris la parole :
"Tu veux bien nous expliquer enfin, ce qu'on fait là dans cet endroit gore ?
_En fait, hier j'ai rêver que je jouais au foot.
_ Ouais et alors : très intéressant dis donc ? S'impatienta Camille
_Ensuite, j'ai vu un homme habillé tout de vert dans mon rêve et Sofiane l'a vu aussi.
_Quoi ? Hein ? Moi aussi je l'ai vu cet homme ! S'étonna Nadija.
_Moi aussi, je l'ai vu. Waw ! Affirma Camille."

Après que Sofiane, expliqua au groupe qui est ce fameux homme en vert... Il leur raconta que ce que cet homme lui avait dit dans son rêve.

"Pourquoi sommes-nous au cimetière ? S'interrogea Nadija
_C'est parce qu'il a été vraisemblablement enterré ici et il faut le ressusciter donc vaut mieux être ici. Expliqua Mehdi.
_ Mais le problème c'est que je ne connais quel est le mot a prononcé trois fois en ronde. Annonça Sofiane.
_Non c'est bon, il me l'a donné : c'est azoutomalomalo !" annonça fièrement Mehdi.
Pour une fois, il se sent utile...


Le petit groupe se mit en ronde et ils prononcèrent le mot en même temps :

"Azoutomalomalo ! Azoutomalomalo ! Azoutomalomalo !"

Le génie apparut mais cette fois ci, avec un grand sourire il leur annonça :

"Merci de m'avoir libéré.
_C'est bon là, il n'y a plus rien a faire vous êtes libre ?
_Petites vermines, qu'est-ce que vous êtes naïfs ! C'est incroyable ! Je vais être dans l'obligation de vous tuer. Annonça le génie.
_Comment ? Hein ? S'interrogèrent les jeunes adolescents."

Le génie grandit, grandit, grandit. Un faisceau lumineux qui les éblouit dans cette obscurité du matin hivernal. Plus de deux mètres. Il forma une boule verte entre ses deux paumes et la lança à toute vitesse sur Camille, cette dernière se retrouva au sol plein de sang. Ses vêtements qui étaient à la base bleus et noir devinrent rouges. Elle ne respire plus, elle ne bouge plus, seuls ses cheveux sont en mouvement au contact du vent du cimetière.
Tout le groupe, resta interloqué par l'action que venait de faire le génie qui affirma :

"Vous ne comprenez rien, mes chères enfants à votre avis pourquoi je fus emprisonné dans des esprits a votre avis ? Et oui, il y a 700 ans de cela : on me connaissait sous le nom de Zaturo, le démon le plus cruel que le monde n'avais jamais connu : je tuais les femmes, les enfants en les faisant exploser. Aucun village n'a succombé à ma route, j'ai détruis des civilisations entières. Le jour quand je me levais, j'allais massacrer des villes entières rien que pour mon plaisir.
J'ai failli éradiquer toute forme de vie en Europe...
Les petits mioches, je m'en vais : mais je dois d'abord broyer votre cerveau et en faire de la compote, ce serrât délicieux !"

En un mouvement, Sofiane comparant le démon vert aux vampires sortit sa lampe torche et éclaira Zaturo en direction de ses yeux...
"Aie, non pitié" demanda Zaturo
Le groupe y compromis Camille se regardèrent, ils croyaient qu'ils allaient s'en sortir, les pauvres...
Zaturo repris :
"Ha Ha Ha !!! Depuis quand, les démons sont affaiblis par la lumière : et même les vampires ne sont tués seulement par la lumière du jour ! Relis tes classiques ! Pour cet acte héroïque tu mourras en premier".
Les jeunes adolescents coupèrent leurs respirations même Camille qui est à terre, elle souffre le martyre mais elle ne souhaite pas faire peur à ses amis, elle laisse sa douleur en elle.

D'un coup, le démon vert de rage lança une énorme sphère d'énergie de couleur verte sur Mehdi et Nadia qui s'étaient rapprochés l'un de l'autre par peur et non pas par amour auraient-il dit... Nous verrons cela plus tard. Ils se retrouvèrent immédiatement à terre, il ne restait plus que Sofiane face au démon ! Sofiane réfléchi mais ne trouvait rien, c'est rare pour lui qui a l'habitude de tout savoir sans se fatiguer... Il ne lui reste plus qu'une seule solution : l'affrontement direct ! Sofiane courut à toute vitesse en direction de Zaturo il sortit son "couteau suisse" et lui planta dans le ventre... Le démon regarda Sofiane, sourit et se mit à rire en pouffant fortement, un rire machiavélique ! La blessure se cicatrisa devant les yeux éberlués de Sofiane. Il ne pouvait plus rien faire.

Le démon s'approche de Sofiane qui est encore choqué de tout ce qui vient de se passer et de ce qui se passe encore devant ses yeux. Le démon arracha une pierre tombale sauvagement, tenta de frapper Sofiane mais le coup s'immobilisa, le démon s'écroula en arrière !
Camille ! Oui Camille ! Elle qui saigne encore, pendant tout ce temps était entrain de confectionner une corde avec son écharpe, ses gants et son bonnet puis elle tira le démon par le coup pour le faire tomber, elle a mis toutes ses forces pour se relever : elle ne peut plus bouger à présent.

"Vite il faut courir ! Cours Sofiane, COURS !!!
_Mais, je ne peux pas te laisser là !
_Mais dégages, je te dis : je ne peux pas me lever, je vais te gêner"

Sofiane, se baissa et porta sur ses mains Camille, heureuse de son geste, elle lui offrit un joli sourire qui redonna du courage à Sofiane.
Sofiane se mit à courir : il remarqua que Mehdi et Nadia sont toujours au sol :
"Levez-vous, dépêchez-vous ! Cria Sofiane".
Sitôt le démon se releva, instinctivement Sofiane se remit à courir avec Camille dans ses bras : tous les deux tristes de laisser leurs copains derrières eux. Une si belle amitié, tant de bons moments, de joies mais aussi beaucoup de haine...
Pendant, que lui courait droit devant le plus vite possible, elle regardait au loin Mehdi et Nadia tout d'un coup elle des faisceaux lumineux sur leurs corps. Trop d'émotions, elle se mit à pleurer, non pas comme une gamine mais comme une femme, elle sait enfin ce que cela signifie. Ses amis sont de plus en plus petits, si Sofiane n'avait pas été là, elle aurait subi le même sort que les autres.
Ils arrivèrent enfin dans une rue pleine de monde. Camille saignait encore, elle se vidait de tout son sang : Sofiane était très inquiet...


Chapitre 5 : pas de nom pour l'instant

"Monsieur ! Monsieur ! Ma copine s'est blessé gravement, pouvez-vous nous emmener à l'hôpital s'il vous plaît : dit-il rapidement en bafouillant au premier passant qui passait... "
Quelques minutes plus tard, la jeune fille était à l'hôpital : Sofiane était à son chevet. Il lui raconte que les médecins l'ont questionner mais qu'il n'a rien dit, personne ne le prendrait au sérieux. Il leur a juste dit qu'ils se sont fait attaquer par des "voyous" qui ont kidnapper Nadia et Mehdi. "Ils ont prévenu la police" "tu as bien fait !" Lui dit-elle en le rassurant.
(ps : surprise, aux lecteurs tapez 555 avant votre commentaire : je pourrais ainsi voir ceux qui ont réellement lu le texte, merci)
Les jeunes adolescents après s'être regarder longtemps dans les yeux se disent qu'il faut qu'ils aillent chercher des informations sur le démon pour réussir à le vaincre pour venger leurs amis...
"9 heures ! Nous ne sommes rester qu'une heure dans le cimetière ! Cela m'a parut sans fin. S'exclama Camille pour relancer la discussion.
_Oui, c'est vrai, déclara Sofiane sans conviction. Les médecins ont dit que tu pourrais sortir ce soir de l'hôpital, tu as eut de la chance. Je vais allez voir mes parents pour les informer que nous nous sommes fait agresser par des voyous, que nous avons perdu Nadia et Mehdi. Je reviens te chercher juste après".


Sofiane alla chez lui, et pour voir sa mère qui est au mère au foyer pour s'occuper de ses cinq enfants...
Il met sa clé dans la porte mais elle ne rentre pas, il ressaye mais même résultat ! "Quoi ? Putain, qu'est-ce qui se passe ?". Il voit venir sa mère venir vers la porte avec des courses dans la main, il se décontracte : content de la voir enfin... Bizarrement, le visage de sa mère est sévère, énervé :
"Qu'est-ce que tu fais sale voleur ! Tu veux rentrer chez moi : c'est ça ?
_Très drôle maman, ouvre la porte s'il te plaît
_Ouais ! C'est ça : sale racaille : dégages de chez moi ou j'appelle la police.
Sa mère sortit une bombe lacrymogène qu'elle a toujours dans son sac, en cité c'est plus sur lui dit-elle souvent... "
Sofiane remarque que sa mère a vraiment oublié qu'il était, il n'arrive pas y croire, comment ça peut être possible... Il commença à courir, mais la souffrance augmenta : une folle envie de dormir lui vient. C'est là qu'il compris ! "Camille ! Elle est en danger, vite il faut que j'aille la voir... "
Il arrive exténué à l'hôpital quelques minutes plus tard, transpirant à grosses gouttes. Il vit Camille, dormir comme un bébé : "Oh non, j'espère qu'il n'est pas trop tard. Il lui donna de grandes claques pour la réveiller." Au bout d'une dizaine de claques, elle se réveilla. "Arrrrrrrrrrrrgrgrgr, s'écria t-elle, c'était horrible Sofiane il essayait de me prendre, me prendre comme il a pris Mehdi et Nadia.
Sofiane affirma : "Oui, c'est pour ça que je suis venu : Zaturo communiquait avec nous lorsqu'on dormait et il peut le faire dès qu'on s'en dort. Nous ne devons pas dormir ou sinon, il peut nous faire oublier tout ce qu'il souhaite. Ma mère m'a oublié, je suis aller chez elle et elle m'a pris pour un voleur ! Nous ne devons plus dormir ! Enfin, tant que nous ne l'avons pas vaincu, ce démon".
Elle lui répondit : "Je ne pourrais jamais ne pas dormir pendant autant de temps
_Il faut donc le vaincre le plus vite possible, je viens te chercher ce soir à 20h30 : pour aller sur Internet chez moi pour avoir peut être des informations sur ce démon.
_Tu oublies que tu ne peux plus retourner chez toi !
_Ah !! Mince ! Je trouverais une autre solution, à 20h30 sois prête."
Il s'en alla en criant "Et surtout, ne t'endors pas !".

Sofiane sorti de l'hôpital déboussolé, ne sachant ou aller. Il prit la décision d'aller dans le centre ville de sa ville : Mantes la Jolie. Il contempla la magnifique ambiance de ce lieu : qu'est-ce que c'est beau Mantes la Jolie se dit-il ! Lui ne connaissait pas cet aspect de sa ville : il vit à la périphérie en plein Val fouret les 3 km qui le sépare du centre ville sont pour lui des centaines tant la différence est grande. Toute la journée, il vagabonda gaiement : il tenta de maintenir une joie de vivre bien que tout le monde l'ait oublié. Même ses plus proches copains ne le reconnaissent pas quand il leur parle dans la rue.
Il s'acheta un petit grec avec le peu d'argent qu'il lui reste au fond de ses poches : Miam Miam.
Ainsi toute la journée, il ne fit que marcher. La nuit tomba, il est l'heure d'aller voir Camille.
Une infirmière y était mais le lit est vide. Il demanda :
"Mme, vous ne savez pas ou passée mon amie ?
_Elle s'est endormie vers 18 heures et lorsque je suis revenue, elle n'était plus là : je pensais que vous étiez venue la chercher.
_Putain ! Zaturo !! Il l'a prise !"

La suite prochainement... Donnez vos avis et vos conseils dans les commentaires ! Merci.
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Re: Des ados rencontrent un étrange homme...
Posté par layaen le 18/10/2009 16:43:20
555 c'est super sympa comme histoire, mis a part quelques fautes mais écrit la suite, ne t'arrête pas, tu es bien parti !!
Re: Des ados rencontrent un étrange homme...
Posté par mily29 le 15/11/2008 05:11:11
555 J'ai bien aimé l'histoire, tu t'exprimes bien.. Quoi que tu te répèete beaucoup, c'est un très bon début.
Re: Des ados rencontrent un étrange homme...
Posté par vinc13 le 06/06/2008 14:09:10
555 J'ai adoré ton histoire, si tu veux qu'on en parle ou quoi que ce soit, laisse moi un message je serai ravi d'en parler avec, j'ai adoré tout le long, j'ai tout lu d'un coup !
Re: Des ados rencontrent un étrange homme...
Posté par moya-upton le 12/05/2008 14:18:47
555 j'ai bien aimer l'histoire
Re: Des ados rencontrent un étrange homme...
Posté par gulimo le 04/11/2007 11:18:28
C'est très bien tout ça mais je pense que tu es sensé relater ici des faits vécus et pas venir raconter des fictions. Il existe des forums pour les auteurs! Pourquoi ne pas les utiliser?
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Publié le 14 juin 2007
Modifié le 09 juin 2007
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