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La véritable histoire de la vache qui rit !

Oubliez les racontars de Francois Blet et lisez cette histoire, certe chiante comme la mort, mais plus que veridique !


Nombre d'histoires, comptes et autres nouvelles ont essayé tant bien que mal de nous narrer les raisons improbables et les causes incroyables pour lesquelles une vache mascotte d'une grande multinationale fromagère, aurait un jour rit à gorge déployée et a lèvres retroussées... Certains nous racontent que ce fait extraordinaire a marquer dans les anales de "la fabuleuse vie des bovidés " n'est autre qu'une conséquence de péripétie agricole comme il en arrive souvent, d'autres nous comptent les méfaits de la vache folle avant l'heure, et quelques uns nous affirment que la vache qui rit a rit par un pur besoin pécunié ou un attrait financier bref dans un but purement lucratif... Mais depuis la nuit des temps "certains" "d'autres" et "quelques uns" prennent un malin plaisir à nous faire croire n'importe quoi et à se confondre dans d'affreuses affabulations qui se feraient se retourner la morale dans sa tombe si celle ci était morte... Mais ce n'est pas le cas, la morale est belle et bien vivante et bien qu'en phase terminale d'une maladie bénigne que l'on appelle la mort (Aah les temps ont changé, où sont passé les bonnes moeurs d'antan... "ha c'était mieux avant !" comme dirait l'autre), elle subsiste encore un peu du moins chez votre serviteur, moi le narrateur zélé qui vais vous compter sans plus tardé "le fabuleux destin d'lavache qu'avait un grain" !

C'était un début d'août comme il y en a beaucoup, le soleil naissant a l'horizon dardait déjà la prairie du père lepecno de ses rayons assassin. L'un des seuls spectateurs présents de se spectacle tout aussi épatant que naturel, fit raisonner sa belle voix dans toute la contrée. C'est ainsi que B36h, comme l'avait prénommé un fer rouge qui l'avait étreint un beau matin, se réveilla malgré elle dans une cacophonie si inaudible qu'elle en s'aurait devenus perceptible par un sourd ! B36h, ou "bouge de la saleté de ruminant" comme la prénommait le père lepecno étant ce que l'on peut appeler réveillé se dirigea vers son abreuvoir pour se remplir une gorge desséché par une nuit inconfortable a la belle étoile. En effet elle ne s'était pas couché avec les autres dans la grange car elle avait préféré ne pas allez au pays des songes allongé près de ses "camarades" aussi bêtes que méchantes, et ça pour être bêtes elles étaient bêtes autant qu'une bêtes peu être bêtes ! Ah ça ! Elle ne les aimait pas ces camarades de chambré ! Tous ça parce qu'elle prenaient un malin plaisir à la ridiculiser des que possible à la maltraiter dès qu'elles s'en sentaient l'envie et à la rejeter de leur jeu continuellement... Aaaaah ce qu'elle aurait voulu jouer à "saute vache" "jte tire le pis jusqu a ce que tu ris" ou autre "vache perché"... mais ces origines maghrébine en avait décidé autrement... elle était né au Maghreb de mère magrhebine et de père inconnu ou haché menue, elle avait jamais vraiment su... en tous cas ce dont elle était sur c'est qu'il y avait pas que ce "bon" français de lepecno qu'était raciste comme pas deux, y avait aussi ces formidables "tas de graisse bonne qu'à faire du lait" comme il les appelait affectueusement. Elle se traîna donc avec difficulté sur l'herbe humidifié par la rosé du matin jusqu'à un bac à eau, où elle se remplit allégrement la gorge d'une grande quantité d'eau avant de se sentir inévitablement attirée la tête la première dans l'abreuvoir par ce que l'on appelle la gravité. La jeune vache aussi vive au réveil qu'un escargot sous tranxen était partie pour finir sa nuit dans cette cuve a eau...

Mais un crissement de pneu et le fracas d'un freinage brusque la fit se redresser sur son séant tel le professeur faisant les frais de la bonne blague du clou sur la chaise (blague classé patrimoine historique par des humoristes ratés... qui a dit Jean Roucas ?). Un gros camion blanc d'une allure qui avait on ne sait quoi de terrifiant et qui semblait entouré de ses ambiances pesantes que l'on ne ressent que dans des endroits comme des cellules de condamnés a mort, des chambres d'hôpital de cancéreux en phase terminale ou autres salles de spectacle d'un one man show d'Anne Roumanof, venait de s'arrêter dans la cour de la ferme du père lepecno. S'en suivit un grand et profond silence, un silence qui sembla durer une éternité. Une éternité qui parue bien courte aux innombrable représentante de la gente bovine qui se terrait avec frayeur dans les recoins de la grange qui les abritait. La porte de celle ci s'ouvrit dans un grincement pénible annonciateur d'un terrible évènement a venir. La puissante lumière du jour s'engouffra dans la grange tel un lion dans l'arène. Enlevant l'obscurité qui planait sur les vaches frémissantes qui avaient pressentit habillement tel l'asticot apercevant une chaussure taille 46 fondant sur lui, que leur dernière heure était arrivé. Enfin leur dernières deux heures car d'ici a l'abattoir il fallait bien trois quart d'heure une heure, voir deux heures si la route était encombré sans compter les paperasse et autres document administratif qu'il fallait remplir avant de conduire les vaches à Jean Bonbheur le boucher chef des machines a "transformer une matière première en matière digestive nécessaire a la vie". Les chauffeurs des ses charmants bovidés entrèrent donc dans la grange pour se saisirent de leur "clientes". B36h regarda la scène avec émotion... d'accord elle ne c'était jamais très bien entendu avec ces congénères mais elle les aimait bien au fond et se les voir enlevé comme cela sous ses pauvres yeux affolés c'était plus qu'elle ne pouvait en supporter...

Le camion repartis dans un vacarme égale a celui de son arrivé emportant avec lui la seul famille que notre chère petite orpheline de B36h n'avait jamais eu... Et n'aurait jamais plus... Cet évènement l'abandonna dans une logique implacable dénué du brin de naïveté que tout être vivant emporte en lui pour se protéger de la dureté de la vie. Une logique qui lui donna une lucidité terriblement aiguisées, lucidité qui lui permit de s'apercevoir de la grosse liasse que tenait en ces mains le gros Paysans qui la nourrissait depuis qu'elle était enfant. Ce paysan qui la mit au monde comme toutes ces autres camarades de grange il y a fort longtemps et qui se permettait maintenant de mettre a mort des dizaines de vaches par pur cupidité ! B36h se rua contre son maître et l'expulsa d'un violent coup de tête, puis l'injuria avec des mots qui ne devraient pas arriver a l'oreille d'enfants. D'ailleurs il n'aurait pas pu tout comme ils n'arrivèrent pas aux oreilles du père lepecno qui n'entendit qu'un meuglement furieux. L'odeur de la mort arriva au nez de maître lepecno qui tint a peu près ce langage :
"Hé hé gentil la vache. Tu me reconnaît donc pas ? C'est moi c'ui qu't'donne a manger tout les jours ! Boudiou tu va tout de même pas me faire d'mal... non ?
- Grrrrrrrrr ! Répondit gentiment notre chère amie.
- Hé si t'es faché pour c'qui va arrivé aux autres c'po d'ma faute... c'est l'nouveau président... l'a ordonné de faire abattre toutes les vaches a cause des "pidémis"... chais po ce sont qui mais a ce qui paraît ils sont dangereux ! "
Cette fois la vache aussi remonté qu'une horloge suisse ou qu'un pantalon de Monsieur Walls (Qui le connaissent comprendrons... pour les autres ils ont bien de la chance !) pris le temps d'articuler sa réponse : elle lui mâchonna la trogne comme un chewing-gum... mais un chewing-gum au goût d'un camembert vieux de six mois ! Et recracha nez, oreilles et touffes de cheveux sur le corps inanimé de sa triste victime.
Puis elle fonça folle de rage d'un coté puis de l'autre jusqu'à perdre l'équilibre dans une embardé diabolique, roulant jusque sur le seuil de la maison du feu gros paysans s'écrasant en une superbe glissade incontrôlé dans un encadrement de porte, porte donnant dans la cuisine, cuisine ou elle perdit conscience...

Quand elle revint à elle c'était pour se découvrir pieds et poings liée, ce qui paraissait bizarre pour une vache qui d'ordinaire aurait été attaché par le cou ou avec un gros harnais en cuir mais l'officiers chargé de l'interpellation de la vache était quelqu'un de zélé. Et quand la femme qui l'avait appelé, cette pauvre veuve éplorée qui venait de perdre son maris (normal pour une veuve !) a cause d'une vache, lui avait demandé d'arrêté cette vache folle a liée, et bien en bon policier qu'il était, il était venu "liée" cette vache a liée ! Cette dernière ruminait sa rage (normal pour un ruminant) après avoir été trahis par son père adoptif c'était le tour de sa mère ! Ah c'était vache de leur part ! Ou plutôt humain, car la fermière avait, en voyant le corps de son mari défiguré par une vache sanguinaire, non pas pleuré car elle en aurai bien le temps a son enterrement mais sauté sur l'occasion de vendre les droits de l'histoire d'une vache serial killer déclinable en film séries et livres ! Support narratif qui eurent un succès suffisant pour permettre a la fermière de passer des jours heureux sous les tropiques mais dont l'histoire ne retiendras pas un traître mot. Non ce que l'histoire retenu se fut la tête de ce bovidé aliéné, et plus précisément la photo que prirent les policiers pour imager son casier judiciaire lors de son emprisonnement. Photo où la sarcastique B36h adressa un sourire aussi terrifiant qu'éclatant, un sourire qu'elle adressa au monde, un sourire qui la porta a la postérité !

Voilà c'est ainsi que naquit la légende de la vache quirit, cette histoire n'est ni palpitante ni extravagante mais c'est la vraie, tout aussi vraie du moins que celle de la marmotte, ou "quand et comment une marmotte ce retrouva a travailler dans une chocolaterie pour le compte d'une vache violette", mais ceci est une autre histoire...
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Re: La véritable histoire de la vache qui rit !
Posté par lollynymphet le 30/12/2004 22:09:15
J'adore!!! trop marrant!
Moi je voudrais bien l'autre histoire :-P! Celle avec la marmotte....
Pour les fautes, oui il y en a mais beaucoup moins que dans certains autres articles....
Bisouxxx et continue d'écrire!
Re: La véritable histoire de la vache qui rit !
Posté par sirène sans peur le 20/08/2004 07:48:12
pk la vache qui rit rit? parce quelle se fout de ta gueulle en te voynt te battre avec cette saloperie d'emballage a la con!!! :D
Re: La véritable histoire de la vache qui rit !
Posté par elodelu le 20/08/2004 07:48:12
Moi aussi j'ai voulu commencer par les commentaires, pour voir, ben franchement je lirais un autre jour passke la... c'est trop long!
Re: La véritable histoire de la vache qui rit !
Posté par evangel le 20/08/2004 07:48:12
super
franchement les autres vous avez déconné! qd on lit en fait on avance vite parce ke c assez marrant finalement
sinon Moi Demême pk tu donnerai pas ta version aux agent publicitaires? tu ferai sûrement un carton!
Re: La véritable histoire de la vache qui rit !
Posté par kurai le 20/08/2004 07:48:12
original, mais quel homme macabre tu fais!!
ra làlà, des vaches jouissve devant le mal accompli, on aura (hélas) (pas) tout vu!!
;D
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Publié le 05 octobre 2002
Modifié le 05 octobre 2002
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