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La vie, noir s'il en est, d'un jeune philosophe

Ma vie, mes periodes difficilles, et comme a mon habitude, mes idées sombres et tristes...


Je commençais ma vie simplement, comme les autres, dans une clinique de grenoble, avec un accouchement tous ce qu'il y avait de plus normal. Ce que mes parents ne savaient pas, c'est qu'ils avaient donné naissance a un artiste a la vie etternellement tourmenté, par le monde, par les idées. Ma petite jeunesse se passa simplement aussi, misent a par un nombre de bronciollite et bronchite innegalés pendant mes premieres années. Mais, ce probleme terminé, ma vie continua, simplement, entouré de ma famille et de mes proches, je grandissait gaiement et m'entendait bien avec les autres, je vivait pleinement la vie qu'il m'etait donné de vivre. J'avais de bon resultats scolaire, tous ce que l'on aurait pus rever. Malheureusement, le reve devait se terminer un jour, un matin noir, a mes 11 ans, un coup de telephone avait reveillé mes parents et moi, un coup qui ne sonnait pas comme d'habitude, comme si un drame etait arrivé a 6 heure du matin, n'ayant pas le temps de nous lever, j'entends sur le repondeur la voix de ma grand mere en pleurs, mais je ne distngue pas ce qu'elle dit, je suis encore dans me chambre, mes parents sont levés. Je n'ose sortir, demandé ce qui c'est passé. J'imagine, je sais que mon oncle est a l'hopital pour un probleme cardio-vasculaire, mon oncle avec qui je m'entend si bien ! Ou devrai'je dire : avec qui je m'entendais si bien....
ce matin, il est mort dans son sommeil, a l'hopital de la mûre, calmement, il trouve enfin la paix. Je ne serai pas consolé avant 2 mois. Puis, a mes 12 ans, j'apprend les probleme de mon autre oncle, paralisé des deux jambe et bientot du reste du corps. Ma famille en reste chamboulée. Pendant une année je resterais calme, j'assurerais mes pas. A mes 13 ans, mon grand pere, mon deuxieme pere pour moi, entre en clinique, hospitalisé en derniere minute pour un probleme a une jambe. Plus tard, les chirurgien detectent aussi des problemes au bronche puisqu'il est ancien mineur. Et au coeur. Je m'efforce de croire mes parent qui me disent qu'il s'e sortira, qu'il va de mieu en mieux. Puis, un matin, a croire qu'ils sont maudit, je joue a l'ordinateur quand le telephone sonne, je repond et parle a ma grand mere dans tous ses etats qui me demande de lui passer mon pere sans rien me dire de plus. J'ai déjà deviné de toutes façons... Quelques minutes plus tard, je monte voir mon pere qui vient de perdre le sien. J'entrerais peut aprés sa cremation, en depression de niveau 2. Je resterais une année entiere accumulant les crises d'angoisses, les tristesse incurables et les cauchemars douteux. Puis, je voudrai en finir et sauterait de la fenetre de ma chambre me cassant les deux jambe. J'aurait vu toute sort de psycologues sans succées. En vacances a mes 14 ans, je prendrais des calmants en douzaine et tomberais dans un coma de 48 heures. Puis, mes parents me trouverai enfin le psyciathre qui ma sauvés, je continu encore aujourd'hui les anti-depresseure ayant presque terminé ma periode de deuil, mais les idées restes, et je serai a jamais the man who hate the world.....
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Re: La vie, noir s'il en est, d'un jeune philosophe
Posté par mayi le 18/11/2004 20:59:21
En tout cas ton grand père devait etre drolement fièr d'avoir un petit fils si proche de lui.
S'il était là, il aimerait que tu sois heureux. Il aimerai que tu vive au nom de la vie que lui n'a pas pu finir.
Soi heureux.
Pour lui
(*) (*) (*) (*) (*) (*)
Re: La vie, noir s'il en est, d'un jeune philosophe
Posté par menchi le 19/10/2004 20:32:12
tes amis ne t'aident pas ?
Re: La vie, noir s'il en est, d'un jeune philosophe
Posté par elodelu le 18/10/2004 09:29:59
Pourquoi le titre ne veut rien dire du tout? C'est pour nous faire réfléchir?
Re: La vie, noir s'il en est, d'un jeune philosophe
Posté par kline le 09/10/2004 22:07:46
ca crin la vie pk vivre des choses magnifik si ce n est ke pour mourir malheureux d avoir perdu des choses la!ms keskon pe y faire rien!vie impuissante incontrolabl vie a subir le malheur qui nous submerge! il a des événements heureux certes mais la douleur prendra toujours le dessus sur ces moments la!on profite jamais assez des bon moments mais il vaut mieux avoir des regrets que des remords!je naurais kune seule chose a te dire c'est prend patience c'est pe etre la seule thérapie mem si on ne veut pas oublier!
Re: La vie, noir s'il en est, d'un jeune philosophe
Posté par malone le 09/10/2004 19:21:54
mon père est décédé à 50 ans, lorsque j'avais 12 ans d'un cancer. C'est très difficile à dire, d'ailleurs, c'est la première fois que je me l'avoue à moi meme, mais sa mort a été un véritable soulagement... Je ne supportais plus de le voir souffrir, maigrissant de jour en jour, subisant ces scéances de chimiothérapie. Aujourd'hui, j'ai 15 ans, je vis grace à lui et POUR lui
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Publié le 04 octobre 2004
Modifié le 04 octobre 2004
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