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L'odeur de la mort

J'habite dans un rêve au coin de la 63ème, jeune cadre diplômé...


J'habite dans un rêve au coin de la 63ème, jeune cadre diplômé, mes bureaux sont dans une gratte ciel, ce matin je me sens en très bonne humeur.
Nous sommes au mois de Septembre le 11, il me semble en quittant la maison, j'ai laisse ma vie derrière moi, sans même le savoir j'embrasse ma fille pour la dernière fois, comme toujours, je dis bonjour à la femme de ménage en ouvrant mes bureaux du 152ème étage. Je suis le boss celui qui parle au bout de la table j'en suis out fier. Il est huit heures et bientôt ma fin...
J'ai entendu un bruit impossible à décrire en une seconde, de la fumée dans les yeux et dans le bide, triste choix : brûler dans le feu ou se jeter dans le vide ? !!!
J'ai levé mes yeux vers le ciel puis j'ai opté pour le vol plané du 152ème. Ce que vous voyez à la télé moi je l'ai vécu, alors je prie pour que Dieu, nous protège. Je rêve de revoir mon pays, mes amies du bon vieux temps.
En deux minutes le gratte ciel de 152ème étages était tout détruit, j'étais parmi les survivants, mais sous le reste de gratte-ciel, on commence à manquer d'oxygène, je crois que c'est la fin, tous les rêves que j'avais construits depuis ma jeunesse se sont évaporés aujourd'hui, j'avais perdu l'espoir de revoir mon pays pour la dernière fois. Soudain, j'ai entendu une veille amie, qui aurait cru que je la trouvais ici, maintenant et après l'avoir cherché toute une vie ?
Je voudrais telement la sauver, lui tendre la main,
le ré confronter, lui dire combien je sais qu'elle souffre
Hélas, je n'avais pas pu lui dire ces derniers mots à cause de mes blessures, mais j'imagine encore son visage, ses cheveux, les beaux jours au lycée. Entre toutes ces pensées j'ai entendu une voix d'un diable rouge tout à fait beau comme un ange. Il m'a pris dans ses bras, j'ai lâché la main de la personne que j'ai aimée au fond de mon cœur, c'était le mot de la fin, j'ai senti mon corps entrain de faire ses adieux à son âme, j'ai senti mes blessures entrain de me quitter et j'ai su que j'étais devenu un ange...
Main dans la main, nous les larmes d'hier et vous l'espoir de demain pour réaliser le rêve de ce monde, maintenant ma seule raison d'être c'est de voir le mot de la fin, ce mot qui m'a rendu un diable, je veux le voir mourir comme il m'a tué. Je veux le voir brisé que le diable l'emporte, je suis le veuf d'une traînée qui n'est pas encore morte, pardonnez-moi de rire, mais j'imagine ce type enveloppé dans sa détresse extrême. Oui, car ses doigts sont des couteaux, ses yeux des lances flammes, pourquoi tu as tué mon rêve ? !!!
Alors main dans la main on lance la fin, la fin des pirates de nos rêves alors que le diable l'emporter. Ah ! J'avais oublié moi aussi, j'étais obligé d'être un diable pour voir les larmes de ma fille, pour qu'elle sente ma présence. Je t'aime ma fille n'oublie jamais cela car tu es mon seul espoir dans cette sombre vie, peut être que suis-je encore sur terre mais seul l'enfer me sera offert...
En te regardant pleurer. Je sens la perte de ma vie, car je n'avais pas su qui j'étais ?
Je vous ai pas dit que j'ai trouvé l'âme de l'amie du 11 Septembre on commence à vivre notre dernière chance, en nous rappelons qu'on était jeune et qu'on avait pas la haine, en sachant qu'après 10 ans certains manquent à l'appel de nos cœur, un peu plus tard on auraient notre ville comme soutien, soudain je sais d'où je viens, car le goût de flingue n'a pas quitté cette vie diabolique, je ne pourrais jamais trouver une autre arbre de ma vie, car tu es mon histoire. Je t'aime ma fille ça serai bien de passer l'éponge désolé de ne pas pouvoir tu souffles tes 18 bougies. Si seulement je pourrais te manqué à cet instant.

Signé ton père le fils de diable rouge ...

Oui, mais en souhaitons se souhait, il n'avait pas sus que la rancune commence a trouvé sa place au fond de cœur de sa fille, il avait besoin de croire cette image:"qu'après la pluie le beau temps" mais le problème, c'est qu'après la pluie la tempête approche...
Il avait au fond d'elle un besoin de voir le destin qu'elle l'a privé de voir son père, elle avait toujours eu le mal de la mort qu'elle lui a volé un père en une seconde, oui elle avait toujours cette image, l'image qu'elle l'a privé de vivre chaque minute en paix, elle avait besoin d'entendre les mots de son père, les mots qu'elle l'oblige a être quelqu'un de bien, est de réalisé tous les rêve, car la plus grande crime de monde c'est de rater cette occasion que la vie nous donne, oui pouvoir dire a un petit enfant t'a mère a réalisé l'impossible c'est pas facile, mais ou même temps c'est pas impossible, c'est vrai que la vie parfois nous blesse tant, mais le plus important c'est d'atteindre le but.
Elle a tous jeter en l'air, c'est vrai qu'elle a réussie a réalisé tous les rêve d'enfance, mais le problème c'est sa nouveau raison d'être et de réussir, elle ne fait pas ce travail pour dire enfin j'ai réaliser mes rêves enfin j'ai "le Moi" non car après deux ans, la même histoire se refaite : des innocent perde leur vie au fond de métro de la rancune tous cela parais inquiet, mais le problème c'est que au fond de ce train la fille de 11 septembre a trouver sa fin en tuant ses gens qu'elle croiser derrière la mort de son père... Et s'était la plus tragique fin que se monde a jamais vu, oui c'était la fin qui a libéré le fils de diable rouge, ce dernière qui essayera de changer cette vie et cries un monde meilleur, sans arme, sans larme, sans peine et sans guerre ...
Il avait au fond de lui la haine qui a troublé son âme, mais au fond de ses croyance, il avait sus que le pris de ce sacrifice serai sa liberté lui et sa fille, il avait sus que chaque seconde de retarde, le pris serai la condamnations de sa fille, ...
Chaque soir la voix de son ami lui trouble le cœur

-"Suis Ton Chemin,
Ecoute La voie Du Destin,
Et Prend Ton Courage A deus Mains,
On n'est Pas Devint,
On Prend la vie Comme elle Vien,
Même Si On doit en souffrir,
On Peut Tous En Guérir,
Il ne Faut Jamais Baisser Les Armes,
Même Si Tu Passe Du Rire Au Larmes,
Pense Toujours Au Futur,
La vie est Pur,
Alors Chaque jour Il Faut Te Battre,
Et Ne Te Laisse Jamais abattre,
Car la vie c'est Fait pour cela,
Même Si Il ya des Haut et Des Bas..."

Oui c'était les mot qui le bousier la vie, c'est vrai que le regard face a face a la vie ne donne le sentiment que le rose ne pourrais jamais ce trouver la alors c'était dur pour lui de laisser tomber alors il feta un accord au diable dont il le donne son destin sa vie son corps a fin que la vie, le rose, l'amour, sa fille, trouve la paix au fond de ce monde qui donne pas de cadeaux, au moment ou il embrasse l'enfer il avait sus que c'est son sacrifice pour se monde, il avait soute au bout de feu qui brûle son âme : "que cette vie puisse trouver la rose de destin..."
A ce moment la une fille ouvre ses yeux et regarda la vie que son père a cries rien pour elle.
A cet instant une lettre tomba de ciel a fin de dire
A l'heure où vous lirez ces quelques lignes,
j'aurai déjà mis un terme à cette vie de rêveur
J'en ai assez de souffrir, assez de fuir,
assez de me dire que j'ai toujours le mal de vivre.
Je n'ai jamais su crever le mal, je ne suis pas eu de chance,
l'amour et ses absences font mal comme une balle dans une jambe !
J'écris ces mots comme un père, je pourrais vous le dire en face
mais comme un faible je n'aurais pas trouvé les phrases
J'ai essayé de me relever mais les barreaux d'enfer m'ont mis K. O.
Mal dans ma peau je serais mieux tout la haut !
C'est de ma faute pas de la votre si je me pends,
Du fond du coeur je vous aime et que je me rate si je mens !
Fatigué,
Je veux que tu comprennes que sur terre la vie m'écrase,
Souviens-toi que ma mort n'est que la plus grosse de mes gaffes.
C'était la fin de cette histoire mais la fin pourrai –t-il être un retour de calme ?


Nous sommes au mois de Septembre le 11, il me semble en quittant la maison j'ai laisse ma vie derrière moi, sans même le savoir j'embrasse ma fille pour la dernière fois, comme toujours je dis bonjour à la femme de ménage en ouvrant mes bureaux du 152ème étage. Je suis le boss celui qui parle au bout de la table j'en suis out fier. Il est huit heures et bientôt ma fin.
Oui c'est est la même histoire sans fin mais es possible que la fin trouve un autre changement, personne ne peux nous répondra sauf le temps
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L'auteur : Jamaa Lamkies
34 ans, Agadir (Maroc).
Publié le 07 août 2008
Modifié le 16 juin 2008
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